Archivi tag: Letteratura Francese
Gaston Floquet – Thèses présentées à la Faculté des Sciences de Paris
Emile Faguet – Zola
Guillaume Apollinaire – Les Colchiques
Le pré est vénéneux mais joli en automne Les vaches y paissant Lentement s’empoisonnent Le colchique couleur de cerne et de lilas Y fleurit tes yeux sont comme cette fleur-la Violatres comme leur cerne et comme cet automne Et ma vie pour tes yeux lentement s’empoisonne Les enfants de l’école viennent avec fracas Vêtus de… Leggi tutto »
Guillaume Apollinare – Les sept épées
La première est toute d’argent Et son nom tremblant c’est Pâline Sa lame un ciel d’hiver neigeant Son destin sanglant gibeline Vulcain mourut en la forgeant La seconde nommée Noubosse Est un bel arc-en-ciel joyeux Les dieux s’en servent à leurs noces Elle a tué trente Bé-Rieux Et fut douée par Carabosse La troisième bleu… Leggi tutto »
Guillaume Apollinaire – Le Pont Mirabeau
Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu’il m’en souvienne La joie venait toujours après la peine. Vienne la nuit sonne l’heure Les jours s’en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l’onde si… Leggi tutto »
Andréas – Les Incomplets
C’EST quelque chose de fâcheux, en vérité, que de naître borgne, boiteux, acéphale, de clocher, de se faire remarquer par un front proéminent, des yeux sensiblement chassieux, un nez turgescent et couperosé, des mains taillées dans des semelles d’hippopotame, et l’apparence de toutes ces difformités physiques rendue plus sensible par une paire de lunettes d’un… Leggi tutto »
Andréas – La Rue des Lombards
SI l’on disait à l’autre bout du monde qu’il y a une rue où tous les produits du globe se rencontrent, s’échelonnent, se superposent ; une rue dont les trois continents et les mers qui les embrassent, les entrailles de la terre et sa surface, tous les ordres de la nature et quelques autres encore… Leggi tutto »
Armand d’Allonville – Les Maisons de jeu
Que fais-tu, clairvoyant Asmodée, tandis qu’une foule d’écrivains spirituels, après t’avoir solennellement évoqué, parcourent sans toi les différents quartiers de cette vaste métropole, et explorent, eux seuls, cent lieux publics, ou réduits secrets, dans lesquels tu devais les introduire ou les guider ? Il en est cependant que ces vigilants observateurs n’ont point encore visités… Leggi tutto »
Edmond Alonnier – Augustine
Il y a deux ou trois ans, peu importe l’époque, elle n’est de nulle importance dans ce récit, une jeune ouvrière d’un atelier de brochure reçut la lettre suivante : « Madame, si je ne vous croyais pas une femme supérieure, la lettre que j’ai la témérité de vous écrire ne vous serait jamais parvenue,… Leggi tutto »
Paul de Garros – Dames seules
En sortant de Saumur, je fus nommé sous-lieutenant au 16e cuirassiers à Lunéville. C’était parfait, attendu que le colonel du 16e, que je connaissais personnellement fort peu, était un vieil ami de ma famille et me voulait du bien, paraît-il. Vers la fin d’octobre, je reçus l’ordre de rejoindre immédiatement mon régiment. Je quittai donc… Leggi tutto »
Le roman de la rose – Par Guillaume de Lorris et Jean de Meung; Édition accompagnée d’une traduction en vers; Précédée d’une Introduction, Notices historiques et critiques; Tome I
Gustave Flaubert – Frau Bovary – Uebersetzung: Arthur Schurig
Alexandre Dumas – Bric-à-Brac
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Jules Renard – La Demande
Dans la grande cour de la Gouille, Mme Repin lançait à sa volaille des poignées de grains. Ils s’envolaient régulièrement de la corbeille, suivant le rythme du geste, et s’éparpillaient en grésillant sur le sol dur. La fine musique d’un trousseau de clefs entrechoquées montait de l’une des poches du tablier.
Jean Tellier – Le culte de Victor Hugo
Vous savez qu’on a aménagé en musée la maison de Hugo. Et, tous, tant que nous sommes, on nous prie d’apporter ce que nous pourrions avoir de documents propres à établir « la biographie, la bibliographie et l’iconographie du grand écrivain ». O me dit qu’un perruquier a apporté une mèche de cheveux blancs, qu’il… Leggi tutto »
Jean Tellier – Un parodiste de Victor Hugo
Avez-vous, je ne dis pas lu, mais seulement ouvert, le recueil d’articles de défunt M. Caro qu’on vient de publier sous le titre de Poètes et Romanciers ? Si oui, vous y aurez aperçu des pages sur les Contemplations, qui sont bien étranges. Etranges pour moi, du moins, car les jugements n’y diffèrent guère de… Leggi tutto »
Victor Hugo – Mes Fils
I Un homme se marie jeune ; sa femme et lui ont à eux deux trente-sept ans. Après avoir été riche dans son enfance, il est devenu pauvre dans sa jeunesse ; il a habité des palais de passage, à présent il est presque dans un grenier. Son père a été un vainqueur de l’Europe… Leggi tutto »
André Baillon – Délires
A Germaine LIEVENS PRÉFACE Mesdames, Messieurs, L’auteur de cette future préface avoue son embarras. Entendez qu’il sait parfaitement où il veut en venir. Seulement il ignore par quelle voie.
Luigi Pirandello – I pensionati della memoria
Bella fortuna, la vostra! Accompagnare i morti al camposanto e ritornarvene a casa, magari con una gran tristezza nell’anima e un gran vuoto nel cuore, se il morto vi era caro; e se no, con la soddisfazione d’aver compiuto un dovere increscioso e desiderosi di dissipare, rientrando nelle cure e nel tramenio della vita, la… Leggi tutto »