Bataille d'Angleterre

Bataille d'Angleterre
Une partie de la Seconde Guerre mondiale
Une Corps Observateur spotter balaye le ciel de Londres.
Date 10 Juillet - 31 Octobre 1940 (3 mois et 3 semaines) Emplacement Royaume-Uni de l'espace aérien Résultat Victoire britannique décisive
Les belligérants
Royaume-Uni Canada	Allemagne Italie
Les commandants et les dirigeants
Hugh Dowding Keith Parc Trafford Leigh-Mallory CJ Quintin Marque Richard Saul	Hermann Göring Albert Kesselring Hugo Sperrle Hans-Jürgen Stumpff Rino Corso Fougier
Force
1963 aéronefs utilisables	2550 aéronefs utilisables.
Accidents et pertes
544 membres d'équipage tués 422 membres d'équipage blessés 1547 avions détruits	2698 membres d'équipage tués 967 capturés 638 organismes manquantes identifiées par les autorités britanniques 1887 avions détruits

La bataille d'Angleterre ( allemand : Luftschlacht um Angleterre ou Luftschlacht um Großbritannien, littéralement «la bataille de l'air pour l'Angleterre» ou «bataille de l'air pour la Grande-Bretagne») est le nom donné à la Seconde Guerre mondiale campagne aérienne menée par l'aviation allemande ( Luftwaffe ) contre le Royaume-Uni pendant l'été et l'automne de 1940. L'objectif de la campagne était de gagner la supériorité aérienne sur la Royal Air Force (RAF), en particulier Fighter Command. Le nom dérive d'une célèbre discours prononcé par le Premier ministre Winston Churchill dans la Chambre des communes : «... la bataille de France . est terminée je me attends à ce que la bataille d'Angleterre est sur le point de commencer. "

La bataille d'Angleterre a été la première grande campagne pour être menée entièrement par les forces aériennes, et a également été le plus grand et le plus soutenu la campagne de bombardements aériens à cette date. De Juillet 1940, côtière convois maritimes et les centres d'expédition, comme Portsmouth , ont été les principales cibles; un mois plus tard, la Luftwaffe a réorienté ses attaques vers les aérodromes et les infrastructures de la RAF. Alors que la bataille progressait la Luftwaffe également ciblé usines d'avions et le sol infrastructures . Finalement, la Luftwaffe recours à attaquer les zones d'importance politique et l'aide stratégie de bombardements de terreur.

L'échec de l'Allemagne à atteindre ses objectifs de détruire la Grande-Bretagne défenses aériennes, ou forcer la Grande-Bretagne de négocier un armistice ou une reddition pure et simple, est considéré comme sa première défaite majeure et un tournant crucial dans la Seconde Guerre mondiale. En empêchant l'Allemagne de gagner la supériorité aérienne, la bataille a pris fin à la menace que Hitler allait lancer Opération Sea Lion, une proposition de amphibies et invasion aéroportée de la Grande-Bretagne.

Fond

Le Premier ministre britannique Winston Churchill

Les premières étapes de la Seconde Guerre mondiale ont vu invasions allemandes succès sur le continent soutenu par Luftwaffe puissance capable d'établir la supériorité aérienne tactique de l'air. Au début de mai 1940, le Débat sur la Norvège se interroge sur la remise en forme pour le bureau de la Colombie- Le Premier Ministre Neville Chamberlain. Le 10 mai, les Allemands ont envahi la France , et le même jour Winston Churchill est devenu Premier ministre britannique. Fighter Command était désespérément à court de pilotes et d'avions formés, mais malgré les objections de son commandant Hugh Dowding que cette gauche défenses à domicile sous-force, Churchill a envoyé des escadrons de chasse pour soutenir les opérations en France, où le RAF a subi de lourdes pertes.

Après l' évacuation des soldats britanniques et français de Dunkerque et la capitulation française le 22 Juin 1940, Hitler était principalement axé sur les possibilités d'envahir l' Union soviétique tout en croyant que les Britanniques, défait sur le continent et sans alliés européens, serait rapidement venir à termes. Allemands étaient tellement convaincus de l'armistice imminente qu'ils ont commencé la construction de décors de rue pour les défilés de bal de troupes victorieuses. Bien que le Ministre des Affaires étrangères, Lord Halifax, et un élément de l'opinion publique et politique britannique favorables à une paix négociée avec un ascendant Allemagne, Churchill et la majorité de son cabinet ont refusé d'examiner un armistice avec Hitler. Au lieu de cela, Churchill utilisé sa rhétorique habile pour durcir l'opinion publique contre la capitulation, et de préparer les Britanniques pendant une longue guerre. Dans son " Ce était leur heure de gloire "discours le 18 Juin 1940, il a déclaré:" la bataille de France est terminée. Je me attends à ce que la bataille d'Angleterre est sur le point de commencer ".

Après une série de victoires, l'Allemagne a jugé la plupart des pays d'Europe centrale; de la Pologne à la France, le Danemark et la Norvège. Hitler espérait une paix négociée avec la Grande-Bretagne, mais avait fait aucun préparatif pour assaut amphibie sur une côte hostile; à l'époque, les seules forces avec équipement et l'expérience moderne étaient les Japonais à la Bataille de Wuhan. Le 11 Juillet, Grand Amiral Erich Raeder, commandant en chef de la Kriegsmarine (marine allemande), a dit à Hitler qu'une invasion ne pouvait être envisagée qu'en dernier recours, et seulement après la pleine la supériorité aérienne avait été atteint. La Kriegsmarine avait été presque paralysé par la Campagne norvégienne, avec plusieurs de ses navires ayant été coulés ou endommagés, tandis que la Royal Navy avait encore plus de 50 destroyers, 21 croiseurs cuirassés et huit dans la Colombie- Home Fleet. Il y avait peu la Kriegsmarine affaibli pourrait faire pour arrêter la Royal Navy d'intervenir. La seule alternative était d'utiliser de la Luftwaffe bombardiers en piqué et torpiller bombardiers, qui exigeait la supériorité aérienne de fonctionner efficacement. Grand Amiral Raeder a dit: «Une force de l'air puissant et efficace pourrait créer des conditions favorables à une invasion, si elle pouvait ne était pas dans la province de l'état-major guerre de la Marine."

Le 16 Juillet, même se il était d'accord avec Raeder, Hitler a ordonné la préparation d'un plan d'invasion de la Grande-Bretagne; Il espère également que les nouvelles des préparatifs effraierait Grande-Bretagne dans les négociations de paix. " Directive n ° 16; Sur la préparation d'une opération contre l'Angleterre Landing "lire, en partie, comme suit:

Depuis l'Angleterre, malgré sa situation militaire désespérée, n'a toujours pas montré aucun signe d'être prêt à négocier, je ai décidé de préparer une opération de débarquement contre l'Angleterre et, si nécessaire, le réaliser.

L'objectif de cette opération est d'éliminer le pays d'origine de l'anglais comme une base pour la poursuite de la guerre contre l'Allemagne ...
2) Inclus dans ces préparations est l'introduction à propos de ces conditions qui rendent un atterrissage en Angleterre possible;

a) L'air force anglaise doit avoir été abattu à un tel point moralement et, en fait, qu'il ne peut plus mobiliser toute la puissance d'attaque contre la peine de mentionner la traversée allemand. (italiques ajoutés)

Toutes les préparations devaient être faites d'ici la mi-Août. Pour le secret, cette directive n'a été émise aux commandants en chef, mais Hermann Göring a transmis à ses commandants Luftwaffe Air Fleet par des messages radio codés, qui ont été interceptés par la Grande-Bretagne Y-Service et succès décryptée par Hut 6 au Bletchley Park.

La Kriegsmarine a produit un projet de plan pour atteindre une tête de pont étroit près de Dover . Le 28 Juillet l'armée a répondu qu'ils voulaient atterrissages tout le long de la côte sud de l'Angleterre. Hitler a tenu une réunion de ses chefs de l'armée et de la marine le 31 Juillet dans sa Berghof, et le 1er Août l'OKW ( Oberkommando der Wehrmacht ou "Haut Commandement des Forces armées») a publié son plan. Le plan, nom de code Unternehmen Seelöwe («Opération Sealion"), a été qui aura lieu à la mi-Septembre 1940. Seelöwe appelé pour les atterrissages sur la côte sud de la Grande-Bretagne, soutenu par un assaut aéroporté. Ni Hitler ni OKW croyaient qu'il serait possible d'effectuer un assaut amphibie de succès sur la Grande-Bretagne jusqu'à ce que la RAF avait été neutralisé. Raeder croyait que la supériorité aérienne pourrait faire un atterrissage réussi possible, bien que ce serait une opération risquée et nécessaire "maîtrise absolue sur la Manche par nos forces aériennes".

Inversement, Grand Amiral Karl Dönitz croyait supériorité aérienne était «pas assez». Dönitz a déclaré, "nous possédions ni contrôle de l'air ou la mer, ni en étions-nous dans ne importe quelle position de le gagner." Certains auteurs, comme Derek Robinson, ont convenu avec Dönitz. Robinson soutient que la supériorité massive de la Royal Navy sur la Kriegsmarine aurait fait Sealion une catastrophe et la Luftwaffe aurait pas pu empêcher une intervention décisive par les croiseurs et destroyers britanniques, même avec la supériorité aérienne. Williamson Murray a fait valoir que la tâche qui attend les Allemands en été 1940 était au-delà de leurs capacités. Les trois armées allemandes ne étaient pas capables de résoudre le problème d'envahir les îles britanniques. Murray soutient que la Kriegsmarine avait été effectivement éliminé en raison de lourdes pertes au cours de la Campagne norvégienne. Murray déclare qu'il est douteux que la Kriegsmarine et de la Luftwaffe auraient pu empêcher la Royal Navy engager la flotte d'invasion.

La Luftwaffe ne avait pas été représentée au Berghof, mais Göring était convaincu que la victoire de l'air était possible. Comme beaucoup d'officiers dans d'autres forces aériennes, y compris la RAF, il a été convaincu par les idées de Giulio Douhet que " Le bombardier passera toujours au travers »et si les attaques contre des cibles militaires ont échoué, civils bombardement pourrait forcer le gouvernement britannique à se rendre.

Forces opposées

La Luftwaffe face à un adversaire plus capable que tout, il avait déjà rencontré: un hautement coordonnée, bien fourni, armée de l'air importante, moderne.

Fighters

De la Luftwaffe Messerschmitt Bf 109E et Bf 110C se est battu contre le cheval de bataille de la RAF Hurricane Mk I et les moins nombreux Spitfire Mk I. Le Bf 109E avait un taux de montée était mieux et 10-30 mph (16-48 km / h) plus vite que le Hurricane Mk I, selon l'altitude. Au printemps et à l'été 1940, les combattants de la RAF ont bénéficié de la disponibilité accrue de 100 octane carburant d'aviation, qui a permis à leur Moteurs Merlin pour générer beaucoup plus de puissance à l'aide d'un Boost urgence Override. En Septembre 1940, la série Mk IIa plus puissant une ouragans a commencé son entrée en service en petit nombre. Cette version est capable d'une vitesse maximale de 342 mph (550 kmh), certains 25-30 mph (40-48 km / h) de plus que le Mk I.

X4382, une production fin Spitfire Mk I de 602 Squadron piloté par P / O Osgood Hanbury, Westhampnett, Septembre 1940

La performance du Spitfire au-dessus de Dunkerque est venu comme une surprise pour le Jagdwaffe, bien que les pilotes allemands conservé une forte croyance que le 109 était le combattant supérieure. Les combattants britanniques étaient équipés de huit Browning 0,303 (7.7mm) mitrailleuses, alors que la plupart Bf 109Es avait deux 7.92mm mitrailleuses complétées par deux canons de 20mm aile. Cette dernière était une arme beaucoup plus efficace que le 0,303, qui était inefficace contre les blindés, et contre tout métal structures d'aéronefs à de plus grandes distances. De nombreux avions allemands sont retournés à la base, malgré un grand nombre de 0,303 résultats. À certaines altitudes, le Bf 109 pourrait outclimb le combattant britannique. Il pourrait également se engager dans vertical avion négative- g manœuvres sans que le moteur découpage parce que son DB moteur inversé V12 601 utilisé injection de carburant; ce qui a permis la 109 à plonger loin des attaquants plus facilement que le carburateur équipé Spitfire ou ouragan. D'autre part, le Bf 109E avait un plus grand rayon de braquage que ses deux ennemis. En général, si, comme Alfred Prix noté dans l'histoire Spitfire:

... Les différences entre le Spitfire et le Me 109 dans la performance et la manipulation étaient minimes, et dans un combat qu'ils étaient presque toujours surmonté par des considérations tactiques: de quel côté avait vu l'autre le premier, eu l'avantage de soleil, l'altitude, le nombre, l'habileté du pilote, situation tactique, co tactique coordination, la quantité de carburant restant, etc.

Messerschmitt Bf 109E-4.

Le Bf 109 a également été utilisé comme un Jabo (jagdbomber, chasseur-bombardier) -le E-4 / B et E-7 modèles pouvaient transporter une bombe de 250 kg sous le fuselage. Le Bf 109, contrairement à la Stuka, pourrait battre à armes égales avec les combattants de la RAF après la libération de son munitions.

Au début de la bataille, a également été prévu que le Messerschmitt Bf 110C longue portée bimoteur Zerstörer ("Destroyer") à se engager dans le combat air-air en escortant la flotte de bombardiers de la Luftwaffe. Bien que le 110 était plus rapide que l'ouragan et presque aussi rapide que le Spitfire, son manque de maniabilité et accélération signifiait que ce était un échec comme un chasseur d'escorte à longue portée. Les 13 et 15 Août 13 et 30 avions ont été perdus, l'équivalent d'un Gruppe ensemble, et les pires pertes de la catégorie au cours de la campagne. Cette tendance se est poursuivie avec un autre huit et quinze perdu les 16 et 17 Août. Göring a ordonné le Bf 110 unités d'exploitation »où la gamme des machines monomoteurs ne étaient pas suffisantes" ..

Le rôle le plus réussi du Bf 110 lors de la bataille était comme un Schnellbomber (bombardier rapide). Le Bf 110 habituellement utilisé une plongée peu profonde de bombarder la cible et se est échappé à grande vitesse. Une unité, Erprobungsgruppe 210 - initialement formé comme unité d'essai de fonctionnement ( Erprobungskommando) pour le successeur émergents à la 110, le Me 210 - prouvé que le Bf 110 pourrait encore être utilisé à bon escient dans attaquer des cibles petites ou "ponctuelles".

De la RAF Boulton Paul Defiant eu un certain succès initial sur Dunkerque en raison de sa ressemblance avec le passage de l'ouragan; chasseurs de la Luftwaffe attaquant de l'arrière ont été surpris par son canon inhabituelle tourelle. Cependant, au cours de la bataille d'Angleterre, cette biplace monomoteur se est avéré désespérément surclassé. Pour diverses raisons, le Defiant manquait toute forme d'armement de tirant vers l'avant, et la tourelle lourde et deuxième membre d'équipage signifiait qu'il ne pouvait pas courir plus vite ou déjouer soit le Bf 109 ou Bf 110. À la fin de Août, après des pertes désastreuses, l'avion était retiré du service de la lumière du jour.

formations de chasse

Film Cinémitrailleuse montre munitions traçantes d'un Supermarine Spitfire Mark I de 609 Escadron, piloté par Capitaine d'aviation JHG McArthur, frapper un Heinkel He 111 sur son tribord. Ces avions faisaient partie d'une grande formation de KG 53 et 55 qui a attaqué les travaux de la Bristol Aeroplane Company à Filton, Bristol, juste avant midi, le 25 Septembre 1940. n ° 609 Squadron ont été basé à Middle Wallop, Hampshire.

À la fin des années 1930, le Fighter Command devrait faire face à la Grande-Bretagne seulement bombardiers au-dessus, pas des combattants monomoteurs. Dans cet esprit, une série de "tactiques de combat de la région" ont été formulées et rigidement respecté, impliquant une série de manœuvres destinées à concentrer la puissance de feu d'un escadron de faire tomber bombardiers: sans perspective apparente d'escorter les combattants à se inquiéter, la RAF pilotes de chasse a volé dans les sections serrés, en forme de V ("vics") de trois. Ces escadrons serrés restreintes à 12 formations d'avions composé de quatre sections dans un autre "V" serré. Grâce à cette formation, seul le chef d'escadron à l'avant était libre de regarder pour l'ennemi; les autres pilotes devaient se concentrer sur la station de maintien. La formation de chasse de la RAF a également souligné attaques by-the-book par sections rompant en séquence. Fighter Command a reconnu les faiblesses de cette structure rigide au début de la bataille, mais il a été jugé trop risqué de changer de tactique au cours de la bataille, parce que le remplacement des pilotes-souvent avec seulement un minimum de temps de vol ne pouvaient pas être facilement recyclés, et les pilotes de la RAF inexpérimentés nécessaire cabinet leadership dans l'air ne formations rigides pourrait fournir. Pilotes allemands surnommé le Idiotenreihen formations de la RAF ("lignes d'idiots") parce qu'ils ont quitté escadrons vulnérables aux attaques.

En revanche, le, formations de la Luftwaffe employés une section lâche de deux (surnommé le Rotte), basé sur un chef de file (Rottenführer) suivi à une distance d'environ 183 mètres (200 yards) par son ailier (surnommé le Rottenhund ou Katschmareks), qui a également volé un peu plus élevé et a été formé pour toujours rester avec son chef. Alors que le chef était libre de chercher des avions ennemis, et pourrait couvrir son ailier de taches aveugles, son ailier pourraient se concentrer sur la recherche de l'espace aérien dans les angles morts du leader, derrière et en dessous. Avion attaquant pourrait être pris en sandwich entre les deux 109. Le Rotte a permis à la Rottenführer de se concentrer sur kills obtenir bien que cela a conduit à certains griefs dans les rangs inférieurs, car il a estimé que les scores élevés de certains Rottenführer venus au détriment des Katschmareks. Au cours de la bataille d'Angleterre, un pilote qui a abattu 20 avions a été automatiquement attribué le Ritterkreuz ( Croix de Chevalier), à laquelle a été ajouté feuilles de chêne, d'épées et diamants pour chaque aéronef supplémentaire de 20. Les pilotes qui ont comparu à la poursuite de ces prix ont été déclaré souffrir de Halsweh (un mal de gorge), une référence à la convention de porter la décoration au cou. Quelques ailiers dans la Luftwaffe formations de combat étaient en mesure de se opposer à abattre des avions, tandis que leurs chefs d'établissement pratiquaient une notation lourdement.

Deux de ces sections étaient généralement fait équipe dans un Schwarm, où tous les pilotes pouvaient voir ce qui se passait autour d'eux. Chaque Schwarm dans un Staffel a volé à des hauteurs décalées et avec 183 mètres (200 yards) de chambre entre eux, ce qui rend la formation difficile à repérer à plus longue portée et en permettant une grande souplesse. En utilisant un virage serré "cross-over", un Schwarm pourrait rapidement changer de direction.

Les 110s Bf adopté la même formation que les Schwarm 109, mais étaient rarement en mesure de l'utiliser pour le même avantage. Lorsqu'il est attaqué, Zerstörergruppen plus en plus recours à la formation de «cercles défensifs" grandes. Chaque Bf 110 gardé la queue de l'avion devant lui. Göring a ordonné qu'ils soient rebaptisés "cercles offensives» dans une tentative vaine d'améliorer le moral en déclin rapide. Ces formations visibles étaient souvent réussi à attirer des chasseurs de la RAF qui étaient parfois «rebondi» par 109 de haut vol Bf. Cela a conduit au mythe souvent répété que les 110s Bf ont été escortés par Bf 109. Méthode la plus efficace de le Bf 110 d'attaque était le "rebond" d'en haut.

Front Line pilotes de la RAF étaient parfaitement conscients des lacunes inhérentes à leurs propres tactiques. Un compromis a été adoptée selon laquelle les formations de l'escadron utilisés formations beaucoup plus souple avec un ou deux "tisserands" voler indépendamment dessus et derrière de fournir augmenté observation et de protection arrière; ceux-ci ont tendance à être les hommes les moins expérimentés et étaient souvent les premiers à être abattu sans que les autres pilotes même se en apercevoir qu'ils étaient sous attaque. Pendant la bataille, 74 Escadron sous le chef d'escadron Adolph "Sailor" Malan a adopté une variante de la formation allemande a appelé les «quatre pattes dans la ligne arrière", ce qui était une grande amélioration sur le vieux trois avions "vic". La formation de Malan a ensuite été généralement utilisée par Fighter Command.

Bombers

Heinkel He 111 bombardiers pendant la bataille d'Angleterre

Quatre bombardiers primaires de la Luftwaffe étaient les Heinkel He 111, Dornier Do 17, et Junkers Ju 88 pour le bombardement de niveau, et de la Junkers Ju 87 Stuka pour les attaques de plongée. Le Heinkel He 111 a été utilisé en plus grand nombre que les autres pendant le conflit et est mieux connue, en partie en raison de sa forme distinctive de l'aile. Chaque attentat niveau a également eu quelques versions de reconnaissance qui ont été utilisés pendant la bataille.

Malgré son succès dans les précédents engagements de la Luftwaffe, le Stuka subi de lourdes pertes dans la bataille d'Angleterre, en particulier le 18 Août, en raison de sa faible vitesse et la vulnérabilité à l'interception de combat après le bombardement de plongée. En conséquence des pertes et la charge utile limitée et la gamme, unités Stuka ont été largement éliminés des opérations sur l'Angleterre et concentrées sur l'expédition à la place jusqu'à ce qu'ils ont été redéployés au front de l'Est en 1941. Ils sont retournés à l'occasion, comme le 13 Septembre à attaque Tangmere aérodrome.

Les trois types de bombardiers restants diffèrent dans leurs capacités; le Heinkel 111 était le plus lent; Ju 88 était le plus rapide une fois que sa charge de bombes surtout externes a été abandonnée; et le Do 17 avait la plus petite charge de bombe. Les trois types de bombardiers subi de lourdes pertes des combattants britanniques, mais le Ju 88 de manière disproportionnée. Les bombardiers allemands tenus protection constante par la force de combat de la Luftwaffe. Il n'y avait pas assez Bf 109Es pour soutenir plus de 300 à 400 bombardiers sur un jour donné. Plus tard dans le conflit, lorsque la nuit les bombardements sont devenus plus fréquents, tous les trois ont été utilisés. Toutefois, en raison de sa charge de bombes réduite, le plus léger Do 17 a été utilisé moins que le He 111 et Ju 88 à cet effet.

Allemand photo de propagande visant à démontrer un Spitfire I volant très près à un Dornier 17Z.

Du côté britannique, trois bombardiers ont été principalement utilisés sur les opérations de nuit contre des cibles telles que les usines, les ports d'invasion et les centres de chemin de fer; la Armstrong Whitworth Whitley, le Handley-Page Hampden et la Vickers Wellington ont été classés comme des bombardiers lourds de la RAF, bien que le Hampden était un bombardier moyen comparable à celui Il 111. Le bimoteur Bristol Blenheim et l'obsolescence monomoteur Fairey Battle étaient deux bombardiers légers; Blenheim était la plus nombreuse de l'équipement de l'avion Bomber Command de la RAF et a été utilisé dans les attaques contre les navires, les ports, aérodromes et des usines sur le continent par jour et par nuit. Les escadrons Fairey Battle, qui avait subi de lourdes pertes dans les attaques de jour pendant la bataille de France, ont été mis à la force avec des avions de réserve et ont continué à opérer la nuit dans des attaques contre les ports d'invasion, jusqu'à la bataille a été retiré du Royaume-Uni services de première ligne en Octobre 1940.

Les pilotes

Avant la guerre, les processus de la RAF de sélection des candidats potentiels ont été ouverts aux hommes de toutes les classes sociales à travers la création de la Réserve de volontaires de la RAF en 1936 qui «... a été conçu pour plaire, pour ... les jeunes hommes ... sans distinction de classe ..." Les escadrons âgés de la Royal Auxiliary Air Force a fait de conserver une partie de leur exclusivité de la classe supérieure mais leur nombre ont été rapidement submergé par les nouveaux arrivants de la RAFVR et de 1 Septembre 1939, 6646 pilotes avaient été formés grâce au RAFVR.

En été 1940, il y avait environ 9000 pilotes de la RAF pendant environ 5000 avions, dont la plupart étaient des bombardiers. Fighter Command était jamais à court de pilotes, mais le problème de trouver un nombre suffisant de pilotes de chasse pleinement qualifiés est devenue aiguë à la mi-Août 1940. Avec la production d'avions fonctionnant à 300 chaque semaine, à seulement 200 pilotes ont été formés à la même période. En outre, plusieurs pilotes ont été affectés aux escadrons qu'il n'y en avait aéronef, ce qui a permis escadrons pour maintenir la force opérationnelle en dépit des pertes et encore prévoient un congé de pilote. Un autre facteur est que seulement environ 30% des 9000 pilotes ont été affectés à des escadrons opérationnels; 20% des pilotes ont été impliqués dans la conduite de la formation des pilotes, et un autre 20% ont été l'objet d'autres instructions, comme ceux offert au Canada et Rhodésie du Sud aux stagiaires du Commonwealth, bien que déjà qualifié. Le reste a été affecté à des postes de personnel, puisque la politique RAF voulait que seuls les pilotes pourraient faire de nombreux employés et les décisions de commandement opérationnel, même en matière d'ingénierie. Au plus fort des combats, et malgré l'insistance de Churchill, seulement 30 pilotes ont été libérés à la ligne de front des tâches administratives.

Pour ces raisons, et la perte permanente de 435 pilotes pendant bataille de France seul avec beaucoup plus de blessés, et d'autres perdus dans La Norvège, la RAF avait moins de pilotes expérimentés au début de la bataille, et ce était le manque de pilotes formés dans les escadrons de combat, plutôt que le manque d'avions, qui est devenu la plus grande préoccupation pour Air Chief Marshal Hugh Dowding, commandant du Commandement Fighter. Dessin des forces et l'réguliers RAF Auxiliary Air Force et de la Réserve de volontaires, les Britanniques pouvait rassembler quelques 1103 pilotes de chasse le 1er Juillet. pilotes de remplacement, avec peu de formation au pilotage et souvent pas de formation au tir, ont souffert des taux de pertes élevées.

La Luftwaffe pourrait rassembler un plus grand nombre (1450) de plus de pilotes de chasse expérimentés. Puisant dans un cadre de Espagnols vétérans de la guerre civile, ils avaient des cours complets dans l'artillerie et des instructions adaptées à la tactique pour le combat combattant contre l'chasse aérienne. Les manuels de formation aussi découragés héroïsme, soulignant l'extrême importance de attaquent que lorsque les chances étaient en faveur du pilote. Cependant, les formations de chasseurs allemands ne ont pas fourni une réserve suffisante de pilotes en cas de pertes et de laisser, et la Luftwaffe était incapable de produire assez de pilotes pour éviter un déclin de la force opérationnelle que la bataille a progressé.

La participation internationale

Alliés

126 avions allemands ou "Adolfs" ont été revendiqués par polonaises de pilotes 303 Escadron pendant la bataille.

Le rouleau Royal Air Force d'honneur de la bataille d'Angleterre reconnaît 595 pilotes non britanniques (sur 2936) que le vol au moins un autorisés opérationnelle sortie d'une unité admissible de la RAF ou Fleet Air Arm entre 10 Juillet et le 31 Octobre 1940. Ces inclus 145 Polonais , 127 Néo-Zélandais , 112 Canadiens , 88 Tchécoslovaques , 32 Australiens, 28 Belges , 25 Sud-Africains, 13 Français, 10 irlandais , sept Américains , et un de chacun des Jamaïque , la Mandat britannique de la Palestine, et Rhodésie du Sud. "Au total, dans les batailles de chasse, les bombardements et les diverses patrouilles effectuées entre 10 Juillet et le 31 Octobre 1940 par la Royal Air Force, 1495 membres d'équipage ont été tués, dont 449 étaient des pilotes de chasse, 718 équipages du Bomber Command, et 280 à partir de Coastal Command. Parmi les personnes tuées étaient 47 aviateurs en provenance du Canada, 24 d'Australie, 17 d'Afrique du Sud, 35 en Pologne, 20 de la Tchécoslovaquie et six de Belgique. Quarante-sept Néo-Zélandais ont perdu la vie, dont 15 pilotes de chasse, 24 bombardiers et huit membres d'équipage côtière. Les noms de ces aviateurs alliés et du Commonwealth sont inscrits dans un livre commémoratif qui repose dans la bataille d'Angleterre Chapelle dans l'abbaye de Westminster. Dans la chapelle est un vitrail qui contient les insignes des escadrilles de chasse qui ont opéré au cours de la bataille et les drapeaux des nations à laquelle les pilotes et le personnel navigant appartenaient ".

Axe

Un élément de la Royal Air Force italienne ( Regia Aeronautica) appelé le Corps de l'air italienne (Corpo Aereo Italiano ou CAI) a vu l'action à la fin Octobre 1940. Il a pris part aux derniers stades de la bataille, mais a connu un succès limité. L'unité a été redéployé au début de 1941.

Stratégie Luftwaffe

Hermann Göring, le commandant de la Luftwaffe

Hugo Sperrle, le commandant de Luftflotte 3.

La Luftwaffe a été conçu pour fournir un appui tactique pour l'armée sur le champ de bataille. Pendant les blitzkrieg offensives contre la Pologne , Le Danemark et la Norvège et la France et le Pays-Bas, la Luftwaffe avaient coopéré pleinement avec la Wehrmacht. Pour la bataille de la Grande-Bretagne toutefois, la Luftwaffe a dû opérer dans un rôle stratégique, quelque chose pour laquelle il ne était pas adaptée. Sa tâche principale était d'assurer la suprématie aérienne sur le sud-Angleterre, pour ouvrir la voie à une flotte d'invasion.

La Luftwaffe regroupés après la bataille de France en trois Luftflotten (Air flottes) sur les flancs nord et sud de la Grande-Bretagne. Luftflotte 2, commandée par Generalfeldmarschall Albert Kesselring, était responsable de l'attentat du sud-Angleterre et de la London région. Luftflotte 3, sous Generalfeldmarschall Hugo Sperrle, ciblé le West Country, Pays de Galles , la région des Midlands, au nord-ouest et de l'Angleterre. Luftflotte 5, dirigé par Generaloberst Hans-Jürgen Stumpff de son siège à la Norvège , a ciblé le nord de l'Angleterre et de l'Ecosse . Alors que la bataille a progressé, la responsabilité du commandement décalé, avec 3 Luftflotte prendre plus de responsabilités pour les nocturnes Blitz attaques tandis que les principales opérations de jour tombaient sur les épaules de deux Luftflotte.

Les premières estimations de la Luftwaffe étaient qu'il faudrait quatre jours pour vaincre le Fighter Command de la RAF dans le sud de l'Angleterre. Ce serait suivie d'une offensive de quatre semaines au cours de laquelle les bombardiers et de chasseurs à long terme seraient de détruire toutes les installations militaires à travers le pays et de détruire l'industrie aéronautique britannique. La campagne a été planifiée pour commencer avec des attaques sur les aérodromes près de la côte, se déplaçant progressivement l'intérieur des terres pour attaquer l'anneau des aérodromes du secteur défense Londres. Réévaluations a donné plus tard les Luftwaffe cinq semaines, du 8 Août au 15 Septembre pour établir la supériorité aérienne temporaire sur l'Angleterre. Pour atteindre cet objectif, le Fighter Command ont dû être détruits, soit sur le sol ou dans l'air, mais la Luftwaffe devaient être en mesure de préserver sa propre force d'être en mesure de soutenir l'invasion; cela signifiait que la Luftwaffe avait de maintenir un haut «ratio kill» sur les chasseurs de la RAF. La seule alternative à l'objectif de la supériorité aérienne était un bombardements de terreur campagne vise à la population civile, mais cela a été considéré comme un dernier recours et ce était (à ce stade de la bataille) expressément interdit par Hitler.

La Luftwaffe rester largement à ce régime, mais ses commandants eu des divergences d'opinion sur la stratégie. Sperrle voulait éradiquer l'infrastructure de défense aérienne en bombardant il. Son homologue, Kesselring, champion attaquer Londres directement soit-de bombarder le gouvernement britannique dans la soumission ou de tirer chasseurs de la RAF dans une bataille décisive. Göring n'a rien fait pour résoudre ce désaccord entre ses commandants, et seules directives vagues étaient assis pendant les étapes initiales de la bataille, avec Göring apparemment incapable de décider de la stratégie à suivre. Il semblait parfois obsédés par le maintien de sa propre base de pouvoir dans la Luftwaffe et de se livrer ses croyances dépassées sur les combats de l'air, qui devaient plus tard conduire à des erreurs tactiques et stratégiques.

Tactique

Tactiques de la Luftwaffe ont été influencés par leurs combattants. Le Bf 110 se est avéré trop vulnérables aux chasseurs de la RAF monomoteurs agiles. Cela signifiait la majeure partie des missions d'escorte de chasse est tombé sur les Bf 109. tactiques de chasse ont ensuite été compliquée par les équipages des bombardiers qui réclamaient protection rapprochée. Après les luttes acharnées de 15 et 18 Août, Göring a rencontré ses chefs d'unité. Lors de cette conférence, la nécessité pour les combattants de se retrouver à l'heure avec les bombardiers a été souligné. Il a également été décidé que l'un bombardier Gruppe ne pouvait être correctement protégé par plusieurs Gruppen de 109. En outre stipulé que Göring que de nombreux combattants que possible devaient être laissé libre pour Freie Jagd ("Hunts gratuites": un combattant balayage libre itinérant précédée d'un raid pour tenter de balayer les défenseurs sur le chemin de la descente). Les Ju 87 unités, qui avaient subi de lourdes pertes, ne devaient être utilisés dans des circonstances favorables. Au début de Septembre, due à l'augmentation des plaintes des équipages de bombardiers environ chasseurs de la RAF apparemment capables de passer à travers l'écran d'escorte, Göring a ordonné une augmentation de près les fonctions d'escorte. Cette décision enchaîné plusieurs des Bf 109 aux bombardiers et, même se ils étaient plus de succès à protéger les forces de bombardiers, victimes parmi les combattants montés principalement parce qu'ils ont été contraints de voler et manœuvrer à des vitesses réduites.

La Luftwaffe constamment varier ses tactiques dans ses tentatives pour percer les défenses de la RAF. Il a lancé plusieurs Freie Jagd à élaborer chasseurs de la RAF. RAF contrôleurs de combat, cependant, étaient souvent en mesure de détecter ces positions et les escadrons de les éviter, en gardant le plan de Dowding pour préserver la force de combattant pour les formations de bombardiers. La Luftwaffe a également essayé à l'aide de petites formations de bombardiers comme appât, les couvrant avec un grand nombre d'escortes. Cela a été plus réussie, mais le devoir d'escorte liée aux combattants de la vitesse lente de les bombardiers et les a rendus plus vulnérables.

Motif de traînées de condensation laissées par les avions britanniques et allemands, après un combat de chiens.

En Septembre, la tactique standard pour raids étaient devenus un amalgame de techniques. Un Freie Jagd précéderait les principales formations d'attaque. Les bombardiers voler dans à des altitudes entre 16.000 pieds (4.900 m) et 20.000 pieds (6.100 m), étroitement escortés par des chasseurs. Les escortes ont été divisés en deux parties (généralement Gruppen ), certains fonctionnant en contact étroit avec les bombardiers et d'autres quelques centaines de yards loin et un peu au-dessus. Si la formation a été attaqué par tribord, la section tribord engagé les attaquants, la partie supérieure de passer à tribord et la section de port à la position supérieure. Si l'attaque est venue du côté bâbord du système a été inversée. Combattants britanniques venant de l'arrière ont été engagés par la partie arrière et les deux sections en dehors de déplacer de façon similaire à l'arrière. Si la menace venait d'en haut, la partie supérieure est entré en action tandis que les sections latérales hauteur gagné pour être en mesure de suivre chasseurs de la RAF bas comme ils se séparèrent. En cas d'attaque, toutes les sections ont volé dans les milieux défensifs. Ces tactiques ont évolué et habilement menées, et ont été extrêmement difficiles à contrer.

Adolf Galland, le leader du succès III. / JG 26, est devenu GeschwaderkommodoredeJG 26 le 22 Août.

Adolf Galland a noté:

Nous avons eu l'impression que, quoi que nous avons fait, nous avons été obligés de se tromper. la protection de Fighter pour les bombardiers créé de nombreux problèmes qui ont dû être résolu dans l'action. pilotes de bombardiers préféraient le dépistage étroite dans laquelle leur formation a été entouré par des paires de combattants poursuivent un cours en zigzag. De toute évidence, la présence visible des combattants de protection a donné les pilotes de bombardiers un plus grand sentiment de sécurité. Cependant, ce fut une conclusion erronée, parce que un combattant ne peut effectuer cette tâche purement défensive en prenant l'initiative de l'offensive. Il ne doit jamais attendre attaqué parce qu'il perd alors la possibilité d'agir.

Nous les pilotes de chasse préféraient certainement la chasse libre pendant l'approche et sur ​​la zone cible. Cela donne le plus grand soulagement et la meilleure protection pour la force de bombardement.

Le plus gros inconvénient du Bf 109 pilotes était que sans le bénéfice de longue portée réservoirs largables (qui ont été introduits en nombre limité dans les derniers stades de la bataille), habituellement de 300 litres (66 gal imp; 79 gallons US) la capacité, les 109s avaient une endurance d'un peu plus d'une heure et, pour la 109E, 600 km (360 mi) gamme. Une fois que la Grande-Bretagne, un pilote 109 a dû garder un oeil sur un rouge "bas niveau de carburant" la lumière sur le tableau de bord: une fois cela a été allumé, il a été contraint de rebrousser chemin et de la tête pour la France. Avec la perspective de deux longs vols au-dessus de l'eau, et sachant leur gamme a été considérablement réduite lorsque l'escorte des bombardiers ou pendant le combat, l' Jagdflieger inventé le terme Kanalkrankheit ou «maladie Channel".

Intelligence

La Luftwaffe a été mal servi par son manque de renseignement militaire sur les défenses britanniques. Les services de renseignement allemands ont été fracturés et en proie à des rivalités; leur performance était "amateur". En 1940, il y avait quelques agents allemandes opérant en Grande-Bretagne et une poignée de tentatives ratées pour insérer des espions dans le pays ont été déjoués.

À la suite de transmissions radio interceptées, les Allemands ont commencé à réaliser que les chasseurs de la RAF ont été contrôlés à partir des installations au sol; en Juillet et Août 1939, par exemple, le dirigeable Graf Zeppelin , qui a été emballé avec des équipements pour écoute sur la radio de la RAF et les transmissions RDF, a volé le long des côtes de la Grande-Bretagne. Bien que la Luftwaffe a correctement interprété ces nouvelles procédures de contrôle au sol, ils ont été mal évalués comme étant rigide et inefficace. A Colombie- radar système a été bien connu de l' Luftwaffe de renseignements recueillis avant la guerre, mais le "très développé système Dowding "liée à un contrôle de chasse avait été un secret bien gardé. Même quand une bonne information existait, comme un Novembre 1939 Abwehr évaluation des forces et des capacités Fighter Command par Abteilung V , il a été ignorée si elle ne correspond préjugés classiques.

Le 16 Juillet 1940, Abteilung V , commandé par Oberstleutnant "Beppo" Schmid, a produit un rapport sur ​​la RAF et sur ​​les capacités de défense de la Grande-Bretagne qui a été adopté par les commandants de première ligne comme base de leurs plans opérationnels. L'un des échecs les plus remarquables du rapport était le manque d'information sur RDF les capacités des systèmes de réseau et de contrôle de la RAF; il a été supposé que le système était rigide et inflexible, avec les chasseurs de la RAF étant «liés» à leurs bases. Un optimiste et, comme il est avéré, conclusion erronée était atteint:

D. Supply Situation ... À l'heure actuelle l'industrie aéronautique Colombie produit environ 180 à 300 premiers combattants de ligne et 140 premiers bombardiers de ligne par mois. Compte tenu des conditions actuelles relatives à la production (l'apparition de difficultés de matières premières, l'arrêt ou la répartition de la production dans les usines dues à des attaques aériennes, la vulnérabilité accrue à l'attaque de l'air en raison de la réorganisation fondamentale de l'industrie aéronautique actuellement en cours), on pense que pour le moment la production va diminuer plutôt que d'augmenter. Dans le cas d'une intensification de la guerre aérienne, il est prévu que la force actuelle de la RAF va tomber, et cette baisse sera aggravée par la baisse continue de la production.

En raison de cette déclaration, renforcé par un autre rapport plus détaillé, publié le 10 Août, il y avait un état ​​d'esprit dans les rangs de la Luftwaffe que la RAF serait à court de combattants de première ligne. La Luftwaffe a estimé qu'il faiblissait Fighter Command à trois fois le taux d'attrition réelle. Plusieurs fois, la direction croit la force de Fighter Command était effondré, seulement pour découvrir que la RAF était capable d'envoyer jusqu'à formations défensives à volonté.

Tout au long de la bataille, la Luftwaffe a dû utiliser de nombreuses sorties de reconnaissance pour compenser la mauvaise intelligence. Des avions de reconnaissance (initialement la plupart des 17s Dornier faire, mais de plus en plus Bf 110s) a prouvé une proie facile pour les chasseurs britanniques, comme il était rarement possible pour eux d'être escortés par des Bf 109. Ainsi, la Luftwaffe exploité "aveugle" pour une grande partie de la bataille, pas sûr de véritables forces, les capacités et les déploiements de son ennemi. Plusieurs des aérodromes Fighter Command ont jamais été attaqué, tandis que des raids contre les aérodromes de chasse supposés sont tombés sur la place bombardier ou stations côtières de la défense. Les résultats des bombardements et des combats de l'air ont été systématiquement exagérés, en raison de déclarations inexactes, over-enthousiastes rapports et la difficulté de confirmation dessus du territoire ennemi. Dans l'atmosphère euphorique de la victoire perçue, la Luftwaffe le leadership est devenu de plus en plus déconnectée de la réalité. Ce manque de leadership et l'intelligence solide entend les Allemands n'a pas adopté une stratégie cohérente, même lorsque la RAF avait le dos au mur. En outre, il n'y a jamais un accent systématique sur un type de cible (tels que les bases aériennes, les stations radar, ou des usines d'avions); par conséquent, l'effort déjà hasard a encore dilué.

Aides à la navigation

Alors que les Britanniques ont été en utilisant plus efficacement que les Allemands se rendent compte radar pour la défense aérienne, la Luftwaffe a tenté d'appuyer sur sa propre offensive avec avancés systèmes de radionavigation dont les Britanniques ont été initialement pas au courant. L'un d'eux était Knickebein («cuisse tordu"); ce système a été utilisé dans la nuit et pour les raids où la précision est requise. Il a été rarement utilisé au cours de la bataille d'Angleterre (voir Reginald Victor Jones et bataille des faisceaux).

Air de sauvetage en mer

La Luftwaffe était beaucoup mieux préparé pour la tâche de sauvetage air-mer de la RAF, tâches spécifiquement l' Seenotdienst appareil, équipé d'environ 30 Heinkel He 59 hydravions, de ramasser équipages abattus de la Mer du Nord , Manche et les détroits de Douvres. En outre, la Luftwaffe avions étaient équipés de radeaux de sauvetage et l'équipage ont été fournis avec des sachets d'un produit chimique appelé fluorescéine qui, à réagir avec de l'eau, a créé un grand facile à voir, tache verte, brillante. Conformément à la Convention de Genève, les 59s il était armé et peints en blanc avec des marques d'immatriculation civiles et croix rouges. Néanmoins, avions de la RAF a attaqué ces appareils, comme certains l'ont été escortés par des Bf 109.

Après 59s lui seul, il a été forcé d'atterrir sur la mer par des combattants de la RAF, le 1er et le 9 Juillet, respectivement, une ordonnance controversée a été délivré à la RAF le 13 Juillet; a déclaré que ce 20 Juillet, Seenotdienst avions devait être abattu. Une des raisons invoquées par Churchill était:

Nous ne reconnaissons pas ce moyen de sauvetage des pilotes ennemis afin qu'ils puissent venir bombarder à nouveau notre population civile ... toutes les ambulances aériennes allemandes ont été forcés vers le bas ou abattus par nos combattants sur des ordres précis approuvés par le Cabinet de guerre.

La Colombie a également estimé que leurs équipages feraient rapport sur ​​les convois. Le Ministère de l'Air publie un communiqué au gouvernement allemand le 14 Juillet que la Grande-Bretagne était

incapable, cependant, d'accorder l'immunité à ces avions survolant des zones où des opérations sont en cours sur terre ou en mer, ou d'approcher le territoire britannique ou alliées, ou le territoire occupation britannique, ou de navires britanniques ou alliées. aéroambulances qui ne se conforme pas à ce qui précède le fera à ses propres risques et périls

Les 59s He blancs furent bientôt repeints dans des couleurs de camouflage et armés de mitrailleuses défensives. Bien que quatre autres 59s lui étaient abattus par des avions de la RAF, la Seenotdienst continué à ramasser Downed Luftwaffe et équipages alliés tout au long de la bataille, gagner les éloges de Adolf Galland pour leur bravoure.

Stratégie RAF

Le système Dowding

La défense britannique a été basé sur le " Système Dowding ", l'infrastructure complexe de la détection, de commande et de contrôle qui a couru la bataille. Il a été nommé d'après son architecte en chef, Air Chief Marshal Sir HCT "bouché" Dowding, le chef du Fighter Command et une personne importante en Grande-Bretagne et peut-être le monde-qui ne croyait pas que les années 1930 l'orthodoxie que « le bombardier sera toujours passer à travers ". Une grande partie du système de défense aérienne avait été initialement mis en place à partir de 1917 par Major Général EB Ashmore. Dowding construit sur ​​et modernisé bon nombre des caractéristiques de ce système, y compris l'utilisation de la radio dans les deux sens et le corps des observateurs Royal (ROC). Cependant, le noyau du système de Dowding a été mis en œuvre par lui-même Dowding: l'utilisation de radiogoniométrie (RDF, plus tard appelé radar , pour ra dio d ÉTECTION un e r anging) était à sa demande, et son utilisation, complétée par des informations par le ROC, était crucial pour la capacité de la RAF pour intercepter efficacement les avions allemands entrant. Il a également insisté pour avoir les opérateurs radar liées par téléphone (dont les fils ont été portées à grande profondeur avec la protection de béton anti-bombe) à un centre opérationnel: contrôle Fighter Command à Bentley Priory. Pendant la bataille, plusieurs Coastal Command et unités Fleet Air Arm passent sous contrôle Fighter Command.

Groupes

L'espace aérien britannique a été divisée en quatre groupes.

• 10 Groupe défenduau Pays de Galleset de l'Ouest du pays et a été commandé parAir Vice-Marshal SirQuintin Brand.
• 11 Groupe a couvert le sud-est de l'Angleterre et les approches critiques à Londres et a été commandé par le Néo-Zélandais Air Vice-Marshal Keith Parc de la No. 11 salle des opérations Fighter Group commande dans le bunker souterrain au RAF Uxbridge, maintenant connu comme le Battle of Britain Bunker.
• 12 Groupe défendu les Midlands etEast Anglia et a été dirigée par le vice-maréchal de l'airTrafford Leigh-Mallory.
• 13 Groupe a couvert le nord de l'Angleterre,l'Ecosseetl'Irlande du Nordet a été commandé par Air Vice-MarshalRichard Saul.

Commandant en chef, le maréchal de l'airSir Hugh Dowding 10 commandant du Groupe, SirQuintin Marque 11 commandant du groupe,Keith parc en face de son Hurricane OK-2 surMalteen 1942 12 commandant du Groupe, Trafford Leigh-Mallory 13 commandant du Groupe, Richard Saul

Systèmes de commande

Chaîne couverture Accueil de radar, les bases et les limites de groupe

Habituellement, les premières indications de raids aériens entrants ont été reçus par les installations Chain Direction Home radiogoniométrie (RDF) qui se trouvaient autour des côtes de la Grande-Bretagne. Dans la plupart des circonstances, RDF pourrait ramasser formations de Luftwaffe avion comme ils ont organisé sur leurs propres aérodromes. Une fois que l'avion a touché les côtes raids sur l'Angleterre, les formations ont également été tracées par le corps des observateurs. Les informations provenant de RDF et le corps des observateurs ont été envoyés par le biais de la salle des opérations principales de Quartier général du Commandement Fighter à Bentley Priory. Les parcelles ont été évaluées pour déterminer si elles étaient «hostiles» ou «amical». Si hostile, l'information a été envoyée à la principale "salle des opérations", qui était dans un grand bunker souterrain.

Voici l'information sur les cours de chaque raid a été tracée par WAAFs qui ont reçu l'information par un système téléphonique. Renseignements supplémentaires ont été fournis par les postes de radio de service "Y", qui a suivi les transmissions radio de l'ennemi, et le centre "Ultra" de décodage basé à Bletchley Park. compteurs à code couleur représentant chacune RAID ont été placés sur une grande table, qui avait une carte de la Grande-Bretagne se superposent et se carré avec une Grille modification britannique. La couleur du compteur à utiliser pour une nouvelle observation a été déterminée par le temps de l'observation, la bonne couleur étant indiquée par l'aiguille des minutes de l' horloge du secteur. Comme les parcelles de l'avion raids déplacés, les compteurs ont été poussés à travers la carte magnétique par "râteaux". Ce système a permis à la principale "Fighter Controller" (généralement de chef d'escadron rang) et Dowding à voir rapidement où chaque formation se dirigeait et a permis une estimation à faire des cibles possibles. L'âge de l'information est facilement apparent à partir de la couleur du compteur. En raison de la simplicité du système, les décisions peuvent être prises rapidement et facilement.

En dehors de l'unité de commande, la plupart de la chambre et le plan d'information a été opéré par des membres de la WAAF. Avant la guerre, il y avait encore beaucoup de doute sur la capacité des femmes à résister à des conditions de combat, avec de nombreux employés sur aviatrices de première ligne et les stations RDF aérodromes. L'expérience acquise durant la bataille a prouvé que ces doutes étaient sans fondement et la contribution des WAAFs est devenu essentiel de la RAF dans ses systèmes de contrôle et de communication, et dans de nombreuses autres fonctions.

Cette information a été envoyé simultanément au siège de chaque groupe (par exemple, RAF Uxbridge depuis 11 Groupe), où il a été "filtré" à travers une chambre de filtre (qui est, rassemblées, recoupées et simplifié), avant d'être envoyé par le biais de une autre salle des opérations, logé dans la bataille d'Angleterre Bunker. Parce que le Groupe avait le contrôle tactique de la bataille, la salle des opérations était différent dans la présentation de l'un à Bentley Priory. La carte principale sur la table de traçage a représenté la région de commande du groupe et de ses aérodromes associés. Équipements de radio et téléphone vaste transmis et reçu un flux constant d'informations des différents aérodromes du secteur ainsi que le corps des observateurs, le Commandement de AA et de la marine. Le "contrôleur Duty de chasse" était (par exemple dans 11 Groupe) le représentant personnel du Parc, dont le travail était de contrôler quand et comment chaque incursion serait traitée. Il a ordonné aux escadrons aériens et les positionne comme il pensait mieux. Timing était de l'essence, parce que «(e) ach minute de retard inutile en attendant de faire absolument sûr que le raid arrivait signifiait environ 2.000 pieds d'altitude vitale nos combattants auraient pas quand ils ont rencontré l'ennemi." ( Wing Commander Lord Willoughby de Broke , principal Fighter Controller, Uxbridge.)

Chaque chambre Groupe avait un «conseil de fourre-tout" qui a montré chaque escadron à la disposition de ce groupe. Le conseil d'épicerie avait un système de lumières qui a permis aux contrôleurs de voir l'état de l'escadron: Sortie (non disponible); Disponible (aéroportée en 20 minutes); préparation (aéroportée en 5 minutes); Standby (pilotes dans le cockpit, l'air en 2 minutes ); Airborne et le déplacement en position ; Ennemi aperçu ; Ordonné à la terre ; Landed et de ravitaillement / réarmement . À côté du plateau de fourre-tout, où il pourrait être clairement vu, était un tableau météo qui a montré l'état de la météo autour de chaque aérodrome. Il était de la responsabilité des traceurs des Ambassadeurs de mettre à jour continuellement les conseils d'emballage et les conditions météorologiques.

Un rôle essentiel a été joué par les ingénieurs de téléphone duGPO "qui ont travaillé toutes les heures la réparation des communications, de l'installation complètement nouvelles installations dans les centres d'urgence, et de garder le système nerveux de fonctionner Fighter Command ..." (Air Commodore Eric Roberts, commandant Moyen Secteur Wallop en 1940)

Malgré les apparences, les groupes ne sont pas mutuellement de support; Park, par exemple, ne pouvait que demander - pas exiger - l'assistance de la marque (qui généralement coopéré), ou à partir de Leigh-Mallory (qui ont souvent tergiversé). Ce fut parce Dowding avait jamais donné des ordres permanents pour aider, ni eu, il a créé une méthode pour coordonner il.

Il y avait un autre problème que l'avion n'a pas été attribué de façon équitable entre les groupes. Alors que la chasse de la RAF le plus efficace était le Spitfire, 70% des avions du groupe 11 étaient Hurricanes. "Au total, moins d'un tiers des meilleurs combattants de la Grande-Bretagne étaient en activité dans le secteur clé."

Secteurs

Le tableau de pointage à l'intérieur de la bataille d'Angleterre Bunker du 11 Secteur Groupe auRAF Uxbridge.

On ne sait pas combien les interceptions britanniques du chiffrement Enigma , utilisés pour la haute sécurité des communications radio allemande, touchés la bataille. Ultra, l'information obtenue de conversations interceptées Enigma, a donné les plus hauts échelons du commandement britannique en vue des intentions allemandes. Selon FW Winterbotham, qui était le principal représentant du personnel Air dans le Secret Intelligence Service, Ultra a aidé à établir la force et la composition de la Luftwaffe de les formations, les objectifs des commandants et à condition d'alerte précoce de certains raids. Au début Août, il a été décidé qu'une petite unité serait mis en place au siège Fighter Command (Stanmore), capable de traiter le flux d'informations à partir de Bletchley et de fournir Dowding uniquement avec le matériau ultra essentiel; ainsi le ministère de l'Air n'a pas eu à envoyer un flux continu d'informations à Stanmore, le secret de préserver et de Dowding n'a pas été inondé avec des informations non-essentielles. Keith Park et ses contrôleurs ont également été dit à propos de Ultra. Dans une autre tentative de camoufler l'existence d'Ultra, Dowding a créé une unité appelée 421 Vol. Cette unité (qui devint plus tard 91 Squadron), a été équipé d'Hurricane et Spitfire et envoyé des avions pour rechercher et signaler la Luftwaffe formations approchant Angleterre. En outre, le service d'écoute de la radio (connu sous le nom de service Y), suivi des motifs de la Luftwaffe trafic radio, a contribué considérablement à l'alerte précoce de raids.

Air de sauvetage en mer

Un des plus grands oublis de l'ensemble du système était l'absence d'une bonne organisation de sauvetage air-mer. La RAF avait commencé à organiser un système en 1940 avec lance à grande vitesse (LGV) basé sur le vol de bases de bateau et à un certain nombre d'endroits à l'étranger, mais on croyait encore que la quantité de trafic trans-Manche signifiait qu'il n'y avait pas besoin d'un les services de secours pour couvrir ces zones. Pilotes abattus et membres d'équipage, il avait espéré, seraient captés par des bateaux ou navires qui se trouvait être en passant par. Sinon, le bateau de la vie locale serait alerté, en supposant que quelqu'un avait vu le pilote d'aller dans l'eau.

RAF équipage ont été émises avec un gilet de sauvetage, surnommé le « Mae West », mais en 1940, il reste nécessaire gonflage manuel, qui était presque impossible pour quelqu'un qui a été blessé ou en état ​​de choc. Les eaux des Anglais Anglo-Normandes et Dover Straits sont froid, même dans le milieu de l'été, et des vêtements délivré à RAF équipages ont peu fait pour les isoler contre ces conditions de gel. La RAF a également imité la pratique allemande de l'émission de la fluorescéine. Une conférence en 1939 avait placé air-mer de sauvetage relevant de Coastal Command. Comme un certain nombre de pilotes avait été perdu en mer au cours de la "Channel Battle", le 22 Août, le contrôle de la RAF lancements de sauvetage a été transmis aux autorités navales locales et 12 Lysanders ont été donnés à Fighter Command pour aider à soigner pour les pilotes en mer. En tout quelque 200 pilotes et membres d'équipage ont été perdus en mer durant la bataille. Aucun service de sauvetage air-mer appropriée a été formé jusqu'en 1941.

Tactique

X4474, une production tardive Spitfire Mk I du19 Escadron, Septembre 1940. Au cours de la bataille 19 Escadron faisait partie de l'aile Duxford.

Le poids de la bataille tomba sur 11 Groupe. Les tactiques de Keith Parc étaient d'envoyer des escadrons individuels pour intercepter les raids. L'intention était de soumettre les bombardiers à des attaques continuelles par un nombre relativement faible de combattants et d'essayer de briser les formations allemandes serrés. Une fois formations avaient effondré, retardataires pourraient être abattus un par un. Lorsque plusieurs escadrons atteint un raid de la procédure était pour les Hurricanes plus lents à se attaquer les bombardiers tandis que les Spitfires plus agiles détenus jusqu'à l'escorte de chasseurs. Cet idéal n'a pas toujours été atteint, résultant en des occasions où Spitfires et Hurricanes inversés rôles. Park ont également donné des instructions à ses unités de se livrer à des attaques frontales contre les bombardiers, qui étaient plus vulnérables à de telles attaques. Encore une fois, dans l'environnement de déplacement rapide, des batailles aériennes en trois dimensions, quelques unités de chasse de la RAF ont été en mesure d'attaquer les bombardiers de la tête sur.

Pendant la bataille, certains commandants, notamment Leigh-Mallory, escadrons proposées soient formés en «grandes ailes », constitués d'au moins trois escadrons, pour attaquer l'ennemien masse, une méthode mise au point parDouglas Bader.

Douglas Bader a commandé 242 escadron durant la bataille. Il a également dirigé l'aile Duxford.

Les partisans de cette tactique affirmé interceptions en grand nombre ont causé des pertes plus importantes de l'ennemi tout en réduisant leurs propres pertes. Les opposants ont souligné les grandes ailes serait trop long pour former, et la stratégie couraient un plus grand risque de combattants d'être pris sur le ravitaillement du sol. L'idée grande aile a également causé les pilotes à Overclaim leurs proies, en raison de la confusion d'une zone de combat plus intense. Cela a conduit à la croyance grandes ailes étaient beaucoup plus efficace que ce qu'ils étaient.

La question a causé des frictions intenses entre le parc et Leigh-Mallory, comme 12 groupe a été chargé de la protection de 11 aérodromes du Groupe tandis que les escadrons de Parc interceptés raids entrants. Cependant, le retard dans la formation des grandes ailes signifiait souvent les formations ne sont pas arrivés du tout ou qu'après bombardiers allemands avaient frappé 11 aérodromes du Groupe. Dowding, pour mettre en évidence le problème de la performance de la grande aile, a présenté un rapport compilé par le Parc au ministère Air le 15 Novembre. Dans le rapport, il a souligné que durant la période du 11 Septembre - 31 Octobre, l'utilisation extensive de la Big Wing avait abouti à seulement 10 interceptions et un avion allemand détruit, mais son rapport a été ignoré. Une analyse post-guerre accepte Dowding et l'approche de Park était le mieux pour 11 Groupe.

Le retrait de Dowding de son poste en Novembre 1940 a été attribuée à cette lutte entre le parc et la stratégie de la lumière du jour de Leigh-Mallory. Cependant, les raids intensifs et la destruction opérées pendant le Blitz endommagés fois Dowding et le parc en particulier, pour le défaut de produire un système de défense efficace chasseur de nuit, quelque chose pour laquelle l'influent Leigh-Mallory avait longtemps critiqués.

Bomber et contributions Coastal Command

A Bristol Blenheim Mk IV du 21 Squadron. Les unités de bombardiers Blenheim de Bomber et Coastal Commands portaient de lourdes pertes tout en entreprenant un certain nombre de tâches au cours de la bataille.

Bomber Command et le Coastal Command avions volaient sorties offensives contre des cibles en Allemagne et en France au cours de la bataille. Après les catastrophes initiales de la guerre, avec des bombardiers Vickers Wellington abattus en grand nombre attaquant Wilhelmshaven et le massacre des escadrons Fairey Battle envoyés en France, il est devenu clair que le Bomber Command devrait opérer principalement la nuit pour parvenir à des résultats sans encourir des pertes très élevées. Du 15 mai 1940, une campagne de bombardement de nuit a été lancée contre l'industrie allemande de l'huile, des communications et forêts / cultures, principalement dans la région de la Ruhr.

Comme montée de la menace, du Bomber Command changé priorité de ciblage, le 3 Juin 1940 à attaquer l'industrie aéronautique allemande. Le 4 Juillet, le ministère de l'Air a donné des ordres du Bomber Command à attaquer les ports et le transport maritime. En Septembre, l'accumulation de barges de débarquement dans les ports de la Manche était devenu une cible prioritaire. Le 7 Septembre, le gouvernement a émis un avertissement que l'invasion pourrait être attendue dans les prochains jours et, ce soir-là, le Bomber Command a attaqué les ports de la Manche et dépôts de ravitaillement. Le 13 Septembre, ils ont effectué un autre grand raid sur les ports de la Manche, le naufrage 80 grandes barges dans le port de Ostende. 84 barges ont été plongés dans un autre raid Dunkerque après le 17 Septembre et le 19 Septembre, près de 200 barges avaient été coulés. La perte de ces barges peut avoir contribué à la décision de Hitler de reporter l'opération Sealion indéfiniment. Le succès de ces raids était en partie parce que les Allemands avaient quelques stations radar Freya mis en place en France, de sorte que les défenses aériennes des ports français étaient loin d'être aussi bon que les défenses aériennes dessus de l'Allemagne; Bomber Command avait réalisé environ 60% de sa force contre les ports de la Manche.

Le Bristol Blenheim unités également perquisitionné aérodromes occupés par les Allemands au long de Juillet to Décembre 1940, à la fois pendant la journée et la nuit. Bien que la plupart de ces raids étaient improductives, il y avait quelques succès; le 1er Août, cinq des 12 Blenheim envoyé pour attaquer Haamstede et Evere ( Bruxelles ) ont été en mesure de bombarder, détruire ou fortement dommageables trois Bf 109 de II. / JG 27 et apparemment tué un Staffelkapitän identifié comme un Hauptmann Albrecht von Ankum-Frank . Deux autres 109s ont été revendiqués par les artilleurs Blenheim. Un autre raid réussi sur Haamstede a été faite par un seul Blenheim le 7 Août qui a détruit l'un des 109 4. / JG 54, fortement endommagé une autre et causé des dommages légers à quatre de plus.

Il y avait quelques missions qui ont produit un taux de pertes de près de 100% parmi les Blenheim; une telle opération a été montée le 13 Août 1940 contre un Luftwaffe aérodrome près de Aalborg, dans le nord-est du Danemark par 12 avions de 82 Squadron. Un Blenheim rendu plus tôt (le pilote a ensuite été accusé et doit comparaître devant une cour martiale, mais a été tué sur une autre opération), les 11 autres, qui a atteint le Danemark, ont été abattus, cinq par la flak et six par Bf 109. Sur les 33 membres d'équipage qui ont pris part à l'attaque, 20 ont été tués et 13 capturés.

Ainsi que les opérations de bombardement, Blenheim unités équipées avaient été formés pour mener à bien à long terme des missions de reconnaissance stratégiques sur l'Allemagne et les territoires occupés par les Allemands. Dans ce rôle, le Blenheim nouveau avéré être trop lent et vulnérable contre la Luftwaffe combattants, et ils ont pris les pertes constantes.

Coastal Command dirigé son attention vers la protection de la navigation britannique, et la destruction de la flotte ennemie. Comme l'invasion est devenu plus probable, il a participé à des grèves sur les ports et aérodromes français, la pose de mines et de montage de nombreuses missions de reconnaissance au-dessus de la côte tenue par l'ennemi. En tout, quelque 9180 sorties effectuées par les bombardiers de Juillet à Octobre 1940. Bien que ce soit beaucoup moins que les 80 000 sorties effectuées par les combattants, les équipages des bombardiers souffert environ la moitié du nombre total de victimes supportés par leurs collègues de chasse. La contribution de kamikaze était, par conséquent, beaucoup plus dangereux sur une comparaison perte-per-sortie.

Bomber, de reconnaissance et des opérations de patrouille anti-sous poursuivies tout au long de ces mois avec peu de répit et aucun de la publicité accordée à Fighter Command. Dans son célèbre discours sur 20 Août " The Few ", louant Fighter Command, Churchill a également fait un point de mentionner la contribution du Bomber Command, ajoutant que les bombardiers étaient même alors riposter à l'Allemagne; cette partie du discours est souvent négligé, même aujourd'hui. La bataille d'Angleterre Chapelle dans l'abbaye de Westminster énumère dans un tableau d'honneur, les membres de l'équipage de commande 718 de Bombardier, et 280 à partir de Coastal Command qui ont été tués entre le 10 Juillet et le 31 Octobre.

Phases de la bataille

Allemand Heinkel He 111 bombardiers au-dessus de la Manche 1940

La bataille peut être divisée en quatre phases:

• 10 Juillet - 11 Août:Kanalkampf, ("les batailles de la Manche»).
• 12-23 Août: Adlerangriff(«Eagle Attack"), début de l'assaut contre les aérodromes côtiers.
• 24 Août - 6 Septembre: la Luftwaffe cible les aérodromes. La phase critique de la bataille.
• 7 Septembre partir: les attaques de jour basculer vers les villes britanniques.

batailles de la Manche

Quatre 264 EscadronRenégats (PS-V a été abattu le 28 Août 1940 surKent parBf 109s.)

Le Kanalkampf comprenait une série de combats en cours d'exécution sur les convois dans la Manche. Il a été lancé en partie parce que Kesselring et Sperrle étaient pas sûr de quoi faire d'autre, et en partie parce qu'il a donné aux équipages allemands une formation et une chance de sonder les défenses britanniques. Dowding ne pouvait fournir une protection minimale de l'expédition, et ces batailles large de la côte tendance à favoriser les Allemands, dont les escortes bombardier eu l'avantage de l'altitude et plus nombreux que les chasseurs de la RAF. Du 9 Juillet reconnaissance de sondage par Dornier Do 17 bombardiers mis à rude épreuve les pilotes et les machines de la RAF, avec des pertes élevées de la RAF à Bf 109. Lorsque neuf 141 Escadron Renégats est entré en action le 19 Juillet six ont été perdus de Bf 109s avant un escadron des ouragans intervenu. Le 25 Juillet un convoi de charbon et destroyers ont subi de telles pertes à des attaques de Stukas bombardiers en piqué que le British Admiralty décidé convois doivent voyager de nuit: la RAF abattu 16 voleurs mais a perdu 7 avions. Le 8 Août 18 navires de charbon et 4 destroyers avaient été coulés, mais la Marine a été déterminé d'envoyer un convoi de 20 navires par le biais plutôt que de déplacer le charbon par chemin de fer. Après plusieurs Stuka attaque ce jour-là, six navires ont été gravement endommagés, quatre ont été coulés et seulement quatre ont atteint leur destination. La RAF a perdu 19 combattants et abattu 31 avions allemands. La Marine annulé maintenant toutes les autres convois à travers la Manche et de la cargaison envoyée par chemin de fer. Cependant, ces rencontres de combat premiers condition que les deux côtés avec l'expérience.

Assaut principal

L'attaque principale sur les défenses de la RAF était le nom de codeAdlerangriff(«Eagle Attack").

Le mauvais temps a retardé Adlertag («Eagle Day") jusqu'au 13 Août 1940. Le 12 Août, la première tentative a été faite pour aveugler le système Dowding, lorsque les avions de l'unité chasseur-bombardier spécialiste Erprobungsgruppe 210 attaqué quatre stations radar. Trois ont été brièvement pris hors de l'air, mais étaient de retour travaillent dans les six heures. Les raids ont semblé montrer que les radars britanniques étaient difficiles à assommer. L'incapacité à monter des attaques de suivi a permis à la RAF pour obtenir les stations de retour sur l'air, et les Luftwaffe grèves négligées sur l'infrastructure de soutien, tels que des lignes téléphoniques et des centrales électriques, ce qui aurait rendu les radars inutile, même si les tours eux-mêmes (qui étaient très difficiles à détruire) est restée intacte.

Adlertag ouvert avec une série d'attaques, conduit à nouveau par Epro 210, sur les aérodromes côtiers utilisés comme motifs avant d'atterrissage pour les chasseurs de la RAF, ainsi que des «terrains d'aviation de satellites» (y compris Manston et Hawkinge). Comme la semaine a attiré sur, les attaques de l'aérodrome déplacés plus à l'intérieur, et des raids répétés ont été effectués sur la chaîne radar. 15 Août était "le plus grand jour" lorsque la Luftwaffe monté le plus grand nombre de sorties de la campagne. Luftflotte 5 attaqué le nord de l'Angleterre. Estimant force Fighter Command à être concentré dans le sud, les raids des forces du Danemark et de la Norvège a couru dans la résistance plus forte que prévu. Insuffisamment escorté par Bf 110s, les bombardiers ont été abattus en grand nombre. Nord Est de l'Angleterre a été attaqué par 65 Heinkel 111s escortés par 34 110s Messerschmitt, et la RAF Great Driffield a été attaqué par 50 escorte Junkers 88s. Sur 115 bombardiers et 35 combattants envoyés, 16 bombardiers et 7 combattants ont été détruites. À la suite de ces accidents, Luftflotte 5 ne semble pas encore en force dans la campagne.

18 Août qui avait le plus grand nombre de victimes des deux côtés, a été surnommé " The Hardest Day ". Après les batailles de rectification du 18 Août, l'épuisement et le temps réduit pour la plupart des opérations d'une semaine, permettant à la Luftwaffe d'examiner leur performance. "The Hardest Day" avait sonné la fin pour le Ju 87 à la campagne. Ce vétéran de la Blitzkrieg était trop vulnérable aux combattants pour fonctionner sur la Grande-Bretagne, et de préserver le Stuka vigueur, Göring les retira des combats. Cette retiré la principale Luftwaffe précision bombardements arme et déplacé le fardeau des attaques ponctuelles sur le déjà étiré Erpro 210. Le Bf 110 a prouvé trop maladroit pour les combats de chiens avec des combattants monomoteurs, et sa participation a été revu à la baisse. Il ne serait utilisé que lorsque la plage nécessaire ou quand escorte monomoteur suffisante ne pouvait pas être prévu pour les bombardiers.

Göring a fait encore une autre décision fatidique: commander plusieurs escortes de bombardiers au détriment de balayages de libre-chasse. Pour atteindre cet objectif, le poids de l'attaque est tombée maintenant sur ​​Luftflotte 2, et la majeure partie des Bf 109 dans Luftflotte 3 ont été transférées à la commande de Kesselring, le renforcement des bases de chasseurs dans le Pas-de-Calais. Dépouillé de ses combattants, Luftflotte 3 se concentrerait sur ​​la campagne de bombardement de nuit. Göring, exprimant sa déception avec la performance de chasse à ce jour dans la campagne, a également fait des changements radicaux dans la structure de commandement des unités de combat, en remplacement de nombreux Geschwaderkommodore avec les jeunes pilotes, plus agressives comme Adolf Galland et Werner Mölders.

Enfin, Göring a arrêté les attaques sur la chaîne radar. Ceux-ci ont été vus comme un échec, et ni le Reichsmarschall ni ses subordonnés ont réalisé à quel point les stations d'accueil de la chaîne étaient à la défense. Il était connu que le radar fourni un avertissement précoce de raids, mais la croyance parmi les pilotes de chasse allemands était que tout ce qui porte le « Tommies »pour lutter devait être encouragé.

LaLuftwaffecible aérodromes de la RAF

Bataille

Polonais 303 pilotes de l'escadron, 1940. De gauche à droite: P / O FERIC, Flt Lt Kent, F / O Grzeszczak, P / O Radomski, P / O Zumbach, P / O Łokuciewski, F / O Henneberg, Sgt. Rogowski, Sgt. Szaposznikow.

Göring a ordonné les attaques contre les usines d'avions, le 19 Août, 1940; le 23 Août 1940, il a ordonné que les aérodromes de la RAF être attaqués. Ce soir une attaque a été monté sur une usine de pneus à Birmingham . Raids sur les aérodromes ont continué jusqu'au 24 Août, et Portsmouth a été frappé par une attaque majeure. Cette nuit-là, plusieurs quartiers de Londres ont été bombardés; la East End a été incendié et des bombes a atterri sur le centre de Londres. Certains historiens pensent que ces bombes ont été larguées accidentellement par un groupe de Heinkel He 111s qui avait échoué à trouver leur cible; ce compte a été contestée. En représailles, la RAF bombarde Berlin dans la nuit 25-26 Août, et a continué à bombarder des raids sur Berlin. La fierté de Göring a été blessé, comme il l'avait précédemment réclamé les Britanniques ne serait jamais capable de bombarder la ville. Les attaques furieux Hitler, qui a ordonné des attaques de représailles sur Londres.

Du 24 Août partir, la bataille était un combat entre de Kesselring Luftflotte 2 et 11 Groupe de Park. La Luftwaffe concentré toutes leurs forces sur assommant Fighter Command et a fait des attaques répétées sur les aérodromes. Des attaques lourdes 33 dans les deux semaines suivantes, 24 étaient contre aérodromes. Les stations de secteurs clés ont été frappés à plusieurs reprises: Biggin Hill et Hornchurch quatre fois chacune; Debden et North Weald deux fois chacun. Croydon, Gravesend, Rochford, Hawkinge et Manston ont également été attaqués dans la force. Coastal Command Eastchurch a été bombardé au moins sept fois, car on croyait à être un aérodrome Fighter Command. Parfois, ces raids ont causé quelques dégâts aux stations du secteur, menaçant l'intégrité du système Dowding.

Pour compenser certaines pertes, quelque 58 Fleet Air Arm bénévoles pilotes de chasse ont été détachés auprès escadrons de la RAF, et un nombre similaire d'anciens pilotes Fairey Battle ont été utilisés. La plupart des remplacements de fonctionnement Unités de Formation (UTO) avaient aussi peu que neuf heures de temps et aucun tir ou de formation air-air de vol de combat. À ce stade, le caractère multinational de Fighter Command venu à l'avant. De nombreux escadrons et du personnel des forces aériennes des Dominions étaient déjà attachés à la RAF, y compris les hauts commandants de niveau - les Australiens, les Canadiens , les Néo-Zélandais, les Sud-Africains et les Rhodésiens. En outre, il y avait d'autres nationalités représentées, y compris les Français Libres, belge et un pilote juive du mandat britannique de la Palestine.

Ils ont été renforcées par l'arrivée de nouvelles tchécoslovaques et polonais escadrons. Ceux-ci avaient été freinés par Dowding, qui pensait à tort non-anglais équipages parlant aurait du mal à travailler au sein de son système de contrôle. Cependant, polonais et tchèques aviateurs se sont avérées particulièrement efficaces. L'avant-guerre polonaise Air Force avait une formation longue et vaste, et des normes élevées; avec la Pologne conquise et sous brutal l'occupation allemande, les pilotes de No. 303 (polonais) Squadron, l'unité alliée plus prolifique, ont été fortement motivé. Josef František, un aviateur régulière tchèque qui avait volé de l'occupation de son pays pour rejoindre les Polonais et les forces de l'air puis en français avant d'arriver en Grande-Bretagne, a volé en tant un invité de 303 Squadron et a finalement été crédité de la plus haute «score RAF" dans la bataille d'Angleterre.

La RAF avait l'avantage de combattre sur le territoire d'accueil. Les pilotes qui renflouées de leur aéronef accidenté pourraient être de retour à leurs aérodromes dans les heures, tandis que si peu de carburant et / ou des munitions qu'ils pourraient être immédiatement réarmés. Pour la Luftwaffe équipages, un plan de sauvetage sur l'Angleterre signifiait capture - dans la période Août critique la Luftwaffe a perdu presque exactement comme de nombreux pilotes comme des prisonniers ont été tués que - tout en parachutisme dans la Manche noyade souvent signifié la mort ou de l'exposition. Le moral a commencé à souffrir, et Kanalkrankheit (la «maladie Channel") - une forme de combat la fatigue - ont commencé à apparaître parmi les pilotes allemands. Leur problème de remplacement était encore pire que les Britanniques.

L'impact de l'offensive

L'effet des attaques allemandes sur les aérodromes est claire. Selon Stephen Bungay Dowding, dans une lettre à Hugh Trenchard accompagnant le rapport de parc sur la période du 8 Août - 10 Septembre 1940, affirme que la Luftwaffe "a réalisé de très peu" dans la dernière semaine d'Août et la première semaine de Septembre. Le seul secteur Gare d'être arrêté opérationnel était Biggin Hill, et il était non-opérationnelle pour seulement deux heures. Dowding a admis l'efficacité de 11 Groupe a été réduite, mais, en dépit de graves dommages à certains aérodromes, seulement deux des 13 aérodromes fortement attaquées étaient en baisse pour plus de quelques heures. Le recentrage allemande sur Londres était pas critique.

Par ce point Hitler devenait impatient avec la Luftwaffe . Le 14 Septembre, le général Hans Jeschonnek, Luftwaffe chef d'état-major, persuada Hitler pour une dernière chance de vaincre la RAF et demandé l'autorisation de lancer des attaques contre des zones résidentielles civiles pour provoquer la panique de masse. Hitler refusa ce dernier, peut-être pas au courant de combien dégâts avaient déjà été causés à des cibles civiles, comme il le voulait se réserver le droit de déclencher l'arme de la terreur. La volonté politique devait être brisé par l'effondrement de l'infrastructure matérielle, l'industrie de l'armement, ainsi que la destruction des stocks de carburant et de nourriture. Le 16 Septembre, Göring a ordonné aux flottes aériennes pour commencer la nouvelle phase de la bataille. Dans les deux mois, le journaliste américain Ralph Ingersoll a publié un livre après une visite en Grande-Bretagne, qui a déclaré que "Adolf Hitler a rencontré sa première défaite en huit ans», ce qui pourrait «entrer dans l'histoire comme une bataille aussi importante que Waterloo ou Gettysburg "-par réduire l'intensité de la Blitz après le 15 Septembre. Selon Ingersoll, «[a] majorité des officiers responsables britanniques qui ont combattu à travers cette bataille crois que si Hitler et Goering avaient eu le courage et les ressources nécessaires pour perdre 200 avions par jour pour les cinq prochains jours, rien ne pouvait être sauvé Londres"; à la place, "[de la Luftwaffe] moral au combat est définitivement rompu, et la RAF a gagné en force chaque semaine."

Raids sur les villes britanniques

N ° 17 de la directive de Hitler, délivré le 1er Août 1940 la conduite de la guerre contre l'Angleterre spécifiquement interditLuftwaffede mener des raids de terreur de sa propre initiative, et se réservait le droit de commander des attaques terroristes comme moyen de représailles pour le Führer lui-même:

La guerre contre l'Angleterre doit être limitée à des attaques destructrices contre l'industrie et de l'aviation cibles disposant de forces défensives faibles ... L'étude la plus approfondie de la cible concernée, qui est des points vitaux de la cible, est un pré-requis pour le succès. Il est également souligné que tous les efforts devraient être faits pour éviter la perte inutile de vies parmi la population civile.

La Luftwaffe offensive contre la Grande-Bretagne avait inclus de nombreux raids sur les grands ports depuis Août, mais Hitler avait émis une directive de Londres a été de ne pas être bombardé enregistrer sous sa seule instruction. Cependant, l'après-midi du 15 Août, Hauptmann Walter Rubensdôrffer leader Erprobungsgruppe 210 a bombardé par erreur l' aérodrome de Croydon (banlieue de Londres) au lieu de la cible visée, RAF Kenley; cela a été suivi dans la nuit du 23/24 Août par le bombardement accidentel de Harrow, également à la périphérie de Londres, ainsi que des raids sur Aberdeen , Bristol, et Galles du Sud. l'accent sur ​​l'attaque aérodromes avait également été accompagnée par une campagne de bombardement soutenu qui a commencé le 24 Août avec le plus grand raid de si loin, tuant 100 à Portsmouth , et ce soir le premier raid de nuit sur ​​Londres comme décrit ci-dessus. Le 25 Août 1940, 81 bombardiers de Bomber Command ont été envoyés pour attaquer des cibles industrielles et commerciales à Berlin. Nuages ​​empêché identification précise et les bombes sont tombées sur la ville, provoquant quelques victimes parmi la population civile, ainsi que des dommages à des zones résidentielles. Poursuite des raids de la RAF sur Berlin en représailles ont conduit à Hitler de retirer sa directive, et le 3 Septembre Göring prévu de bombarder quotidien londonien, avec le soutien enthousiaste de Kesselring, ayant des rapports reçus de la force moyenne des escadrons de la RAF était tombé à cinq ou sept combattants sur 12 et leurs aérodromes dans la région étaient hors de combat. Hitler a émis une directive le 5 Septembre à attaquer des villes comme Londres. Dans son discours prononcé le 4 Septembre 1940, Hitler menaçait d'effacer ( ausradieren ) villes britanniques si bombardement britannique va contre l'Allemagne n'a pas empêché.

Le 7 Septembre, une série massive de raids impliquant près de quatre cents bombardiers et plus de six cents combattants docks de l'East End de Londres, jour et nuit ciblé. Les raids ont été le nom de code Opération Loge . La RAF prévu attaques sur les aérodromes et 11 Groupe ont augmenté à leur rencontre, en plus grand nombre que la Luftwaffe prévu. Le premier déploiement officiel de 12 Big Wing du Groupe a fallu vingt minutes pour gagner formation, manquant sa cible, mais rencontre une autre formation de bombardiers tout en escalade. Ils sont retournés, l'apologie de leur peu de succès, et a blâmé le retard est demandé trop tard. Fighter Command avait été à son plus bas, à court d'hommes et de machines, et la pause des attaques de l'aérodrome leur a permis de récupérer. 11 Groupe a eu un succès considérable dans la rupture raids diurnes. 12 Groupe désobéi à plusieurs reprises les commandes et a échoué à répondre aux demandes de protection de 11 aérodromes groupe, mais leurs expériences avec de plus en plus grandes grandes ailes eu quelques succès. La Luftwaffe a commencé à abandonner leurs descentes au petit matin, avec des attaques sur Londres à partir à la fin de l'après-midi pour 57 nuits consécutives d'attaques.

Les membres du service de lutte contre l'incendie auxiliaire Londres.

L'aspect le plus dommageable pour les Luftwaffe du changement dans les objectifs (à Londres) était l'augmentation de la gamme. Les Bf 109 escortes eu une capacité de carburant limitée, et au moment où ils sont arrivés eu seulement 10 minutes de temps de vol avant d'avoir eu à tourner pour la maison. Cela a laissé de nombreux raids défendue par chasseurs d'escorte.

Pendant la bataille, et pour le reste de la guerre, un facteur important dans le maintien du moral public élevé était la présence continue à Londres du roi George VI et de son épouse la reine Elizabeth. Lorsque la guerre a éclaté en 1939, le roi et la reine ont décidé de rester à Londres et non se réfugier au Canada, comme l'avait suggéré. George VI et Elizabeth officiellement restés dans le palais de Buckingham pendant toute la guerre, bien qu'ils passaient souvent le week-end au château de Windsor pour visiter leurs filles, Elizabeth (la future reine ) et Margaret. Buckingham Palace a été endommagé par des bombes qui ont atterri sur le terrain le 10 Septembre et le 13 Septembre, des dommages plus sérieux a été causé par deux bombes qui ont détruit la chapelle royale. Le couple royal était dans un petit salon à propos de 80 verges de l'endroit où les bombes ont explosé. Le 24 Septembre, en reconnaissance de la bravoure des civils, le roi George VI a inauguré l'attribution du George Cross.

statistiques de l'attrition

Dans l'ensemble, le 2 Novembre, la RAF a envoyé 1 796 pilotes, soit une augmentation de plus de 40% de la numération des 1259 pilotes de Juillet 1940. Basé sur des sources allemandes (à partir d'un Luftwaffe officier de renseignement Otto Bechtle attaché à KG 2 en Février 1944) traduit par la Direction Air historique, Stephen Bungay affirme chasseur allemand et bombardier "force" diminué sans récupération, et qu'à partir de Août - Décembre 1940, le chasseurs et les bombardiers force allemande a diminué de 30 et 25 pour cent. En revanche, Williamson Murray, affirme (avec traductions par la Direction Air historique) que 1380 bombardiers allemands étaient sur ​​la force le 29 Juin 1940, 1 420 bombardiers, le 28 Septembre, 1423 bombardiers de niveau sur 2 Novembre 1393 et le 30 bombardiers Novembre 1940. En Juillet - Septembre le nombre de Luftwaffe pilotes disponibles a diminué de 136, mais le nombre de pilotes opérationnels avait diminué de 171 par Septembre. L'organisme de formation de la Luftwaffe ne parvenait pas à remplacer les pertes. Les pilotes de chasse allemands, contrairement à la perception populaire, ne jouissaient pas de formation ou de rotations repos contrairement à leurs homologues britanniques. La première semaine de Septembre a représenté 25 pour cent de la Fighter Command, et 24 pour cent de la Luftwaffe de pertes globales. Entre les Calendrier 26. Août - 6 Septembre sur une seule journée (1 Septembre) ont fait les Allemands détruisent plus d'avions que ils ont perdu. Les pertes ont été de 325 248 en allemand et britannique.

Luftwaffe pertes pour Août numérotés 774 avions à toutes les causes, ce qui représente 18,5 pour cent de tous les avions de combat au début du mois. Les pertes de Fighter Command en Août étaient 426 combattants détruits, soit 40 pour cent des 1 061 combattants disponible le 3 Août. En outre, 99 bombardiers et 27 autres types ont été détruites entre le 1er et le 29 Août.

De Juillet à Septembre, la Luftwaffe de dossiers de perte indiquent la perte de 1 636 avions, 1184 à l'action de l'ennemi. Cela représente 47 pour cent de la force initiale de combattants monomoteurs, 66 pour cent des combattants bimoteurs, et 45 pour cent des bombardiers. Cela indique que les Allemands étaient à court de personnel navigant ainsi que les avions.

Tout au long de la bataille, les Allemands grandement sous-estimé la taille de la RAF et de l'échelle de production de l'avion britannique. Outre-Manche, la division du renseignement aérien du ministère de l'Air constamment surestimé la taille de l'ennemi de l'air allemande et la capacité de production de l'industrie de l'aviation allemande. Alors que la bataille a été combattue, les deux parties exagéré les pertes infligées à l'autre par une marge aussi grande. Cependant, l'image de l'intelligence formé avant la bataille a encouragé la Force aérienne allemande à croire que de telles pertes poussés Fighter Command jusqu'au bord de la défaite, alors que l'image exagérée de la force aérienne allemande a persuadé la RAF que la menace qu'il fait face était plus grand et plus dangereux que ce qui était le cas. Cela a conduit les Britanniques à la conclusion que l'autre quinzaine d'attaques sur les aérodromes pourrait forcer Fighter Command de retirer leurs escadrons de la sud de l'Angleterre. L'idée fausse allemand, d'autre part, encouragé première complaisance, puis erreur de jugement stratégique. Le décalage de cibles à partir de bases aériennes à l'industrie et des communications a été prise car il a été supposé que Fighter Command a été pratiquement éliminée.

Entre 24 Août et Septembre 4, taux de disponibilité allemands, qui étaient acceptables à Stuka unités, fonctionnaient à 75% avec des Bf 109, dont 70% avec des bombardiers et 65% avec 110s Bf, indiquant une pénurie de pièces de rechange. Toutes les unités étaient bien en dessous de la force établie. . L'attrition a été commence à affecter les combattants, en particulier "Le 14 Septembre, le de la Luftwaffe le Bf 109 Geschwader ne possédait que 67 pour cent de leurs équipages opérationnels contre aéronef autorisé Pour Bf 110 unités, il était de 46 pour cent;. et pour les bombardiers, il était de 59 pour .. cent Une semaine plus tard, les chiffres avait chuté à 64 pour cent, 52 pour cent et 52 pour cent des taux de disponibilité dans les escadrons de chasse de Fighter Command, entre 24 Août et Septembre 7, ont été répertorié comme: 64,8% le 24 Août; 64,7% le 31 Août et 64,25% le 7 Septembre 1940.

En raison de l'échec de la Luftwaffe à établir la suprématie aérienne, une conférence assemblé le 14 Septembre au siège de Hitler. Hitler a conclu que la supériorité aérienne n'a pas encore été établie et "promis de revoir la situation le 17 Septembre pour les atterrissages possibles le 27 Septembre ou 8 Octobre. Trois jours plus tard, lorsque la preuve était clair que la Force aérienne allemande avait grandement exagéré l'ampleur de leurs succès contre la RAF, Hitler reportées indéfiniment Sealion ".

Conséquences

La vérité de l'affaire, confirmée par les événements du 18 Août est plus prosaïque: ni par attaquer les aérodromes, ni en attaquant Londres, était la Luftwaffe susceptibles de détruire Fighter Command. Compte tenu de la taille de la force de combattant britannique et la qualité générale de son équipement, la formation et le moral, la Luftwaffe aurait pu obtenir rien de plus qu'une victoire à la Pyrrhus. Au cours de l'action le 18 Août, il avait coûté la Luftwaffe cinq aircrewmen formés tués, blessés ou faits prisonniers, pour chaque pilote de chasse britannique tués ou blessés; le ratio était similaire sur les autres jours de la bataille. Et ce ratio de 5: 1 était très proche de celle entre le nombre de membres d'équipage allemand impliqué dans la bataille et ceux Fighter Command. En d'autres mots, les deux côtés ont souffert presque les mêmes pertes dans les équipages formés, en proportion de leurs forces globales. Dans la bataille d'Angleterre, pour la première fois au cours de la Seconde Guerre mondiale, la machine de guerre allemande avait lui-même fixé une tâche importante dont il manifestement échoué à atteindre, et ainsi démontré qu'il était pas invincible. Dans rigidification de la détermination de ceux qui sont déterminés à résister à Hitler la bataille était un tournant important dans le conflit.

La victoire britannique dans la bataille de la Grande-Bretagne a été réalisé à un coût lourd. Total des pertes civiles britanniques de Juillet à Décembre 1940 étaient 23 002 morts et 32 138 blessés, avec un des plus grands raids simples le 19 Décembre 1940, dans lequel près de 3.000 civils sont morts.

La direction brillante de Dowding et Keith Park à prouver avec succès leurs théories de la défense aérienne, cependant, avait créé l'inimitié entre les commandants supérieurs de la RAF et les deux ont été licenciés de leurs postes dans le sillage immédiat de la bataille.

La fin de la bataille a permis la Grande-Bretagne pour reconstruire ses forces militaires et de se positionner comme un bastion des forces alliées. Bretagne servit plus tard comme une base à partir de laquelle la libération de l'Europe occidentale a été lancé.

Battle of Britain Day

Winston Churchill a résumé l'effet de la bataille et la contribution de Fighter Command avec les mots, «Jamais dans l'histoire des conflits humains a été tellement dû par un si grand nombre à si peu ". Les pilotes qui ont combattu dans la bataille ont été connu sous le nom The Few depuis. Battle of Britain Day est commémoré dans le Royaume-Uni le 15 Septembre. Dans le Commonwealth , Battle of Britain Day est habituellement observé sur le troisième dimanche de Septembre. Dans certaines régions les britanniques îles anglo-normandes , elle est célébrée le deuxième jeudi en Septembre.

Film

L'histoire de la bataille a été documentée dans, parmi beaucoup d'autres, le film de 1969 La bataille d'Angleterre , qui a attiré de nombreux acteurs britanniques respectés pour agir chiffres clés de la bataille, y compris Sir Laurence Olivier comme Hugh Dowding et Trevor Howard comme Keith Park. Il a également joué Michael Caine, Christopher Plummer et Robert Shaw en tant que leaders de l'escadron. Les anciens participants de la bataille ont servi de conseillers techniques, y compris Douglas Bader, James Lacey, Robert Stanford Tuck, Adolf Galland et se Dowding. Un film italien dans le même temps intitulé Eagles Over London (1969) a également présenté la bataille d'Angleterre.

Il a également été l'objet de 1941 Alliedfilm de propagande île de Churchill, vainqueur de la premièreAcademy Award du meilleur documentaire court métrage.

En 2010, l'acteurJulian Glover a joué un 101-year-old vétéran polonais pilote de la RAF dans le court métrage,Bataille pour la Grande-Bretagne.