Burkina Faso

Burkina Faso
Drapeau Blason
Devise: "Unité-Progrès-Justice" ( Français ) «Unité-Progrès-Justice"
Hymne: Une Seule Nuit / Ditanyè (Français) Une seule nuit / hymne de la victoire
Lieu de   Burkina Faso    (Bleu foncé) - En Afrique    (Bleu foncé et gris clair) - Dans le Union africaine    (Bleu clair) - [ Légende ]
Capital et plus grande ville		Ouagadougou 12 ° 20'N 1 ° 40'O
Langues officielles		Français
Langues régionales reconnues		Mooré Mandinka Bambara
Les groupes ethniques (1995)		47,9% Mossi 10,3% Fulani 6,9% Lobi 6,9% Bobo 6,7% Mandé 5,3% Senoufo 5,0% Grosi 4,8% Gurma 3,1% touareg
Demonym		Burkinabé Burkinabè Burkinabé
Gouvernement		Semi-présidentiel république
-	Président	Blaise Compaoré
-	Le Premier Ministre	Luc Adolphe Tiao-
Corps législatif		Assemblée Nationale
Indépendance
-	de France	5 Août 1960
Zone
-	Total	274200 km 2 ( 74e) 105 869 km carrés
-	Eau (%)	0,146%
Population
-	Estimation 2010	15730977 ( 64e)
-	Recensement de 2006	14017262
-	Densité	57,4 / km 2 ( 145e) 148,9 km / sq
PIB ( PPP)		Estimation 2011
-	Total	$ 22,042 milliards
-	Par habitant	$ 1466
PIB (nominal)		Estimation 2011
-	Total	$ 9,981,000,000
-	Par habitant	$ 664
Gini (2007)		39,5 moyen
IDH (2007)		0,389 faible · 177e
Monnaie		Franc CFA d'Afrique de l'Ouest ( XOF )
Fuseau horaire		( GMT + 0)
-	Summer ( DST)	non observées ( UTC)
Drives sur le		droit
Indicatif téléphonique		226
Code ISO 3166		BF
TLD Internet		.bf
Les données ici est une estimation pour l'année 2005 produit par le Fonds monétaire international en Avril 2005.

Burkina Faso ( / b ər ˌ k Je n ə fa ɑː s oʊ / bər- KEE -nə -SOH FAH; français: [Buʁkina Faso]), également connu sous son nom abrégé Burkina, est un pays enclavé d' Afrique de l'Ouest autour de 274 200 kilomètres carrés (105 900 milles carrés) de taille. Il est entouré par six pays: Mali vers le nord; Niger à l'est; Bénin au sud; Togo et le Ghana au sud; et Côte-d'Ivoire au sud-ouest. Sa capitale est Ouagadougou . En 2010, sa population était estimée à un peu moins de 15,75 millions.

Anciennement appelé le République de Haute-Volta, le pays était rebaptisé "Burkina Faso" le 4 Août 1984 par le président d'alors Thomas Sankara, en utilisant un mot de chacun des deux principales langues indigènes du pays, Moore et Dioula. Métaphoriquement, "Burkina", auprès de Moore, peut être traduit par «hommes intègres», tandis que «Faso» signifie «patrie» en dioula. "Burkina Faso" est donc destiné à être compris comme «Terre des hommes intègres» ou «Terre des honnêtes gens". Les habitants du Burkina Faso sont connus comme burkinabè (pron .: / b ər k Je n ə b eɪ / bər- KEE -nə-bay).

Entre 14 000 et 5000 ans avant JC, le Burkina Faso a été peuplée par chasseurs-cueilleurs de la région nord-ouest du pays. colonies agricoles sont apparues entre 3600 et 2600 av. Ce qui est maintenant le centre Burkina Faso était principalement composé de Royaumes mossi. Ces royaumes mossi est devenu un protectorat français en 1896. Après avoir obtenu son indépendance de la France en 1960, le pays a connu de nombreux changements gouvernementales jusqu'à arriver à sa forme actuelle, un république semi-présidentielle. Le président est Blaise Compaoré.

Le Burkina Faso est membre de l' Union africaine , Communauté des États sahélo-sahariens, La Francophonie, Organisation de la coopération islamique et Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest.

Histoire

Première histoire

Le territoire du Burkina Faso d'aujourd'hui a été peuplée entre 14000 et 5000 avant JC, par chasseurs-cueilleurs dans la partie nord-ouest du pays, dont les outils, tels que grattoirs, ciseaux et pointes de flèches, ont été découverts en 1973 par Simran Nijjar. Établissements avec les agriculteurs sont apparues entre 3600 et 2600 av. Sur la base de traces de structures paysannes, les colonies semblent avoir été permanent. L'utilisation du fer, la céramique et la pierre polie développé entre 1500 et 1000 avant JC, comme l'a fait une préoccupation des questions spirituelles, comme indiqué par enfouissement reste.

Reliques de la Dogon se trouvent dans le nord et nord-ouest des régions du Burkina Faso. Quelque part entre les XVe et XVIe siècles, les Dogons ont quitté la région pour se installer dans les falaises de Bandiagara. Ailleurs, les restes de hauts murs sont localisés dans le sud-ouest du Burkina Faso (ainsi que dans la Côte d'Ivoire), mais les gens qui les ont construits ne ont pas encore été identifiés. Loropeni est une ruine de pierre pré-européenne qui a été liée au commerce de l'or. Il a été déclaré comme premier site du patrimoine mondial de Burkina Faso.

La partie centrale du Burkina Faso inclus un certain nombre de Royaumes mossi, le plus puissant de qui étaient ceux de Wagadogo (Ouagadougou) et Yatenga. Ces royaumes apparus probablement au début du XVIe siècle, des origines obscures voilées par la légende mettant en vedette un ensemble hétérogène de chiffres guerriers.

De colonie à l'indépendance

Maisons traditionnelles dans le sud-est Burkina Faso.

Maison traditionnelle décoration Tiébélé.

Après une décennie de rivalité intense et la concurrence entre les Britanniques et les Français, menée grâce à conclure des traités expéditions sous explorateurs, militaires ou civiles, le royaume Mossi de Ouagadougou a été défait par les forces coloniales françaises et est devenu un protectorat français en 1896. La région de l'Est et la région occidentale, où un bras de fer contre les forces du dirigeant puissant Samory Touré compliqué la situation, est venu sous l'occupation française en 1897. En 1898, la majorité du territoire correspondant au Burkina Faso aujourd'hui a été nominalement conquit; Toutefois, le contrôle de plusieurs parties demeurait incertaine.

La convention française et britannique du 14 Juin 1898 a terminé la course entre les deux puissances coloniales et a attiré les frontières entre les colonies des pays. Du côté français, une guerre de conquête contre les communautés locales et les pouvoirs politiques a continué pendant environ cinq ans. En 1904, les territoires largement pacifiées du bassin de la Volta ont été intégrés dans le Haut-Sénégal et Niger colonie de Français Afrique de l'Ouest dans le cadre de la réorganisation de l'empire colonial français Afrique de l'Ouest. La colonie avait sa capitale à Bamako .

Conscrits en provenance du territoire ont participé aux fronts européens de la Première Guerre mondiale dans les bataillons de la Rifles sénégalais. Entre 1915 et 1916, les districts dans la partie ouest de ce qui est maintenant le Burkina Faso et la frange orientale limitrophe du Mali est devenu la scène de l'une des oppositions les plus importantes armées au gouvernement colonial, connu comme la guerre Volta-Bani. Le gouvernement français a finalement supprimé le mouvement, mais seulement après avoir subi des défaites et forcé à rassembler le plus grand corps expéditionnaire de son histoire coloniale jusqu'à ce point. L'opposition armée a également ravagé le nord du Sahel lorsque le Touareg et des groupes alliés de la région Dori mis fin à leur trêve avec le gouvernement.

Une gare de Bobo Dioulasso , construit à l'époque coloniale, qui est toujours en opération.

Haute-Volta français a été créé le 1er Mars 1919. Cette décision est le résultat de craintes françaises de la récurrence de soulèvement armé avec des considérations économiques, et de renforcer son administration, le gouvernement colonial a séparé le territoire actuel du Burkina Faso à partir du Haut-Sénégal et le Niger . La nouvelle colonie a été nommé Haute Volta et François Charles Édouard Alexis Hesling est devenu son premier gouverneur. Hesling a lancé un programme de construction de route ambitieuse et promu la croissance de coton pour l'exportation. La politique de coton - basée sur la coercition - a échoué, et les revenus ont stagné. La colonie a ensuite été démantelé le 5 Septembre 1932, répartis entre les Côte d'Ivoire, Soudan français et Niger . Côte d'Ivoire a reçu la plus grande part, qui contenait plus de la population ainsi que les villes de Ouagadougou et de Bobo-Dioulasso .

La décision de scinder la colonie a été inversée au cours de l'agitation anti-coloniale intense qui a suivi la fin de la Seconde Guerre mondiale . Le 4 Septembre 1947, la colonie a été relancé dans le cadre de la Union française, avec ses frontières précédentes. Le 11 Décembre 1958, il atteint auto-gouvernement et est devenu le République de Haute-Volta et un membre de la Communauté franco-africaine. Une révision de l'organisation de l'Outre-mer a commencé avec l'adoption de la Loi fondamentale (Loi Cadre) du 23 Juillet 1956. Cette loi a été suivie par des mesures de réorganisation approuvé par le Parlement français au début de 1957 afin d'assurer un large degré d'autonomie gouvernementale pour les territoires individuels. Haute-Volta est devenue une république autonome dans la communauté française, le 11 Décembre 1958. L'indépendance totale de la France a été reçu en 1960.

Haute-Volta

Le drapeau de la République de Haute-Volta.

La République de Haute-Volta ( Français : République de Haute-Volta) a été créé le 11 Décembre 1958 en tant que autonome au sein de la colonie Communauté française. Le nom Haute-Volta a indiqué que le pays est situé sur le cours supérieur de la rivière Volta . Trois affluents du fleuve sont appelés Volta Noire, Volta Blanche et Volta Rouge, et les couleurs du drapeau national correspondaient à ces parties du système de la rivière.

Avant d'atteindre l'autonomie qu'il avait été Français Haute-Volta et une partie de la Union française. Le 5 Août 1960, il a atteint la pleine indépendance de la France. Le premier président, Maurice Yaméogo, était le chef de la Voltaic Union démocratique (UDV). La constitution de 1960 a fourni à l'élection au suffrage universel d'un président et une assemblée nationale pour un mandat de cinq ans. Peu de temps après son arrivée au pouvoir, Yaméogo interdit tous les partis politiques autres que le UDV. Le gouvernement a duré jusqu'en 1966 lorsque, après des manifestations et des grèves des troubles-masse beaucoup d'étudiants, de syndicats, et les fonctionnaires civils-militaires intervenu.

Le coup d'Etat militaire déposé Yaméogo, a suspendu la Constitution, dissous l'Assemblée nationale, et placé le lieutenant-colonel Sangoulé Lamizana à la tête d'un gouvernement d'officiers supérieurs de l'armée. L'armée est resté au pouvoir pendant quatre ans, et le 14 Juin 1970, les Voltans ratifié une nouvelle constitution qui a établi une période de transition de quatre ans vers un régime civil complet. Lamizana est resté au pouvoir pendant les années 1970 en tant que président des gouvernements civils et militaires militaires ou mixtes. Après un conflit sur la Constitution de 1970, une nouvelle constitution a été rédigé et approuvé en 1977, et de Lamizana a été réélu par des élections ouvertes en 1978.

Le gouvernement de Lamizana confronté à des problèmes avec traditionnellement puissants syndicats du pays, et le 25 Novembre 1980, le colonel Saye Zerbo a renversé le président Lamizana dans un coup d'Etat sans effusion de sang. Colonel Zerbo a créé le Comité militaire de récupération pour le progrès national que l'autorité gouvernementale suprême, éradiquant ainsi la constitution 1977.

Colonel Zerbo a également rencontré la résistance des syndicats et a été renversé deux ans plus tard, le 7 Novembre 1982, par le Maj. Dr. Jean-Baptiste Ouédraogo et le Conseil de Salut Populaire (CSP). Le CSP a continué à interdire les partis et organisations politiques, mais a promis une transition vers un régime civil et une nouvelle constitution.

Les luttes intestines entre factions développé entre les modérés dans le CSP et les radicaux, dirigé par le capitaine. Thomas Sankara, qui a été nommé Premier ministre en Janvier 1983. La lutte politique interne et de la rhétorique gauchiste de Sankara a conduit à son arrestation et les efforts subséquents pour parvenir à sa libération, dirigé par le capitaine. Blaise Compaoré. Cet effort de libération a donné lieu à un autre coup d'Etat militaire le 4 Août 1983.

Après le coup, Sankara a formé le Conseil national de la Révolution (CNR), avec lui-même en tant que président. Sankara a également établi Comités de défense de la révolution (CDR) à "mobiliser les masses" et mettre en œuvre des programmes révolutionnaires de la CNR. Le CNR, dont la composition exacte est restée secrète jusqu'à la fin, contenait deux petits groupes marxistes-léninistes intellectuelles. Sankara, Blaise Compaoré, le Capt. Henri Zongo, et le Maj. Jean-Baptiste Lingani-militaires de gauche tous les officiers-dominé le régime.

Le 4 Août 1984, comme résultat final des activités du président Sankara, le nom du pays a finalement changé de Haute-Volta au Burkina Faso. Le nom combine un mot de Origine Mossi avec un mot de Mande origine, pour être inclusive des différents groupes ethniques dans le pays, et se traduit par «terre de gens honnêtes".

Burkina Faso

Enfants pendant la révolution de 1983 à 1987.

Le 15 Octobre 1987, Sankara a été tué par une bande armée avec douze autres fonctionnaires dans un coup d'État organisé par son ancien collègue et actuel président, Blaise Compaoré. Détérioration des relations avec les pays voisins était l'une des raisons invoquées, avec Compaoré indiquant que Sankara compromise relations extérieures avec l'ancienne puissance coloniale la France et la Côte d'Ivoire voisine. Prince Johnson, un ancien chef de guerre libérien allié à Charles Taylor, a déclaré Commission Vérité et Réconciliation du Libéria (TRC) qu'il a été conçu par Charles Taylor. Après le coup et bien que Sankara était connu pour être mort, certains CDR montés une résistance armée à l'armée pendant plusieurs jours.

Le corps de Sankara a été démembré et il a été rapidement enterré dans une tombe anonyme, tandis que sa veuve et ses deux enfants ont fui le pays. Compaoré immédiatement inversé les nationalisations, a annulé la quasi-totalité des politiques de Sankara, a renvoyé l'arrière-pays au sein du FMI fois, et finalement repoussé plus de l'héritage de Sankara. En 2010, Compaoré est à sa 23e année au pouvoir. Il "est devenu immensément riche", tandis Burkina Faso se classe comme le troisième pays le moins développé dans le monde.

Entre Février et Avril 2011, la mort d'un écolier a provoqué un soulèvement dans tout le pays, couplée à une mutinerie militaire et la grève des magistrats.

Politique

L'ancien Premier ministre Tertius Zongo.

Avec l'aide française, le titulaire Blaise Compaoré a pris le pouvoir par un coup d'état en 1987, trahir son ami de longue date et un allié Thomas Sankara, qui a été tué dans le coup.

La constitution du 2 Juin 1991 a établi un gouvernement semi-présidentiel avec un parlement qui peut être dissoute par le Président de la République, qui est élu pour un mandat de sept ans.

En 2000, la constitution a été modifiée afin de réduire le mandat présidentiel à cinq ans. L'amendement a pris effet au cours des élections de 2005. L'amendement aurait également empêché le président sortant, Blaise Compaoré, d'être réélu.

Cependant, en Octobre 2005, malgré un défi par d'autres candidats à la présidentielle, le Conseil constitutionnel a jugé que, parce Compaoré était le président de séance en 2000, l'amendement ne se appliquerait pas à lui jusqu'à la fin de son second mandat. Cette ouvert la voie à sa candidature l'élection de 2005. Le 13 Novembre, Compaoré a été réélu dans un éboulement, en raison d'une opposition politique divisée.

Lors des élections présidentielles de novembre 2010, le Président Compaoré a été réélu. Seuls 1,6 millions Burkinabés ont voté, sur une population totale de 10 fois cette taille.

Le parlement est constitué d'une chambre appelée l'Assemblée nationale qui compte 111 sièges avec des membres élus pour un mandat de cinq ans. Il ya aussi une chambre constitutionnelle, composé de dix membres et un conseil économique et social dont les rôles sont purement consultatif.

Les libertés politiques sont sévèrement limités au Burkina Faso, avec les organisations des droits de l'homme dénonçant de nombreux actes de violence d'État contre les journalistes et les autres membres politiquement actifs de la société.

Régions, provinces et départements

Le Burkina Faso est divisé en treize régions, quarante-cinq provinces, et 301 départements. Les régions sont:

• Boucle du Mouhoun
• Cascades
• Centre
• Centre-Est
• Centre-Nord
• Centre-Ouest
• Centre-Sud
• Est
• Hauts-Bassins
• Nord
• Plateau-Central
• Sahel
• Sud-Ouest

Militaires, la police et les forces de sécurité

Le pays compte de nombreuses forces de police et de sécurité, généralement modélisées après organismes utilisés par la police française, et la France continue de fournir un soutien et une formation aux forces de police au Burkina Faso significative. La Gendarmerie Nationale est organisé sur le modèle militaire, avec la plupart des services de police fournis au niveau de la brigade. Le Gendarmerie opère sous l'autorité du ministre de la Défense, et ses membres sont employés principalement dans les zones rurales et le long des frontières.

Il ya aussi un corps de police municipal contrôlé par le Ministère de l'Administration Territoriale; une force de police nationale contrôlée par le ministère de la Sécurité; et d'un régiment de sécurité présidentielle autonome (Régiment de la sécurité présidentielle, ou RSP), un «garde du palais 'consacré à la protection du Président de la République. Tant la gendarmerie et la police nationale sont subdivisés en deux fonctions de police administrative et judiciaire; les premiers sont détaillées pour protéger l'ordre public et assurer la sécurité, le dernier est chargé des enquêtes criminelles.

Tous les étrangers et les citoyens sont tenus de porter un passeport d'identité avec photo, ou d'autres formes d'identification ou de risquer une amende, et des contrôles d'identité au comptant de la police sont monnaie courante pour les personnes qui voyagent en auto, taxi-brousse, ou en bus.

L'armée se compose de quelque 6000 hommes dans le service volontaire, augmentée par un temps partiel Milice populaire national composé de civils entre 25 et 35 ans qui sont formés dans les deux fonctions militaires et civiles. Selon Sentinel Pays évaluation des risques de Jane, l'Armée de Burkina Faso est undermanned pour sa structure de force et mal équipée, mais a nombre de véhicules légers blindés à roues, et peut avoir développé une expertise de combat utile grâce à des interventions au Libéria et ailleurs en Afrique.

En termes de formation et d'équipement, l'armée régulière est censé être négligée par rapport à l'élite de sécurité présidentielle Regiment (RSP). Des rapports ont émergé ces dernières années de différends sur les salaires et conditions. Il ya une armée de l'air avec quelque 19 avions opérationnels, mais pas de marine, que le pays est enclavé. Les dépenses militaires représentent environ 1,2% du PIB de la nation.

En Avril 2011, il y avait un mutinerie armée; le président nommé de nouveaux chefs de cabinet, et un couvre-feu a été imposé dans Ouagadougou .

Géographie et climat

Image satellite du Burkina Faso.

Cascades à Karfiguéla.

Peaks près Fabédougou.

Burkina Faso est essentiellement entre les latitudes 9 ° et 15 ° N (une petite zone située au nord de 15 °), et les longitudes 6 ° W et 3 ° E.

Il se compose de deux grands types de campagne. La plus grande partie du pays est couvert par une pénéplaine, qui forme un paysage doucement vallonné avec, dans certains domaines, quelques collines isolées, les derniers vestiges d'un Précambrien massif. Le sud-ouest du pays, d'autre part, constitue une massif de grès, où le plus haut sommet, Ténakourou, se trouve à une altitude de 749 mètres (2457 pieds). Le massif est bordé par des falaises abruptes jusqu'à 150 mètres (492 pi) de hauteur. L'altitude moyenne du Burkina Faso est de 400 mètres (1312 pieds) et la différence entre le terrain le plus élevé et le plus bas ne est pas plus de 600 mètres (1969 pieds). Le Burkina Faso est donc un pays relativement plat.

Le pays doit son ancien nom de Haute-Volta à trois rivières qui le traversent: la Volta Noire (ou Mouhoun), le Volta Blanche (Nakambé) et le Volta Rouge (Nazinon). La Volta Noire est une des deux seules rivières du pays qui coulent toute l'année, l'autre étant le Komoé, qui se écoule vers le sud-ouest. Le bassin du fleuve Niger aussi draine 27% de la surface du pays.

Au Niger affluents - Beli, le Gorouol, le Goudébo et Dargol - sont cours d'eau saisonniers et les flux pour seulement quatre à six mois par an. Ils ne peuvent toujours inonder et de débordement, cependant. Le pays contient également de nombreux lacs - les principaux sont Tingrela, Bam et Dem. Le pays contient de grands étangs, ainsi, comme Oursi, Béli, Yomboli et Markoye. Les pénuries d'eau sont souvent un problème, en particulier dans le nord du pays.

Savannah près de la Gbomblora, sur la route de Gaoua à Batié

Le Burkina Faso a un climat essentiellement tropical avec deux saisons bien distinctes. Dans la saison des pluies, le pays reçoit entre 600 et 900 millimètres (23,6 et 35,4 po) de précipitations; pendant la saison sèche, le harmattan - un vent chaud et sec du Sahara - coups. La saison des pluies dure environ quatre mois, Mai / Juin à Septembre, et est plus courte dans le nord du pays. Trois zones climatiques peuvent être définis: le Sahel, le Soudan-Sahel et le Soudan-Guinée. Le Sahel dans le nord reçoit généralement moins de 600 millimètres (23,6 po) de pluie par an et a des températures élevées, de 5 à 47 degrés Celsius (41 à 116,6 ° F).

Un relativement sec savane tropicale, le Sahel se étend au-delà des frontières du Burkina Faso, de la Corne de l'Afrique à l'océan Atlantique, et borde le Sahara au nord et la région fertile de la Soudan au Sud. Située entre 11 ° 3 'et 13 ° 5' nord de latitude , la région soudano-sahélienne est une zone de transition en ce qui concerne les précipitations et la température. Plus au sud, la zone soudano-Guinée reçoit plus de 900 millimètres (35,4 po) de pluie chaque année et a plus fraîches températures moyennes.

Ressources naturelles du Burkina Faso comprennent le manganèse , calcaire, marbre, des phosphates, la pierre ponce, du sel et de petits dépôts d'or.

Burkina Faso de faune et la flore sont protégées dans deux parcs nationaux et plusieurs réserves: voir Liste des parcs nationaux en Afrique, Les réserves naturelles du Burkina Faso.

Économie

Un atelier sur les technologies de l'information au cours Innovafrica 2011 dans la capitale Ouagadougou .

Représentation graphique des exportations de produits du Burkina Faso dans 28 catégories de couleur.

Une boutique burkinabé.

Un pompe du village au Burkina Faso.

Le Burkina Faso a l'un des plus faible PIB par habitant chiffres dans le monde: $ 1,200. L'agriculture représente 32% de son produit intérieur brut et occupe 80% de la population active. Il se compose essentiellement de l'élevage, mais aussi, en particulier dans le sud et sud-ouest, de la croissance du sorgho , le mil, le maïs (maïs) , les arachides , le riz et le coton. Une grande partie de l'activité économique du pays est financé par l'aide internationale.

Burkina Faso a été classé 111ème destination d'investissement plus sûr dans le monde dans les classements Euromoney Pays de risque Mars de 2011.

Les envois de fonds utilisés pour être une source importante de revenus au Burkina Faso jusqu'à ce que les années 1990, lorsque les troubles en Côte d'Ivoire , la principale destination des émigrés burkinabé, a forcé beaucoup de rentrer chez eux. Les envois de fonds représentent actuellement moins de 1% du PIB.

Le Burkina Faso est partie de la Monétaire Ouest Africaine et de l'Union économique (UEMOA) et a donc adopté le Franc CFA, qui est délivré par le Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO), situé dans Dakar , Sénégal. La BCEAO est non seulement responsable de la politique monétaire et réserve des Etats membres, mais aussi pour la réglementation et la surveillance du secteur financier et de l'activité bancaire. Un cadre juridique concernant l'octroi de licences, les activités bancaires, les exigences organisationnelles et des capitaux, les inspections et les sanctions (tous applicables à tous les pays de l'Union) est en place et a subi d'importantes réformes en 1999. Les institutions de micro-finance sont régies par une loi distincte, qui réglemente les activités de micro-finance dans tous les pays de l'UEMOA. Le secteur de l'assurance est réglementé par la Conférence inter-africaine des marchés d'assurance (CIMA).

Il est extraction de cuivre, de fer, de manganèse , de l'or, cassitérite (minerai d'étain), et les phosphates. Ces opérations procurent de l'emploi, l'aide internationale, et dans certains cas les hôpitaux dans les mines pour le public. La production d'or a augmenté de 32% en 2011 à six sites miniers d'or, faisant Burkina Faso le quatrième plus grand producteur d'or en Afrique, après l'Afrique du Sud, au Mali et au Ghana.

Burkina Faso accueille également la foire internationale Art et Artisanat, Ouagadougou, plus connu sous son nom français comme SIAO, Le Salon International de l'Artisanat de Ouagadougou, une des plus importantes foires d'artisanat africains.

Le Burkina Faso est un membre de la Organisation pour l'Harmonisation du Droit des Affaires en Afrique (OHADA).

Tandis que services demeurent sous-développés, une appartenant à l'Etat entreprise de services publics de fonctionner selon des principes commerciaux est en train de devenir l'une des plus performantes entreprises de services publics en Afrique, l'Office National de l'Eau et de l'Assainissement (ONEA). Des niveaux élevés d'autonomie et un management compétent et dévoué a entraîné la capacité de l'ONEA pour améliorer la production et l'accès à l'eau. Depuis 2000, près de 2 millions de personnes ont accès à l'eau dans les quatre principaux centres urbains du pays tout en gardant la qualité de l'infrastructure haute (moins de 18% de l'eau est perdue par les fuites - un des plus bas au Afrique sub-saharienne ), l'amélioration de l'information financière et une augmentation du chiffre d'affaires annuel moyen de 12% (bien au-dessus de l'inflation). Les défis demeurent, y compris la capacité de certains clients à payer et un recours à l'aide pour l'expansion de son infrastructure. Toutefois, l'entreprise commercialement terme appartenant à l'Etat a aidé à diriger Burkina Faso de Objectif du Millénaire pour le développement (OMD) dans ses objectifs liés à l'eau et se développer comme une société viable.

Démographie

Place des Nations Unies à Ouagadougou .

15,3 millions d'habitants du Burkina Faso appartiennent à deux grands groupes culturels du-Afrique de l'Ouest et de l'voltaïques Mande (dont la langue commune est Dioula). Le voltaïque Mossi représentent environ la moitié de la population. Les Mossi revendication descente de guerriers qui ont migré de présenter aujourd'hui Burkina Faso du Ghana et établis un empire qui a duré plus de 800 ans. Principalement les agriculteurs, le royaume Mossi est toujours dirigé par le Mogho Naba, dont la cour est à Ouagadougou.

Le Burkina Faso est un Etat laïc ethniquement intégré. La plupart des gens du Burkina sont concentrés dans le sud et le centre du pays, dépassant parfois 48 par kilomètre carré (125 / sq. Km.). Des centaines de milliers de Burkinabé migrent vers la Côte d'Ivoire et le Ghana, beaucoup pour le travail agricole saisonnier. Ces flux de travailleurs sont évidemment affectés par des événements externes; la tentative de coup Septembre 2002 à la Côte d'Ivoire et le combat qui se ensuivit ont fait que des centaines de milliers de Burkinabé retournés au Burkina Faso.

Le taux de fécondité du Burkina Faso est 6,07 enfants par femme (2012), les estimations au sixième rang dans le monde.

La pratique de la l'esclavage au Burkina Faso, comme dans le Etats du Sahel en général, est un phénomène retranché avec une longue histoire, remontant à la Traite arabe, et elle continue aujourd'hui.

Santé

L'espérance de vie moyenne à la naissance en 2004 a été estimé à 52 pour les femmes et 50 pour les hommes. L'âge médian de ses habitants est de 16,7. Le taux de croissance de population est estimée à 3,109%.

Dépenses du gouvernement central sur la santé était de 3% en 2001. En 2009, il a été estimé qu'il y avait aussi peu que 10 médecins pour 100.000 habitants. En outre, il n'y avait que 41 infirmières et 13 sages-femmes pour 100 000 personnes. Enquêtes démographiques et sanitaires a terminé trois enquêtes au Burkina Faso depuis 1993 et est actuellement en train d'effectuer une autre.

En 2009, il a été estimé que l'adulte VIH le taux de prévalence (15-49 ans) était de 1,2%. Selon le rapport de l'ONUSIDA 2011, la prévalence du VIH est en baisse parmi les femmes enceintes qui fréquentent les consultations prénatales.

Selon un rapport de l'Organisation mondiale de la Santé 2005, on estime que 72,5% des filles et des femmes du Burkina Faso ont souffert les mutilations génitales féminines.

Religion

La Grande Mosquée de Bobo-Dioulasso .

Cathédrale de Ouagadougou.

Un récipient céramique utilisé par le Lobi de stocker la médecine dans un sanctuaire à la maison ou dans la cour de la famille.

Statistiques sur la religion au Burkina Faso sont inexactes, car l'islam et le christianisme sont souvent pratiquées en tandem avec les croyances religieuses autochtones. Le Gouvernement du Burkina Faso a déclaré dans son recensement le plus récent (2006) que 60,5% de la population pratique l'islam, et que la majorité de ce groupe appartiennent à la Sunnite branche, tandis qu'une minorité croissante adhère à la Branche chiite (de manquant de référence). Un nombre important de musulmans sunnites identifier avec le Tijaniyah Ordre soufi. Le gouvernement a également estimé que certains de 23,2% sont chrétiens (19% étant catholiques romains et 4,2% des membres de diverses confessions protestantes), 15,3% suivi Croyances traditionnelles autochtones, 0,6% avoir d'autres religions, et 0,4% ne en ont pas (l'athéisme est pratiquement inexistante).

Un dicton populaire au Burkina Faso affirme que «50% sont musulmans, 50% sont chrétiens, et 100% sont animiste ". Cela montre la grande niveau d'acceptation des différentes religions entre eux. Même pour les musulmans et les chrétiens, anciens rites animistes sont toujours très appréciés. La Grande Mosquée de Bobo-Dioulasso a été construit par des gens de confessions différentes qui travaillent ensemble.

Éducation

Les écoliers de Dourtenga.

Education au Burkina Faso est divisé dans l'enseignement primaire, secondaire et supérieur. Cependant les coûts de scolarisation d'environ 50 000 CFA ($ 97 USD) par an, ce qui est bien au-dessus des moyens de la plupart des familles burkinabè. Les garçons reçoivent la préférence dans l'enseignement; en tant que telle, l'éducation et l'alphabétisation des filles les taux sont beaucoup plus faibles que leurs homologues masculins. Une augmentation de la scolarisation des filles a été observée en raison de la politique de rendre l'école moins cher pour les filles et de leur accorder plus de bourses du gouvernement. Afin de procéder du primaire au moyen, moyen à l'école secondaire ou une école secondaire à l'université, les examens nationaux doivent être adoptées. Établissements d'enseignement supérieur sont les Université de Ouagadougou, l'Université polytechnique de Bobo-Dioulasso et l'Université de Koudougou, qui est aussi une institution de formation des enseignants. Il ya des collèges privés dans la capitale de Ouagadougou mais ceux-ci sont abordables que par une petite partie de la population.

Il existe également la International School of Ouagadougou (ISO), une école privée basée-américaine située à Ouagadougou.

Le rapport du Programme de développement des Nations Unies Burkina Faso se classe comme le pays ayant le plus bas niveau de l'alphabétisation dans le monde, malgré un effort concerté pour doubler son taux d'alphabétisation de 12,8% en 1990 à 25,3% en 2008.