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Nicolas Copernic

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Nicolas Copernic
Nikolaus Kopernikus.jpg
Portrait, 1580, Toruń Ancien Hôtel de ville
(19/02/1473) Le 19 Février 1473
Toruń (Thorn), Prusse royale, Royaume de Pologne
Mort 24 mai 1543 (24/05/1543) (70 ans)
Frombork (Frauenburg), Varmie, Prusse royale, Royaume de Pologne
Les champs Mathématiques , l'astronomie , droit canonique, la médecine , l'économie
Alma mater Université de Cracovie
Université de Bologne
Université de Padoue
Université de Ferrara
Connu pour Héliocentrisme
La loi de Copernic
Signature

Nicolas Copernic ( allemand : Nikolaus Kopernikus; italienne : Nicolò Copernico; Polonais: Mikołaj Kopernik; 19 Février 1473 - 24 mai 1543) était une Renaissance mathématicien et astronome qui a formulé une héliocentrique du modèle univers qui a placé le Soleil, plutôt que la Terre, au centre.

Copernic est né en Prusse royale, une région de la Royaume de Pologne.

La publication du livre de Copernic, Des révolutions des sphères célestes (Des révolutions des sphères célestes), juste avant sa mort en 1543, est considéré comme un événement majeur dans l' histoire de la science . Il a commencé la Révolution copernicienne et largement contribué à la hausse du suivi Révolution scientifique.

Un des grands polymathes de la Renaissance, Copernic était aussi un juriste titulaire d'un doctorat en droit, médecin, quadrilingue polyglotte, classiques érudit, Traducteur, artiste , gouverneur, diplomate, et économiste qui en 1517 posa une la théorie quantitative de la monnaie, un concept principal de l'économie à nos jours, et a formulé La loi de Gresham dans l'année (1519) de La naissance de Thomas Gresham.

Vie

Toruń berceau (ul. Kopernika 15, à gauche). Avec la maison sans. 17 (à droite), il forme le Muzeum Mikołaja Kopernika.

Nicolas Copernic est né le 19 Février 1473 dans la ville de Toruń (Thorn), dans la province de Prusse royale, dans le Couronne du Royaume de Pologne. Son père était un marchand de Cracovie et sa mère était la fille d'un riche marchand Toruń. Nicolas était le plus jeune de quatre enfants. Son frère Andreas (Andrew) est devenu un Augustinienne canon au Frombork (Frauenburg). Sa sœur Barbara, nommé d'après sa mère, est devenu un Bénédictine moniale et, dans ses dernières années (elle est morte après 1517), prieure d'un couvent Chełmno (Kulm). Sa sœur Katharina épousé l'homme d'affaires et conseiller municipal de Toruń Barthel Gertner et laissé cinq enfants, dont Copernic soigné à la fin de sa vie. Copernic jamais mariés ou avaient des enfants.

La famille du père

La famille du père peut être attribuée à un village Silésie près Nysa (Neisse). Le nom du village a été diversement orthographié Kopernik, Köppernig, Köppernick, et aujourd'hui Koperniki. Au 14ème siècle, les membres de la famille ont commencé à déplacer à diverses autres villes de Silésie, à la capitale polonaise, Cracovie (Cracovie, 1367), et de Toruń (1400). Le père, probablement le fils de Jan, venu de la ligne Cracovie.

Nicolas a été nommé d'après son père, qui apparaît dans les dossiers pour la première fois en tant que marchand aisés qui se occupait dans le cuivre, le vendre principalement dans Dantzig (Gdansk). Il a déménagé de Cracovie à Toruń autour de 1458. Toruń, situé sur la Vistule, était à l'époque impliqué dans la La Guerre de Treize Ans (1454-1466), dans lesquels le Royaume de Pologne et le Confédération prussienne, une alliance de Villes prussiennes, gentry et le clergé, ont combattu le Ordre Teutonique le contrôle de la région. Dans cette guerre Villes hanséatiques comme Dantzig et Toruń, la ville natale de Nicolas Copernic, ont choisi de soutenir le roi de Pologne, qui a promis de respecter grande indépendance traditionnelle des villes, qui l'Ordre teutonique avait contesté.

Le père de Nicolas a participé activement à la politique de la journée et a soutenu la Pologne et les villes contre l'Ordre teutonique. En 1454 il était le médiateur des négociations entre la Pologne Cardinal Zbigniew Oleśnicki et les villes prussiennes de remboursement des emprunts de guerre. Dans le Traité de Thorn (1466), l'Ordre teutonique formellement renoncé à toutes les demandes de ses provinces de l'Ouest, qui, comme Prusse royale est restée une région de la Pologne pour les 300 prochaines années.

Le père a épousé Barbara Watzenrode, la mère de l'astronome, entre 1461 et 1464. Il est mort quelque part entre 1483 et 1485. À la mort du père, l'oncle maternel de jeune Nicolas, Lucas Watzenrode le Jeune (1447-1512), a pris le garçon sous sa protection et vit à son éducation et de carrière.

La famille de la mère

L'oncle maternel de Copernic, Lucas Watzenrode le Jeune

La mère de Nicolas, Barbara Watzenrode, était la fille de Lucas Watzenrode l'Ancien et son épouse Katherine (née Modlibóg). Pas beaucoup est connu de sa vie, mais elle est censé avoir péri quand Nicolas était un petit garçon. Le Watzenrodes venait du Schweidnitz région (Świdnica) de Silésie et se était installé à Toruń, après 1360, de devenir des membres éminents de la ville de classe patricienne. Grâce à des relations familiales des Watzenrodes par mariage, ils étaient liés à des familles riches de Toruń, Dantzig et Elbląg (Elbing), et de l'éminent Czapski, Dzialynski, Konopacki et Familles nobles Kościelecki. Le Modlibógs (littéralement, en polonais, "Priez Dieu") étaient une famille polonaise de premier plan qui avait été bien connu dans l'histoire de la Pologne depuis 1271. Lucas et Katherine ont eu trois enfants: Lucas Watzenrode le Jeune, qui allait devenir le patron de Copernic; Barbara, la mère de l'astronome; et Christina, qui en 1459 a épousé le marchand et maire de Toruń, Tiedeman von Allen.

Lucas Watzenrode l'Ancien était bien considéré à Toruń comme un homme pieux et honnête marchand, et il a été actif politiquement. Il était un adversaire décidé des Chevaliers Teutoniques et un allié du polonais Roi Casimir IV Jagellon. En 1453, il était le délégué de Toruń au Grudziądz (Graudenz) conférence qui a planifié de se allier les villes de la Confédération prussienne avec Casimir IV dans leur guerre subséquente contre les chevaliers teutoniques. Pendant le Guerre de Treize Ans qui a suivi l'année suivante, il a activement soutenu l'effort de guerre des subventions monétaires importantes, avec une activité politique à Toruń et Dantzig, et en luttant personnellement dans des batailles au Lasin (Lessen) et Malbork (Marienburg). Il est mort en 1462.

Lucas Watzenrode la, oncle maternel Jeune de l'astronome et mécène, a fait ses études à l'Université de Cracovie (aujourd'hui Jagiellonian University) et aux universités de Cologne et de Bologne . Il était un adversaire acharné de l'Ordre teutonique, et son Grand Maître fois référence à lui comme "le diable incarné". En 1489 Watzenrode a été élu Évêque de Warmie (Ermeland, Ermland) contre la préférence du roi Casimir IV, qui avait espéré installer son propre fils dans ce siège. En conséquence, Watzenrode brouillé avec le roi jusqu'à la mort de Casimir IV trois ans plus tard. Watzenrode était alors en mesure de former des relations étroites avec trois monarques polonais successifs: John Je Albert, Alexander Jagellon, et Sigismond le Vieux. Il était un ami et conseiller clé pour chaque règle, et son influence a considérablement renforcé les liens entre la Warmie et Pologne proprement dite. Watzenrode est venu à être considéré comme l'homme le plus puissant dans la Warmie et sa richesse, les connexions et l'influence lui a permis de sécuriser l'éducation et la carrière de Copernic comme un canon à Cathédrale de Frombork.

Langues

Lettre en langue allemande de Copernic à Le duc Albert de Prusse, donner des avis médicaux George von Kunheim (1541)

Copernic est postulé avoir parlé latine , allemand et Polonais avec une égale aisance. Il a également parlé grec et italien. La grande majorité des travaux de la survie de Copernic sont en latin , qui, dans sa vie était la langue de les universités en Europe. Latin était aussi la langue officielle de l'Eglise catholique romaine et du cour royale de la Pologne, et donc toute la correspondance de Copernic avec l'Eglise et avec les dirigeants polonais était en latin.

Il survivent quelques documents écrits par Copernic en allemand. Martin Carrier mentionne cela comme une raison de considérer la langue maternelle de Copernic avoir été allemand. D'autres arguments sont que Copernic est né dans une ville à majorité germanophone et que, tout en étudiant le droit à Bologne en 1496, il a signé dans l'Allemand Natio (Natio Germanorum) -un organisation étudiante qui, selon ses règlements 1497, était ouvert aux étudiants de tous les royaumes et des États dont la langue maternelle ("Muttersprache") était allemand.

Toutefois, selon le philosophe français Alexandre Koyré, ce qui en soi ne implique pas que Copernic se considérait allemand, puisque les étudiants de la Prusse et de la Silésie étaient systématiquement placés dans cette catégorie, qui a effectué certains privilèges qui en ont fait un choix naturel pour les étudiants germanophones, indépendamment de leur appartenance ethnique ou auto -identification.

Nom

A l'époque de Copernic, les gens étaient souvent appelés après que les lieux où ils ont vécu. Comme le Village de Silésie dont il se inspire, le nom de famille de Copernic a été orthographié différemment. Le monde anglo-saxon sait l'astronome principalement par la latinisée nom, "Nicolas Copernic".

Le nom avait probablement quelque chose à voir avec la Silésie locale l'industrie des mines de cuivre, si certains chercheurs affirment qu'il a peut-être été inspiré par l' aneth plante (en polonais, "koperek» ou «Kopernik") qui pousse en Silésie.

Comme ce fut le cas avec William Shakespeare un siècle plus tard, de nombreuses variantes orthographiques du nom sont documentés pour l'astronome et ses proches. Le nom est apparu comme un Nom en Silésie dans le 13ème siècle, où il a été orthographié différemment dans les documents latins. Copernic "était plutôt indifférent l'orthographe ". Au cours de son enfance, le nom de son père (et donc de l'astronome futur) a été enregistrée à Thorn que Niclas Koppernigk vers 1480. A Cracovie il a signé son nom" Nicolaus Nicolai de Torunia ". A Bologne en 1496, il se inscrit dans le resp Matricula Nobilissimi Germanorum Collegii Annales Clarissimae Nacionis Germanorum de la Natio Germanica Bononiae que Dominus Nicolaus Kopperlingk de Thorn -. IX grosseti. A Padoue, Copernic a signé son nom "Nicolaus Copernik", plus tard comme "Coppernicus". Il a signé un auto-portrait, dont une copie est maintenant à l'Université Jagellonne, "N Copernic". L'astronome latinisé son nom à Coppernicus, généralement avec deux s "p" (dans 23 des 31 documents étudiés), mais plus tard dans la vie il a utilisé un seul «p». Sur la page de titre de De revolutionibus, Rheticus a publié le nom (dans le génitif, ou possessif, cas) "Nicolai Copernici".

Éducation

Collegium Maius, Cracovie
Nicolas Copernic Monument à Cracovie

Copernic oncle Watzenrode maintenu des contacts avec les grandes figures intellectuelles en Pologne et était un ami de l'influente d'origine italienne humaniste et Cracovie courtisan, Filippo Buonaccorsi. Watzenrode semble d'abord avoir envoyé jeune Copernic à l'école de St. John à Thorn où il avait lui-même été un maître. Plus tard, selon Armitage (certains savants diffèrent), le garçon a fréquenté l'école cathédrale de Włocławek, le Vistule de Thorn, qui a préparé les élèves pour l'entrée au Université de Cracovie, l'alma mater de Watzenrode en Pologne capitale ».

Dans le semestre d'hiver 1491-1492 Copernic, comme "Nicolaus Nicolai de Thuronia", immatriculé avec son frère Andrew à l'Université de Cracovie (aujourd'hui Université Jagellonne). Copernic a commencé ses études au Département des Arts (à partir de l'automne 1491, sans doute jusqu'à l'été ou à l'automne 1495) à l'apogée de la Cracovie école astronomique et mathématique, acquérir les bases pour ses réalisations mathématiques ultérieures. Selon une tradition plus tard, mais crédible ( Jan Brożek), Copernic était un élève de Albert Brudzewski, qui d'ici là (de 1491) était un professeur de La philosophie aristotélicienne, mais enseigné l'astronomie privé extérieur de l'université; Copernic se est familiarisé avec le commentaire lu de Brożek à Theoricae de Georg von Peuerbach de la planetarum et presque certainement assisté aux conférences de Bernard de Biskupie et Wojciech Krypa de Szamotuły et probablement d'autres conférences astronomiques par Jan de Głogów, Michael de Wrocław (Breslau), Wojciech de Pniewy et Marcin Bylica de Olkusz.

Les études Kraków de Copernic lui ont donné une solide formation dans les connaissances mathématiques astronomique enseigné à l'université (arithmétique, géométrie, optique géométrique, la cosmographie, l'astronomie théorique et computationnelle), une bonne connaissance des écrits philosophiques et de sciences naturelles de Aristote ( De coelo, Métaphysique), stimulé son intérêt pour l'apprentissage, et lui fit familier avec humaniste de la culture. Copernic a élargi la connaissance qu'il a des amphithéâtres de l'université avec la lecture indépendante de livres qu'il a acquis au cours de ses années Cracovie ( Euclid , Haly Abenragel, la Tables alphonsines, Johannes Regiomontanus 'Tabulae directionum); à cette période, probablement, datent aussi ses premières notes scientifiques, aujourd'hui conservés partie au Université d'Uppsala. A Cracovie Copernic a commencé à recueillir une grande bibliothèque sur l'astronomie; il serait plus tard être emporté comme butin de guerre par les Suédois au cours de la Déluge (milieu des années 1600) et est maintenant à la Bibliothèque de l'Université d'Uppsala.

Copernic quatre ans à Cracovie ont joué un rôle important dans le développement de ses facultés critiques et lancé son analyse des contradictions logiques dans les deux systèmes les plus populaires de la théorie de l'astronomie Aristote de sphères homocentriques et Ptolémée «mécanisme de s excentriques et épicycles-le dépassement et le rejet dont constituaient la première étape vers la création de sa propre doctrine de Copernic de la structure de l'univers.

Sans prendre un degré, probablement à l'automne 1495, Copernic a quitté Cracovie pour la cour de son oncle Watzenrode, qui en 1489 avait été élevé à Prince-évêque de Warmie et bientôt (après Novembre 1495) a cherché à placer son neveu dans un Warmie canonicat vacant de 26 Août 1495 la mort de son ancien locataire. Pour obscures raisons, probablement en raison de l'opposition d'une partie de ce chapitre, qui fait appel à l'installation de Rome-Copernicus a été retardé, inclinant Watzenrode pour envoyer ses deux neveux d'étudier le droit en Italie, apparemment en vue de promouvoir leurs carrières ecclésiastiques et donc aussi renforcer sa propre influence dans le chapitre de Warmie.

Laissant Warmie à la mi-1496, peut-être avec le cortège de chancelier du chapitre, Jerzy Pranghe, qui allait en Italie, à l'automne (Octobre?) De cette année Copernic est arrivé à Bologne et quelques mois plus tard (après le 6 Janvier 1497) lui-même signé dans le registre de l'Université de Bologne de "nation allemande" des juristes, qui comprenait également les jeunes polonais de Silésie, Prusse et Poméranie ainsi que des étudiants d'autres nationalités.

Ce ne est que le 20 Octobre 1497 que Copernic, par procuration, formellement succédé à la Warmie chanoine, qui avait été accordé à lui deux ans plus tôt. Pour cela, par un document en date du 10 Janvier 1503 au Padoue, il serait ajouter une sinécure à la Collégiale de la Sainte Croix à Wrocław, Silésie, Bohême. Malgré avoir reçu une papale indult le 29 Novembre 1508 à recevoir de plus amples bénéfices, à travers sa carrière ecclésiastique Copernic non seulement ne ont pas acquis encore prébendes et stations plus élevées ( prélatures) au chapitre, mais en 1538, il abandonna la sinécure Breslau. Il ne sait se il a été ordonné prêtre; il ne peut avoir pris les ordres mineurs, qui suffisaient pour assumer un chapitre de chanoine.

Via Galliera 65, Bologne , le site de la maison de Domenico Maria Novara. Plaque sur portique commémore Copernic.
"Ici, où se trouvait la maison de Domenico Maria Novara, professeur de l'ancienne Studium de Bologne , Nicolas Copernic, le mathématicien polonais et astronome qui allait révolutionner les concepts de l'univers, a mené des observations célestes brillants avec son professeur en 1497-1500. Placé sur le 5ème centenaire de [Copernic] la naissance par la Ville , le Université, l'Académie des sciences de l'Institut de Bologne, le Académie polonaise des sciences. 1473 [-] 1973. "

Au cours de son séjour de trois ans à Bologne, entre l'automne 1496 et au printemps 1501, Copernic semble s'être consacré moins vivement à l'étude le droit canon (il a reçu son doctorat en droit qu'après sept ans, après une deuxième retour en Italie en 1503) que de l'étude des sciences humaines --probably assister à des conférences par Filippo Beroaldo, Antonio URCEO, appelé CODRO, Giovanni Garzoni et Alessandro Achillini - et à l'étude de l'astronomie. Il a rencontré le célèbre astronome Domenico Maria Novara et est devenu son disciple et assistant. Copernic a été de développer de nouvelles idées inspirées par la lecture de la "Epitome de l'Almageste» (Epitome dans Almagestum Ptolemei) par George von Peuerbach et Johannes Regiomontanus (Venise, 1496). Il a vérifié ses observations sur certaines particularités dans la théorie de Ptolémée du mouvement de la Lune, en effectuant le 9 Mars 1497 à Bologne observation mémorable de Aldebaran, l'étoile la plus brillante dans le Taurus constellation, dont les résultats renforcé ses doutes quant à la système géocentrique. Copernic l'humaniste a demandé la confirmation de ses doutes croissants à travers lecture attentive des auteurs grecs et latins ( Pythagore , Aristarchos de Samos, Cléomède, Cicéron, Pline l'Ancien, Plutarque, Philolaus, Héraclide, Ecphantos, Platon ), la collecte, en particulier tout en Padoue, informations historiques fragmentaires sur astronomique antique, cosmologique et systèmes de calendrier.

Copernic a passé la année jubilaire 1500 à Rome, où il est arrivé avec son frère Andrew que le printemps, sans doute pour effectuer un apprentissage à la Curie papale. Ici aussi, cependant, il a continué son travail astronomique commencé à Bologne, en observant, par exemple, une éclipse lunaire la nuit 5-6 Novembre 1500. Selon un compte plus tard par Rheticus, Copernic aussi, probablement privée, plutôt qu'à la romaine Sapienza --en "Professeur Mathematum" (professeur d'astronomie) livrés, "à de nombreux étudiants ... et ... grands maîtres de la science», des conférences publiques consacrées probablement à une critique des solutions mathématiques de l'astronomie contemporaine.

Lors de son voyage de retour sans doute arrêtant brièvement à Bologne, à la mi-1501 Copernic était de retour à Warmie. Après le 28 Juillet recevoir du chapitre, une prolongation de deux ans de congé pour étudier la médecine (depuis "qu'il peut à l'avenir être un conseiller médical utile à notre révérend Supérieur [Bishop Lucas Watzenrode] et les messieurs du chapitre "), à la fin de l'été ou à l'automne il revint en Italie, probablement accompagné par son frère Andrew et par Canon B. Sculteti. Cette fois, il a étudié à la Université de Padoue, célèbre en tant que siège de l'apprentissage médical et-sauf pour une brève visite à Ferrara en mai-Juin 1503 à passer des examens pour, et de recevoir, son doctorat en droit canon, il est resté à Padoue de l'automne 1501 à l'été 1503.

Copernic a étudié la médecine sans doute sous la direction de professeurs-leader Padoue Bartolomeo da Montagnana, Girolamo Fracastoro, Gabriele Zerbi, Alessandro Benedetti et lire traités médicaux qu'il a acquis à ce moment, par Valescus de Taranta, Jan Mesue, Hugo Senensis, Jan Ketham, Arnold de Villa Nova, et Michele Savonarole, qui constituera l'embryon de son bibliothèque médicale plus tard.

Un des sujets que Copernic doivent avoir étudié était l'astrologie , car il était considéré comme un élément important d'une formation médicale. Cependant, contrairement à la plupart des autres astronomes éminents Renaissance, il semble ne avoir jamais pratiqué ou exprimé un intérêt dans l'astrologie.

Comme à Bologne, Copernic ne se limite pas à ses études officielles. Ce était probablement les années Padoue qui ont vu le début de ses intérêts hellénistiques. Il se est familiarisé avec la langue et la culture grecques à l'aide de La grammaire de Théodore Gaza (1495) et le dictionnaire de JB Chrestonius (1499), l'expansion de ses études de l'antiquité, commencé à Bologne, les écrits de Bessarion, J. Valla et d'autres. Il semble également y avoir des preuves que ce est pendant son séjour Padoue que, finalement, il cristallise l'idée de fonder un nouveau système du monde sur le mouvement de la Terre.

Comme le temps approchait pour Copernic de rentrer chez eux, au printemps 1503, il se rendit à Ferrare, où, le 31 mai 1503, après avoir passé les examens obligatoires, il a obtenu le grade de docteur en droit canonique. Pas de doute, ce était peu de temps après (au plus tard, à l'automne 1503) qu'il a quitté l'Italie pour le bien de revenir à Warmie.

Travail

Astronome Copernic, ou Conversations avec Dieu, par Matejko. En arrière-plan: Cathédrale de Frombork.

Après avoir terminé toutes ses études en Italie, 30 ans Copernic retourné à Warmie, où - à part de brèves voyages à Cracovie et à proximité des villes prussiennes (Thorn, Dantzig, Elbing, Graudenz, Malbork Marienburg, Königsberg (Królewiec) - il vivre les 40 années de sa vie.

Le Varmie apprécié substantielle l'autonomie, avec son propre alimentation (parlement) et unité monétaire (le même que dans les autres parties du Prusse royale) et de la trésorerie.

Copernic était le secrétaire et le médecin de son oncle 1503-1510 (ou peut-être jusqu'à la mort de cet oncle, le 29 Mars 1512) et résidait dans le château de l'évêque au Lidzbark (Heilsberg), où il a commencé à travailler sur sa théorie héliocentrique. En sa qualité officielle, il a participé à presque toutes les fonctions politiques, ecclésiastiques et administrative-économiques de son oncle. Depuis le début de 1504, Copernic accompagné Watzenrode aux sessions de l'alimentation royale prussienne tenue à Malbork et Elblag et écrire Dobrzycki et Hajdukiewicz ", a participé ... à tous les événements les plus importants dans le jeu diplomatique complexe qui politicien ambitieux et d'État ont joué dans la défense des intérêts particuliers de la Prusse et de Warmie, entre l'hostilité à la [Teutonique] Ordre et la loyauté à la Couronne polonaise ".

La traduction de Copernic Les épîtres de Théophylacte Simocatta. Couverture montre Manteau-de-bras de (à droite en haut) la Pologne , la Lituanie et Cracovie.

En 1504-1512 Copernic fait de nombreux voyages dans le cadre de son oncle l'escorte en 1504, à Toruń et Dantzig, à une session du Conseil royal de Prusse, en présence du roi de la Pologne Alexander Jagiellon; aux sessions de l'alimentation prussienne à Malbork (1506), Elbląg (1507) et Sztum (Stuhm) (1512); et il a peut-être assisté à une Poznań (Posen) session (1510) et le couronnement du roi de la Pologne Sigismond le Vieux à Cracovie (1507). L'itinéraire de Watzenrode suggère que, au printemps 1509 Copernic peut-être assisté à la Cracovie Sejm.

Ce est probablement à cette dernière occasion, à Cracovie, que Copernic soumis pour l'impression au La presse Jan Haller sa traduction, du grec au latin, d'une collection, par le 7ème siècle byzantin historien Théophylacte Simocatta, de 85 poèmes brefs appelés épîtres ou lettres, supposés avoir passé entre différents personnages dans une histoire grecque. Ils sont de trois kinds- «moral», en offrant des conseils sur la façon dont les gens devraient vivre; «Pastoral», donnant de petites images de la vie de berger; et "amoureuses", comprenant des poèmes d'amour. Ils sont agencés de manière à se succéder à une rotation régulière des sujets. Copernic avait traduit les vers grecs en prose latine, et il publié aujourd'hui sa version que Theophilacti Scolastici Simocati epistolae morales, rurales et amatoriae interpretatione latina, qu'il dédia à son oncle dans la gratitude pour tous les bienfaits qu'il avait reçus de lui. Avec cette traduction, Copernic se est déclaré sur le côté de la humanistes dans la lutte sur la question de savoir si la littérature grecque devrait être rétabli. Première œuvre poétique de Copernic était un Grec épigramme, composée probablement lors d'une visite à Cracovie, pour Johannes Dantiscus ' épithalame pour 1512 mariage de Barbara à Zapolya Roi Zygmunt le Vieux.

Quelque temps avant 1514, Copernic a écrit une première ébauche de sa théorie héliocentrique connu seulement à partir de transcrits plus tard, par le titre (peut-être qui lui est donné par un copiste), Nicolai Copernici de hypothesibus motuum coelestium un soi constitutis Commentariolus, communément dénommé Commentariolus. Ce était une description théorique succincte de mécanisme héliocentrique du monde, sans appareil mathématique, et a différé dans certains détails importants de construction géométrique de De revolutionibus; mais il était déjà basé sur les mêmes hypothèses concernant les motions triples de la Terre. Le Commentariolus, qui Copernic consciemment vu simplement comme une première esquisse de son livre prévue, ne était pas destiné à la distribution imprimée. Il a fait que très peu de copies manuscrites disponibles à ses plus proches connaissances, y compris, il semble, plusieurs astronomes Cracovie avec qui il a collaboré dans 1515-1530 à observer éclipses. Tycho Brahe inclurait un fragment de la Commentariolus dans son propre traité, Astronomiae instauratae progymnasmata, publiée dans Prague en 1602, basée sur un manuscrit qu'il avait reçu de la Bohemian médecin et astronome Tadeáš Hájek, un ami de Rheticus. Le Commentariolus semble complète imprimé pour la première fois seulement en 1878.

La tour de Copernic au Frombork, où il a vécu et travaillé; reconstruite récemment
Frombork monture et fortifications cathédrale. En avant-plan: statue de Copernic

En 1510 ou 1512 Copernic a déménagé à Frombork, une ville au nord-ouest à la Bassin de la Vistule sur la Mer Baltique côte. Là, en Avril 1512, il a participé à l'élection de Fabian de Lossainen que Prince-évêque de Warmie. Ce est seulement au début de Juin 1512 que le chapitre a donné un Copernic "curie externe» -une habitation en dehors des murailles de la cathédrale montent. En 1514, il a acheté la tour nord-ouest dans les murs de la forteresse Frombork. Il permettrait de maintenir ces deux résidences à la fin de sa vie, en dépit de la dévastation des bâtiments du chapitre par un raid contre Frauenburg réalisée par l'Ordre teutonique en Janvier 1520, au cours de laquelle les instruments astronomiques de Copernic ont probablement été détruits. Copernic a mené des observations astronomiques en 1513-1516 sans doute de ses curie externes; et de 1522 à 1543, d'un non identifié "petit tour" (turricula), en utilisant des instruments primitifs sur le modèle de ceux-la anciens quadrant, pyramidal, sphère armillaire. Au Frombork Copernic réalisé plus de la moitié de ses plus de 60 observations astronomiques enregistrés.

Ayant réglé en permanence à Frombork, où il résiderait à la fin de sa vie, avec des interruptions en 1516-1519 et 1520-1521, Copernic se est retrouvé au centre économique et administratif du chapitre de Warmie, qui était aussi l'un des deux centres de chef de de Warmie la vie politique. Dans la situation difficile, politiquement complexe de Warmie, menacé par l'extérieur Les agressions de l'Ordre Teutonique (attaques par des bandes teutoniques; le Polono-germanique guerre de 1519-1521; Les plans d'Albert d'annexer Warmie), interne soumis à des pressions séparatistes forts (la sélection des princes-évêques de Warmie; réforme de la monnaie), il a, avec partie du chapitre, représenté un programme de coopération avec le strict Polonais Couronne et démontré dans toutes ses activités publiques (la défense de son pays contre les plans de l'Ordre de la conquête; propositions pour unifier ses monétaire système avec de la Couronne polonaise; appui aux intérêts de la Pologne dans l'administration ecclésiastique de la domination Warmie) qu'il était consciemment un citoyen de la République de Pologne-Lituanie . Peu de temps après la mort de l'oncle évêque Watzenrode, il a participé à la signature de la Deuxième Traité de Piotrków Trybunalski (7 Décembre 1512), qui régit la nomination du Évêque de Warmie, déclarant, malgré l'opposition d'une partie du chapitre, pour coopération loyale avec le Couronne polonaise.

Cette même année (avant le 8 Novembre 1512) Copernic a assumé la responsabilité, comme magister Pistoriae, de l'administration des entreprises économiques du chapitre (il tiendrait à nouveau ce bureau en 1530), après avoir déjà depuis 1511 remplissaient les fonctions de chancelier et visiteurs des domaines du chapitre.

Ses Dutes administratives et économiques ne ont pas distraire Copernic, en 1512-1515, de l'activité d'observation intensive. Les résultats de ses observations de Mars et Saturne dans cette période, et en particulier une série de quatre observations de la Sun faites en 1515, a conduit à la découverte de la variabilité de la Terre de l ' et l'excentricité du mouvement du solaire apogée par rapport aux étoiles fixes, qui, en 1515-1519 poussé ses premières révisions de certaines hypothèses de son système. Certaines des observations qu'il a faites dans cette période ont pu avoir un lien avec un projet de réforme de la Calendrier julien fait dans la première moitié de 1513 à la demande de la Évêque de Fossombrone, Paul de Middelburg. Leurs contacts à ce sujet dans la période de la Cinquième Concile du Latran ont ensuite été commémoré dans une mention gratuit dans épître dédicatoire de Copernic Des révolutions des sphères célestes et dans un traité par Paul de Middelburg, Secundum recueil correctionis Calendarii (1516), qui mentionne Copernic parmi les savants qui avaient envoyé les propositions du Conseil pour la correction du calendrier.

Château Olsztyn

Au cours de 1516-1521, Copernic résidait à Olsztyn (Allenstein) Château en tant qu'administrateur économique de Warmie, y compris Olsztyn (Allenstein) et Pieniężno (Mehlsack). Tandis que là, il a écrit un manuscrit, Locationes mansorum desertorum (Emplacements des Fiefs désertes), en vue de peupler ces fiefs avec les agriculteurs industrieux et ainsi de renforcer l'économie de Warmie. Quand Olsztyn a été assiégée par les Chevaliers Teutoniques au cours de la Polono-germanique de la guerre (1519-1521), Copernic dirigé la défense de Olsztyn et Warmie par les forces polonaises royale. Il a également représenté la partie polonaise dans les négociations de paix qui ont suivi.

Copernic pendant des années a informé le Royale de Prusse alimentation, Le duc Albert de Prusse (contre laquelle Copernic avait défendu Warmie dans la guerre polono-germanique) et la Pologne Le roi Sigismond le Vieux sur réforme monétaire. Il a participé à des discussions dans le Alimentation prussienne ducal sur la réforme de la monnaie dans les pays prussiens; une question qui concerne le régime alimentaire était qui avait le droit de menthe pièce . Les développements politiques en Prusse ont abouti à la création de la 1525 Duché de Prusse comme un état protestante de vassalité à la Pologne.

En 1526, Copernic a écrit une étude sur la valeur de l'argent, Monetae rapport de cudendae. Dans ce document, il a formulé une itération début de la théorie, maintenant appelé La loi de Gresham, ce «mauvais» ( avili) la monnaie entraîne "bonne" (non dégradée) la monnaie de décennies de circulation plusieurs avant- Thomas Gresham. Il a également, en 1517, posa une la théorie quantitative de la monnaie, un concept principal de l'économie à nos jours. Les recommandations de Copernic sur la réforme monétaire ont été largement lus par les dirigeants de la Prusse et la Pologne dans leurs tentatives pour stabiliser la monnaie.

Thorvaldsen de Monument Copernic à Varsovie

En 1533, Johann Widmanstetter, secrétaire Le pape Clément VII, a expliqué le système héliocentrique de Copernic au pape et deux cardinaux. Le pape était tellement heureux qu'il a donné Widmanstetter un cadeau précieux. En 1535, Bernard Wapowski a écrit une lettre à un gentilhomme de Vienne , lui demandant de publier un joint almanach, qui, selon lui avait été écrit par Copernic. Ce est la seule mention d'un almanach Copernic dans les documents historiques. Le «almanach» était tables susceptibles de Copernic »de positions planétaires. La lettre de Wapowski mentionne la théorie de Copernic sur les mouvements de la terre. Rien ne est venu de la demande de Wapowski, parce qu'il est mort quelques semaines plus tard.

Après la mort du prince-évêque de Warmie Ile Maurice Ferber (1 Juillet 1537), Copernic a participé à l'élection de son successeur, Johannes Dantiscus (20 Septembre 1537). Copernic était l'un des quatre candidats pour le poste, écrit en à l'initiative de Tiedemann Giese; mais sa candidature était en fait pro forma, depuis Dantiscus avait auparavant été nommé évêque coadjuteur à Ferber. Au début Copernic a maintenu des relations amicales avec le nouveau prince-évêque, l'aider médicalement au printemps 1538 et l'accompagner cet été une tournée d'inspection des exploitations d'chapitre. Mais cet automne, leur amitié a été tendu par des soupçons plus de Copernic la gouvernante, Anna Schilling, qui Dantiscus retiré de Frombork en 1539.

Copernic avecplante médicinale

Dans ses jeunes années, Copernic le médecin avait traité son oncle, frère et d'autres membres de la section. Plus tard, il a été appelé à assister les évêques âgés qui à son tour occupé le siège de Warmie-Maurice Ferber et Johannes Dantiscus - et, en 1539, son vieil ami Tiedemann Giese, évêque de Chełmno (Kulm). Dans le traitement de ces patients importants, il cherchait parfois consultations d'autres médecins, y compris le médecin du duc Albert et, par lettre, le médecin polonais royale.

"Nicolas Copernic Tornaeus Borussusmathemat."1597

Au printemps de 1541, le duc Albert convoqué Copernic à Königsberg pour assister conseiller du duc, George von Kunheim, qui était tombé gravement malade, et pour qui les médecins prussiens semblait incapable de faire quoi que ce soit. Copernic est allé volontiers; il avait rencontré von Kunheim lors des négociations sur la réforme de la monnaie. Et Copernic venait de sentir que Albert lui-même était pas une si mauvaise personne; les deux avaient de nombreux intérêts intellectuels en commun. Le chapitre facilement donné la permission d'aller Copernic, comme il souhaitait rester en bons termes avec le duc, en dépit de sa foi luthérienne. Dans environ un mois, le malade guérit, et Copernic retourné à Frombork. Pour un temps, il a continué à recevoir des rapports sur l'état de von Kunheim, et de lui envoyer un avis médical par lettre.

Tout au long de cette période de sa vie, Copernic a continué de faire des observations et des calculs astronomiques, mais seulement que ses autres responsabilités et de ne jamais autorisé à titre professionnel.

Certains des amis proches de Copernic tourné protestante, mais Copernic n'a jamais montré une tendance dans cette direction. Les premières attaques sur lui provenaient de protestants. Gnapheus Wilhelm, un réfugié Néerlandais installés dans Elbląg, a écrit une comédie latine , Morosophus (Le Foolish Sage), et mis en scène il à l'école latine qu'il avait établie là. Dans la pièce, Copernic a été caricaturé comme un, homme froid, distant hautaine qui se mêlait de l'astrologie , lui-même considéré comme inspiré par Dieu, et a été répandu pour avoir écrit un grand travail qui a été moisir dans un coffre.

. Ailleurs, les protestants ont été les premiers à réagir aux nouvelles de la théorie de CopernicMelanchthon a écrit:

Certaines personnes croient qu'il est excellent et correcte de travailler sur une chose aussi absurde que l'a fait Sarmatian [ie, polonais] astronome qui déplace la terre et arrête le soleil. En effet, les dirigeants sages auraient freiné telle lumière d'esprit.

Néanmoins, en 1551, huit ans après la mort de Copernic, l'astronome Erasmus Reinhold publié, sous le parrainage de Copernic ancien adversaire militaire, le protestant duc Albert, les tableaux de Prusse , un ensemble de tables astronomiques basés sur le travail de Copernic. Les astronomes et les astrologues l'ont rapidement adopté à la place de ses prédécesseurs.

Héliocentrisme

Mi-16ème siècle portrait

Quelque temps avant 1514 Copernic mis à la disposition des amis de son " Commentariolus "(" petit commentaire "), une quarantaine de pages manuscrit décrivant ses idées sur l'hypothèse héliocentrique. Il contenait sept hypothèses de base (détaillées ci-dessous). Par la suite, il a continué de recueillir des données pour un travail plus approfondi.

À propos de Copernic 1532 avait pratiquement achevé son travail sur le manuscrit de De revolutionibus orbium coelestium ; mais malgré les pressions exercées par ses amis les plus proches, il a résisté à la publication ouvertement ses vues, ne voulant pas-comme il l'avouait-à risquer le mépris "à laquelle il aurait lui-même exposer en raison de la nouveauté et de l'incompréhensibilité de ses thèses."

En 1533, Johann Albrecht Widmannstetter livré une série de conférences à Rome décrivant la théorie de Copernic. Le pape Clément VII et plusieurs cardinaux catholiques ont entendu les exposés et se sont intéressés à la théorie. Le 1er Novembre 1536, le cardinal Nikolaus von Schönberg, archevêque de Capoue, a écrit à Copernic de Rome:

Il ya quelques années atteint mot me concernant votre compétence, dont tout le monde parlait sans cesse. A cette époque, je commençais à avoir une très haute pour vous ... Car je l'avais appris que vous aviez non seulement maîtrisé les découvertes des astronomes anciens exceptionnellement bien, mais avait également formulé une nouvelle cosmologie. Dans ce que vous maintenez que la terre se déplace; que le soleil occupe la plus faible, et donc la centrale, place dans l'univers ... donc avec le plus grand sérieux, je vous en prie, monsieur le plus savant, si je ne vous désagréments, de communiquer cette découverte de la vôtre pour les chercheurs, et au plus tôt moment possible de me faire parvenir vos écrits sur la sphère de l'univers ainsi que les tables et tout ce que vous avez qui est pertinente à ce sujet ...

D'ici là, les travaux de Copernic a été touche à sa forme définitive, et les rumeurs sur sa théorie avait atteint les personnes instruites dans toute l'Europe. Malgré exhortations dans de nombreux milieux, Copernic a retardé la publication de son livre, peut-être de peur de la critique-peur délicatement exprimé dans la suite du dévouement de son chef-d'œuvre d' Le pape Paul III. érudits sont en désaccord sur l'opportunité de la préoccupation de Copernic a été limitée à d'éventuelles objections astronomiques et philosophiques, ou si il était également préoccupé par des objections religieuses.

Le livre

De revolutionibus, 1543.Cliquez sur l'image pour lire livre.

Copernic travaillait toujours sur De revolutionibus orbium coelestium(même si pas certain qu'il voulait publier) quand en 1539Georg Joachim Rheticus, unWittenbergmathématicien, est arrivé à Frombork.Philipp Melanchthon, un allié proche théologique deMartin Luther, avait arrangé Rheticus à visiter plusieurs astronomes et étudier avec eux.

Rheticus est devenu de l'élève, de rester avec lui pendant deux ans et d'écrire un livre, Copernic Narratio prima (premier compte), décrivant l'essence de la théorie de Copernic. En 1542 Rheticus publié un traité sur la trigonométrie par Copernic (plus tard inclus dans le deuxième livre de De revolutionibus ).

Sous la forte pression de Rheticus, et ayant vu la première réception favorable générale de son travail, Copernic a finalement accepté de donner De revolutionibus à son ami proche, Tiedemann Giese, évêque de Chelmno (Kulm), être livré à Rheticus pour l'impression par l' allemand imprimante Johannes Petreius à Nuremberg ( Nürnberg ), Allemagne. Alors que Rheticus initialement supervisé l'impression, il a dû quitter Nuremberg avant qu'elle ne soit terminée, et il a remis la tâche de superviser le reste de l'impression à un théologien luthérien, Andreas Osiander.

Osiander a ajouté une préface non autorisée et non signé, la défense du travail contre ceux qui pourraient être offensé par les nouvelles hypothèses. Il a expliqué que les astronomes peuvent trouver des causes différentes pour les mouvements observés, et de choisir ce qui est plus facile à saisir. Tant qu'une hypothèse permet le calcul fiable, il n'a pas à correspondre à ce qu'un philosophe pourrait demander que la vérité.

Mort

1735 épitaphe, Cathédrale de Frombork.Une épitaphe 1580 avait été détruit.
Cercueil avec les restes de Saint-James, de Copernic Cathédrale Basilique,Allenstein, Mars 2010
Cathédrale de Frombork
2010 tombe de Copernic, la cathédrale de Frombork

Vers la fin de 1542, Copernic a été saisi de l'apoplexie et de paralysie, et il est mort à 70 ans le 24 mai 1543. La légende dit qu'il a été présenté avec un exemplaire préliminaire de son De revolutionibus orbium coelestium le jour même où il est mort, lui permettant de prendre congé du travail de sa vie. Il est réputé pour avoir réveillé d'un coma induit course, regarda son livre, puis est mort paisiblement.

Copernic aurait été enterré dans la cathédrale de Frombork, où les archéologues depuis plus de deux siècles cherché en vain ses restes. Les efforts pour localiser les restes en 1802, 1909, 1939 et 2004 avaient abouti à rien. En Août 2005, cependant, une équipe dirigée par Jerzy Gassowski, tête d'une archéologie et l'anthropologie institut Pułtusk, après la numérisation sous le plancher de la cathédrale, a découvert ce qu'ils croyaient être les restes de Copernic.

La découverte est intervenue après une année de recherche, et la découverte a été annoncée seulement après de plus amples recherches, le 3 Novembre 2008. Gassowski a dit qu'il était «presque 100 pour cent sûr il est Copernic". médecin légiste Capt. Dariusz Zajdel du Forensic polonaise de police central Laboratoire utilisé le crâne de reconstruire un visage qui ressemble de près aux caractéristiques, y compris un nez cassé et une cicatrice au-dessus de l'œil sur un auto-portrait Copernic gauche. L'expert a également déterminé que le crâne appartenait à un homme qui était mort autour de l'âge de 70 ans-Copernicus au moment de sa mort.

La tombe était en mauvais état, et non tous les restes du squelette ont été trouvés; manquant, entre autres choses, était la mâchoire inférieure. L'ADN des os trouvés dans la tombe identifié des échantillons de cheveux prélevés sur un livre appartenant à Copernic qui a été maintenu à la bibliothèque de l' Université d'Uppsala en Suède.

Samedi 22 mai 2010 Copernic a été donné un second enterrement dans une messe dirigée par Józef Kowalczyk, l'ancien nonce apostolique en Pologne et récemment nommé primat de Pologne. Les restes ont été inhumés de Copernic à la même place dans la cathédrale de Frombork où une partie de son crâne et d'autres os avait été trouvé. Une pierre tombale de granit noir l'identifie maintenant comme le fondateur de la théorie héliocentrique et aussi une église canon. La pierre tombale porte une représentation du modèle de Copernic du système solaire-un soleil d'or entouré par six des planètes.

Système de Copernic

Prédécesseurs

Philolaus (c. 480-385 BCE) a décrit un système astronomique dans lequel un incendie centrale (différente de la Sun) occupait le centre de l'univers, et une contre-Terre, la Terre, la Lune, le Soleil lui-même, les planètes et les étoiles tout tournait autour de lui, dans cet ordre à l'extérieur du centre. Héraclide Pontique (387-312 BCE) a proposé que la Terre tourne sur son axe. Aristarque de Samos (310 BCE -. c 230 BCE) a identifié le «feu central" avec le Soleil, autour duquel il avait orbite autour de la Terre. Quelques détails techniques du système de Copernic ressemblaient étroitement à ceux développés auparavant par les astronomes islamiques Nasir al-Din al-Tusi et Ibn al-Chater, qui ont tous deux retenu un modèle géocentrique. Aryabhata (476-550), dans son opus magnum Aryabhatiya (499), proposée un modèle planétaire dans lequel la Terre a été prise à tourner sur son axe et les périodes des planètes ont été donné par rapport au Soleil Il calculé avec précision de nombreuses constantes astronomiques, comme les périodes des planètes, des temps de les éclipses solaires et lunaires, et le mouvement instantané de la Lune.

A l'observatoire de Maragha, Najm al-Din al-Qazwini al-Katibi (d. 1277), dans son Hikmat al-Aïn, a écrit un argument pour un modèle héliocentrique, mais plus tard abandonné le modèle. Qutb al-Din Shirazi (b. 1236) a également discuté de la possibilité de l'héliocentrisme, mais l'a rejeté.Ibn al-Chater (b. 1304) a développé un système géocentrique qui employait des techniques mathématiques, comme la Tusi-couple et Urdi lemme, qui étaient presque identiques à ceux de Nicolas Copernic tard employées dans son système héliocentrique, ce qui implique que son modèle mathématique a été influencé par l'école Maragha.

Nilakantha Somayaji (1444-1544), dans son Aryabhatiyabhasya, un commentaire sur Aryabhatiya de Aryabhata, a développé un système de calcul pour un modèle planétaire héliocentrique partiellement, dans laquelle les planètes tournent autour du Soleil, qui à son tour autour de la Terre, semblable au système Tychonic tard proposé par Tycho Brahe à la fin du 16ème siècle. Dans le Tantrasangraha (1500), il a en outre révisé son système planétaire, qui était mathématiquement plus précis pour prédire les orbites héliocentrique des planètes intérieures à la fois au Tychonic et modèles de Copernic.

La théorie qui prévaut en Europe au cours de la durée de vie de Copernic a été celui qui Ptolémée publié dans son Almageste circa 150 CE; la Terre était le centre immobile de l'univers. Étoiles ont été incorporées dans une grande sphère extérieure qui tournait rapidement, environ tous les jours, tandis que chacune des planètes, le Soleil et la Lune ont été noyés dans leurs propres sphères plus petites. Système utilisé les dispositifs de Ptolémée, dont épicycles, déférents et équants, pour tenir compte des observations que les chemins de ces organes diffèrent de simples orbites circulaires, centrées sur la Terre.

Copernic

La vision de Copernic de l'universdans De revolutionibus orbium coelestium

Grande théorie de Copernic a été publiée dans De revolutionibus orbium coelestium(Des révolutions des sphères célestes), dans l'année de sa mort, 1543, bien qu'il ait formulé la théorie plusieurs décennies plus tôt.

"Commentariolus" de Copernic a résumé sa théorie héliocentrique. Il a énuméré les «hypothèses» sur lesquelles se fonde la théorie comme suit:

«1. Il n'y a pas un centre de tous les cercles ou sphères célestes.
2. Le centre de la terre est pas le centre de l'univers, mais seulement de la gravité et de la sphère lunaire.
3. Tous les sphères tournent autour du soleil comme leur point milieu, et donc le soleil est le centre de l'univers.
4. Le rapport de la distance de la terre au soleil à la hauteur du firmament (sphère la plus externe céleste contenant les étoiles) est tellement plus petit que le rapport de le rayon de la Terre à sa distance du soleil que la distance de la terre au soleil est imperceptible en comparaison avec la hauteur du firmament.
5. Quel que soit le mouvement apparaît dans le firmament se pose pas de tout mouvement du firmament, mais de la terre de mouvement. La terre avec ses éléments circonvoisins effectue une rotation complète sur ses pôles fixes dans un mouvement quotidien, tandis que le firmament et plus haut des cieux respectent inchangé.
6. Que nous apparaissent comme des motions du soleil se pose pas de son mouvement, mais à partir de la mouvement de la terre et de notre sphère, avec laquelle nous tournons autour du soleil comme tout autre planète. La terre a donc plus d'une motion.
7. Le mouvement rétrograde et direct apparent des planètes se pose pas de leur mouvement, mais à partir de la terre. Le mouvement de la terre seule, donc, suffit à expliquer tant d'inégalités apparentes dans les cieux ".

De revolutionibuslui-même était divisé en six parties, appelées "livres":

  1. Vision générale de la théorie héliocentrique, et un exposé résumé de son idée du Monde
  2. Principalement théorique, présente les principes de l'astronomie sphérique et une liste des étoiles (comme une base pour les arguments développés dans les livres suivants)
  3. Principalement dédié aux mouvements apparents du Soleil et aux phénomènes connexes
  4. Description de la Lune et ses mouvements orbitaux
  5. Exposition des motions en longitude des planètes non-terrestres
  6. Exposition des motions en latitude des planètes non-terrestres

Successeurs

Georg Joachim Rheticus aurait pu être le successeur de Copernic, mais il n'a pas à la hauteur. Erasmus Reinhold aurait pu être son successeur, mais il est mort prématurément. Le premier des grands successeurs était Tycho Brahe (bien qu'il ne pense pas que la terre tournait autour du soleil), suivie par Johannes Kepler , qui avait travaillé comme assistant de Tycho à Prague.

Malgré l'acceptation quasi universelle aujourd'hui de l'idée de base héliocentrique (mais pas les épicycles ou les orbites circulaires), la théorie de Copernic était à l'origine du temps à se. Savants soutiennent que soixante ans après la publication de Revolutions il y avait seulement environ 15 astronomes épousant Copernicanism dans toute l'Europe, "Thomas Digges et Thomas Hariot en Angleterre; Giordano Bruno et Galilée en Italie; Diego de Zuniga en Espagne; Simon Stevin dans les Pays-Bas, et en Allemagne, le plus grand groupe - Georg Joachim Rheticus, Michael Maestlin, Christoph Rothmann (qui peuvent avoir plus tard rétracté), et Johannes Kepler ". D'autres possibilités sont anglais William Gilbert, avec Achille Gasser, Georg Vögelin, Valentin Otto, et Tiedemann Giese.

Arthur Koestler, dans son livre populaire Les somnambules , a affirmé que le livre de Copernic n'a pas été lu lors de sa première publication. Cette revendication a été incisive critiqué par Edward Rosen, et a été décisive démentie par Owen Gingerich, qui a examiné chaque exemplaire survivant des deux premières éditions et a trouvé des notes marginales abondamment par leurs propriétaires à travers beaucoup d'entre eux. Gingerich a publié ses conclusions en 2004 dans La Personne livre Lire .

Le climat intellectuel de l'époque "est resté dominé par la philosophie aristotélicienne et l'astronomie de Ptolémée correspondant. A cette époque, il n'y avait aucune raison d'accepter la théorie de Copernic, sauf pour sa simplicité mathématique [en évitant d'utiliser le Equant dans la détermination des positions planétaires]. " Le système de Tycho Brahe ("que la terre est immobile, le soleil tourne autour de la terre, et les autres planètes tournent autour du soleil") aussi directement en concurrence avec Copernic. Il était seulement un demi-siècle plus tard, avec les travaux de Kepler et Galilée que toute preuve substantielle défendre Copernicanism apparu, en commençant "à partir du moment où Galilée a formulé le principe d'inertie ... [qui] a contribué à expliquer pourquoi tout ne serait pas tomber de la la terre si elle était en mouvement ". Ce ne fut que "après Isaac Newton a formulé la loi universelle de la gravitation et les lois de la mécanique [dans son 1687 Principia ], qui mécaniciens terrestres et célestes unifiées, était le point de vue héliocentrique généralement acceptée. "

Controverse

Copernic, l'astronome

Seulement controverse légère (et aucun sermons féroces) était le résultat immédiat de la publication de Copernic le livre. Au Concile de Trente ni Copernic de la théorie, ni le calendrier de la réforme (qui allait plus tard utiliser des tables déduites de calculs de Copernic) ont été discutés.

Le premier notable à se déplacer contre Copernic était le Magister du Palais Saint (ie, le chef de l'Eglise catholique censeur), dominicain Bartolomeo Spina, qui "a exprimé le désir d'éradiquer la doctrine copernicienne». Mais avec la mort de Spina en 1546, sa cause est tombé à son ami, le théologien-astronome bien connu, le dominicain Giovanni Maria Tolosani du couvent de Saint-Marc à Florence. Tolosani avait écrit un traité sur la réforme du calendrier (dans lequel l'astronomie jouerait un rôle important), et avait assisté à la cinquième concile de Latran pour discuter de la question. Il avait obtenu une copie de De revolutionibus en 1544. Sa dénonciation de Copernic est apparue dans une annexe de son ouvrage intitulé Sur la vérité de l'Ecriture Sainte .

Émuler le style rationaliste de Thomas d'Aquin , Tolosani efforcé de réfuter les théories de Copernic sur des arguments philosophiques. Alors qu'il était encore en invoquant Christian Écriture et la Tradition, Tolosani efforcé de montrer Copernic était absurde, car elle était prouvée et non fondée sur trois points principaux. Première Copernic avait pris le mouvement de la Terre, mais offert aucune théorie physique dans lequel on déduire de cette motion. (Personne ne réalise que l'enquête sur Copernic se traduirait par une refonte de l'ensemble du domaine de la physique .) Deuxième Tolosani chargé que le processus de pensée de Copernic était en arrière. Il a conclu que Copernic était venu avec son idée et a ensuite cherché des phénomènes qui seraient d'accord, plutôt que de l'observation des phénomènes et en déduire que l'idée de ce qui a causé cela. Dans ce Tolosani liait équations mathématiques de Copernic avec les pratiques des pythagoriciens (dont Aristote avait faites contre arguments, qui ont ensuite été ramassés par Thomas d'Aquin). Il a fait valoir que nombres mathématiques étaient un simple produit de l'intellect sans aucune réalité physique, et que ces "chiffres ne pouvaient pas fournir des causes physiques à l'enquête de la nature." (Ce fut essentiellement un déni de la possibilité de la physique mathématique .)

Certaines hypothèses astronomiques de l'époque (comme épicycles et des excentriques) ont été considérés comme de simples dispositifs mathématiques pour ajuster les calculs de l'endroit où les corps célestes semblent plutôt qu'une explication de la cause de ces motions. (Comme Copernic toujours maintenu l'idée des orbites parfaitement sphériques qu'il comptait sur ​​épicycles). Cette «sauver les phénomènes» était considérée comme la preuve que l'astronomie et les mathématiques ne pouvaient pas être considérées comme un moyen sérieux pour déterminer les causes physiques. En tenant ce point de vue, Tolosani a invoqué dans sa critique finale de Copernic, en disant sa plus grande erreur était qu'il a commencé avec des champs «inférieurs» de la science de faire des déclarations sur les champs «supérieurs». Copernic avait utilisé les mathématiques et l'astronomie à postuler à propos de la physique et la cosmologie, plutôt que de commencer avec les principes reconnus de la physique et la cosmologie de déterminer les choses sur l'astronomie et les mathématiques. De cette façon Copernic semblait miner l'ensemble du système de la philosophie des sciences à l'époque. Tolosani jugé que Copernic venait de tomber dans l'erreur philosophique parce qu'il n'a pas été versé dans la physique et logique - que ce soit sans une telle connaissance rendrait un mauvais astronome et être incapable de distinguer la vérité du mensonge. Parce que il n'y avait pas répondre aux critères de la vérité scientifique établi par Thomas d'Aquin, Tolosani jugé que Copernic ne pouvait être considérée comme une théorie non prouvée sauvage.

Il a été longuement débattu pourquoi il a fallu attendre six décennies après la publication de De revolutionibus que l'Eglise catholique a eu aucune action officielle contre elle, même les efforts de Tolosani avaient été ignorées. Raisons proposées ont inclus la personnalité de Galileo Galilei et de la disponibilité des éléments de preuve tels que télescope observations.

Comment enlacé la théorie pré-copernicienne était dans les cercles théologiques peut être vu dans un échantillon des œuvres de Jean Calvin . Dans son commentaire sur la Genèse , il a déclaré que «Nous sommes en effet pas ignorer que le circuit des cieux est finie, et que la terre, comme un petit globe, est placé dans le centre." Commentant Job 26: 7 Calvin a écrit "Il est vrai que Job dit expressément« le nord », et pourtant il parle de l'ensemble du ciel et qui est parce que le ciel tourne autour sur le poteau qui est là pour, tout comme.. dans les roues d'un char, il ya un axe qui traverse le milieu d'eux, et les roues tourner autour de l'axe en raison des trous qui sont au milieu d'eux, même si elle est dans les cieux. Ceci est manifestement vu ; à-dire, ceux qui connaissent bien le cours du firmament voir que le ciel si tours ". Les commentaires de Calvin sur les Psaumes montrent également une dépendance à l'égard de la théorie pré-copernicienne; pour Psaumes 93: 1. «Les cieux tournent tous les jours, et, immense comme leur tissu et inconcevable la rapidité de leurs révolutions, nous faisons l'expérience aucune commotion - pas de perturbation dans l'harmonie de leur mouvement, le soleil, quoique variable son cours chaque révolution diurne , revient chaque année au même point. Les planètes, dans toutes leurs pérégrinations, maintiennent leurs positions respectives. Comment la terre pouvait rester suspendu dans l'air ont été il pas confirmée par la main de Dieu? Par quels moyens pourrait-il se maintenir impassible, tandis que les cieux ci-dessus sont en mouvement constant rapide, n'a pas sa Divine correctif Maker et l'établir. " Commentant sur ​​les Psaumes 19: 4 Calvin dit "le firmament, par sa propre révolution entraîne avec elle toutes les étoiles fixes". Il n'y a aucune preuve que Calvin était au courant de Copernic, et affirme qu'après citant le Psaume 93: 1, il a poursuivi en disant: «Qui osera placer l'autorité de Copernic au-dessus du Saint-Esprit", ont été discrédités et montré provenir avec Frédéric William Farrar Bampton la Conférence en 1885. Contrairement à Calvin nombreux théologiens ne prendre conscience de la théorie de Copernic, qui est devenu de plus en plus controversée.

Le point de conflit entre la théorie de Copernic et de la Bible la plus nette concerne l'histoire de la bataille de Gabaon, dans le Livre de Josué où les forces hébreu gagnaient mais dont les opposants étaient susceptibles d'échapper une fois la nuit tombée. Ceci est évité par les prières de Josué causant le soleil et la lune se tenir toujours. Martin Luther une fois fait une remarque à propos de Copernic, sans toutefois mentionner son nom. Selon Anthony Lauterbach, tout en mangeant avec Martin Luther le sujet de Copernic a surgi pendant le dîner le 4 Juin 1539 (la même année comme professeur George Joachim Rheticus de l'Université locale avait été autorisée à lui rendre visite). Luther est dit avoir remarqué "Donc, il va maintenant. Celui qui veut être intelligent doit d'accord avec rien d'autres soi. Il doit faire quelque chose de sa propre. Ceci est ce que cet homme fait qui souhaite tourner l'ensemble de l'astronomie à l'envers. Même dans ces choses qui sont jetés dans le désordre, je crois que les Saintes Ecritures, pour Joshua commandé le soleil se tenir toujours et non la terre ". Ces remarques ont été faites quatre ans avant la publication de Sur les révolutions des sphères célestes et un an avant de Rheticus Narratio Prima . En Le compte de John Aurifaber de la conversation Luther appelle Copernic "ce fou" plutôt que "cet homme", cette version est considérée par les historiens comme moins fiable source.

Collaborateur de Luther Philipp Melanchthon a également contesté Copernic. Après avoir reçu les premières pages de Narratio Prima à partir Rheticus lui-même, Melanchthon a écrit à Mithobius (médecin et mathématicien Burkard Mithob de Feldkirch) le 16 Octobre, 1541 condamnant la théorie et demandant à être réprimée par la force gouvernementale, écrit "certaines personnes croient qu'il est une merveilleuse réalisation pour exalter si fou une chose, comme ça astronome polonais qui fait le mouvement de la terre et le soleil se dressent encore. Vraiment, les gouvernements sages devaient réprimer impudence d'esprit ". Il était apparu que Rheticus Melanchthon serait comprendre la théorie et serait ouvert à elle. Ce fut parce Melanchthon avait enseigné l'astronomie ptolémaïque et avait même recommandé son ami Rheticus à un rendez-vous à l'Doyen de la Faculté des Arts et des Sciences de l'Université de Wittenberg après son retour de l'étude avec Copernic.

Peut-être l'adversaire le plus fort à la théorie copernicienne était Francesco Ingoli, un prêtre catholique. Ingoli écrit un essai Janvier 1616 condamnant Copernicanism comme «philosophiquement et théologiquement insoutenable hérétique." Bien que "on ne sait pas, il est probable qu'il a été commandé par l'Inquisition pour écrire une opinion d'expert sur ​​la controverse", (après la Congrégation du décret de l'indice contre Copernicanism le 5 Mars 1616 Ingoli a été officiellement nommé son consultant). Deux des questions théologiques de Ingoli avec la théorie de Copernic étaient "croyances catholiques ordinaires ne sont pas directement traçables à l'Écriture: la doctrine que l'enfer est situé au centre de la Terre et est la plus éloignée du ciel; et l'affirmation explicite que la Terre est immobile dans un hymne chanté le mardi dans le cadre de la Liturgie des Heures de prières office divin régulièrement cités par des prêtres ". Ingoli a également cité la Genèse 1:14 où YHWH lieux "luminaires dans l'étendue du ciel, pour séparer le jour d'avec la nuit." Comme les commentateurs précédents Ingoli souligné les passages sur la bataille de Gabaon et rejeté les arguments qu'ils devraient être prises métaphoriquement, en disant "réponses qui affirment que l'Écriture parle en fonction de notre mode de compréhension ne sont pas satisfaisants: à la fois parce que pour expliquer les Saintes Écritures la règle est toujours de préserver le sens littéral, quand il est possible, comme il est dans ce cas, et aussi parce que tous les [l'Église] Pères prennent à l'unanimité ce passage signifie que le soleil qui était vraiment émouvante arrêté à la demande de Joshua Une interprétation qui. est contraire à l'accord unanime des Pères est condamné par le Concile de Trente, Session IV, dans le décret sur ​​l'édition et de l'utilisation des livres sacrés. En outre, bien que le Conseil parle de questions de foi et de morale, néanmoins il ne peut pas être nié que les Pères de l'Église seraient mécontents avec une interprétation des Saintes Ecritures qui est contraire à leur commun accord ".

En Mars 1616, dans le cadre de l' affaire Galilée, de l'Église catholique romaine Congrégation de l'Index a publié un décret suspendant De revolutionibus jusqu'à ce qu'il puisse être "corrigée", au motif que le soi-disant doctrine pythagoricienne que la Terre se déplace et le Sun n'a pas était «faux et tout à fait opposé à l'Ecriture Sainte ». Le même décret interdit aussi tout travail qui a défendu la mobilité de la Terre ou l'immobilité du Soleil, ou qui a tenté de concilier ces affirmations avec l'Écriture .

Sur les ordres du Pape Paul V, le cardinal Robert Bellarmin a donné Galileo préavis que le décret était sur ​​le point d'être publié, et l'a averti qu'il ne pouvait pas "détenir ou défendre" la doctrine copernicienne. Les corrections à De revolutionibus , qui a omis ou modifiés neuf condamnations, ont été émis quatre ans plus tard, en 1620.

En 1633,Galiléea été condamné pour de graves soupçons del'hérésie pour "suit la position de Copernic, qui est contraire au vrai sens du terme et l'autorité del'Écriture sainte", et a été placé sousrésidence surveillée pour le reste de sa vie.

A l'exemple de Roger Boscovich, 1758 de l'Eglise catholique Index des livres interdits omis l'interdiction générale des travaux défendant l'héliocentrisme, mais a conservé les interdictions spécifiques des versions non censurées originaux de De revolutionibus de GALILEO et le Dialogue sur les deux grands systèmes du monde . Ces interdictions ont finalement chuté de 1835 Index .

Nationalité

Buste par Schadow, 1807,temple Walhalla

Il a été question de la nationalité de Copernic et de savoir si, en fait, il est significatif pour lui attribuer une nationalité dans le sens moderne du terme.

Historien Michael Burleigh décrit le débat sur ​​la nationalité comme une «bataille totalement insignifiante» entre chercheurs allemands et polonais pendant la entre-deux guerres.

PolonaisastronomeKonrad Rudnicki appelle la discussion d'un «querelle savante féroce dans ... temps de nationalisme» et décrit Copernic comme un habitant d'un territoire germanophone qui appartenait à la Pologne, lui-même étant d'extraction mixte germano-polonaise.

Selon Czesław Miłosz, le débat est une projection «absurde» d'une compréhension moderne de la nationalité surla Renaissance, les gens qui se sont identifiées avec leurs territoires d'origine plutôt que d'une nation.

De même historienNorman Davies écrit que Copernic, comme il était courant à son époque, était "largement indifférents" à la nationalité, étant un patriote local qui se considérait comme «Prussien ».

Miłosz et Davies à la fois écrire que Copernic avait un en langue allemande contexte culturel, tandis que sa langue de travail était latine , conformément à l'usage du temps. En outre, selon Davies, "il est amplement prouvé qu'il savait la langue polonaise". Davies conclut: «Tout bien considéré, il ya de bonnes raisons de le considérer à la fois comme un Allemand et comme un Polonais:. Et pourtant, dans le sens que les nationalistes modernes comprendre, il était ni"

Le Stanford Encyclopedia of Philosophydécrit Copernic comme un «enfant d'unefamille allemande [qui] était un sujet de la couronne polonaise ", tandis que d'autres notent que son père était un Polonais germanisée. Encyclopædia Britannica, l'Encyclopédie Americana,L' Encyclopédie BritanniqueetThe Oxford mondiale Encyclopédieidentifier Copernic comme un «astronome polonais".

Copernicium

Le 14 Juillet 2009, les découvreurs, de la Gesellschaft für Schwerionenforschung à Darmstadt, en Allemagne, d' élément chimique 112 (nommée temporairement de ununbium ) proposé à l' Union internationale de chimie pure et appliquée que son nom définitif soient « copernicium "(symbole Cn). "Après que nous avions appelé éléments après notre ville et de notre état, nous voulions faire une déclaration avec un nom qui a été connue de tous", a déclaré Hofmann. "Nous ne voulions pas de choisir quelqu'un qui était un Allemand. Nous étions à la recherche dans le monde entier." Sur le 537e anniversaire de sa naissance la nomination officielle a été libéré au public.

Vénération

Copernic est honoré, avecJohannes Kepler, dans lecalendrier liturgique de l'Eglise épiscopale (USA), avec unjour de fête le 23 mai.

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