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Religion

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La religion est un ensemble organisé de systèmes de croyance, systèmes culturels, et visions du monde qui se rapportent à l'humanité spiritualité et, parfois, pour valeurs morales. Beaucoup de religions ont récits , les symboles, traditions et histoires sacrées qui sont destinées à donner ce qui signifie pour la vie ou pour expliquer la origine de la vie ou de la Univers. De leurs idées sur le cosmos et la nature humaine, ils ont tendance à dériver la morale, l'éthique , lois religieuses ou un préféré mode de vie. Selon certaines estimations, il ya environ 4200 religions dans le monde.

Beaucoup de religions peuvent ont organisé comportements, clergé, une définition de ce qui constitue l'adhésion ou d'affiliation, lieux saints, et Écritures. La pratique d'une religion peut également inclure rituels, sermons, commémoration ou la vénération d'une divinité , dieux ou déesses, sacrifices, festivals, fêtes, transe, initiations, services funéraires, les services matrimoniaux, la méditation, la prière, la musique , l'art , la danse , service public ou d'autres aspects de la culture humaine. Les religions peuvent aussi contenir la mythologie .

Le mot religion est parfois utilisé de façon interchangeable avec foi ou système de croyance; Cependant, dans les mots de Émile Durkheim, la religion diffère de la croyance privée en ce qu'il est "quelque chose éminemment sociale». Un sondage mondial 2012 indique que 59% de la population du monde est religieux, 23% sont pas religieux, et 13% sont athées .

Étymologie

Religion (de O.Fr. religion «communauté religieuse», de L. religionem (nom. Religio) «respect de ce qui est sacré, la vénération pour les dieux", "obligation, le lien entre l'homme et les dieux") est dérivé de l' latine Religio, les origines ultimes dont sont obscures. Une possibilité est la dérivation d'une * le-ligare redoublée, une interprétation attribuée à Cicero lego connexion "lire", c.-à-re (nouveau) + lego dans le sens de «choisir», «aller encore" ou "examiner attentivement". Les savants modernes tels que Tom Harpur et Joseph Campbell favoriser la dérivation de ligare "bind, connectez", probablement d'une re-ligare préfixé, soit re (nouveau) + ligare ou «se reconnecter," qui a été mise en évidence par Saint- Augustin , à la suite de l'interprétation Lactance. Les suppléants d'utilisation médiévales avec l'ordre dans la désignation des communautés liées comme celles de ordres monastiques: «Nous entendons parler de la« religion »de la Toison d'Or, d'un chevalier »de la religion de Avys ».

Selon le philologue Max Müller, la racine du mot anglais «religion», le latin religio, était à l'origine utilisé pour signifier que "la vénération pour Dieu ou les dieux, contemplation attentive des choses divines, piété »(qui Cicero outre dérivé pour signifier «diligence»). Max Müller caractérisée beaucoup d'autres cultures à travers le monde, y compris l'Egypte, la Perse et l'Inde, comme ayant une structure de pouvoir semblable à ce point dans l'histoire. Ce qu'on appelle la religion ancienne aujourd'hui, ils ne ont appelé «loi».

Beaucoup de langues ont des mots qui peuvent être traduits comme "religion", mais ils peuvent les utiliser d'une manière très différente, et certains ne ont pas de mot pour la religion du tout. Par exemple, le sanscrit mot dharma, parfois traduit par «religion», ce est aussi la loi. Tout au long de classique Asie du Sud, étude du droit composée de concepts tels que pénitence, à travers la piété et cérémonie ainsi que les traditions pratiques. Japon médiéval avait d'abord une union similaire entre "loi impériale» et «Loi de Bouddha" universelle ou, mais ce est devenu plus tard sources indépendantes du pouvoir.

Il n'y a pas d'équivalent précis de «religion» en hébreu et le judaïsme ne distingue pas clairement entre les identités religieuses, nationales, raciales ou ethniques. L'un de ses concepts centraux est " halakha ", parfois traduit par« loi »", qui guide la pratique religieuse et de croyance et de nombreux aspects de la vie quotidienne.

L'utilisation d'autres termes, comme l'obéissance à Dieu ou à l'islam sont également mis à la terre dans les histoires et les vocabulaires particuliers.

Définitions

Il existe de nombreuses définitions de la religion et seulement quelques-uns sont indiqués ici. La définition du dictionnaire typique de la religion se réfère à une «croyance, ou le culte de, un dieu ou des dieux» ou le «service et le culte de Dieu ou le surnaturel". Cependant, des écrivains et des savants ont élargi sur le «croyance en dieu" définitions que insuffisantes pour saisir la diversité de la pensée religieuse et l'expérience.

Edward Tylor définit la religion comme «la croyance en des êtres spirituels". Il a soutenu, en 1871, que la réduction de la définition de la croyance dans une divinité suprême ou un jugement après la mort ou idolâtrie et ainsi de suite, exclurait de nombreux peuples de la catégorie des religieux, et donc «a le défaut d'identification de religion plutôt que des développements particuliers avec le motif profond qui les sous-tend". Il a également soutenu que la croyance en des êtres spirituels existe dans toutes les sociétés connues.

L'anthropologue Clifford Geertz défini la religion comme un «système de symboles qui sert à établir puissante, omniprésente, et de longue durée humeurs et les motivations chez les hommes en formulant des conceptions d'ordre général d'existence et de l'habillement ces conceptions avec une telle aura de factualité que les humeurs et motivations semblent uniquement réaliste. Faisant allusion peut-être «Motif plus profond» de Tylor, Geertz remarqué que «nous avons très peu d'idée de comment, en termes empiriques, ce miracle spécifique est accomplie Nous savons juste que ce est fait, chaque année, hebdomadaire, quotidienne, pour certaines personnes presque toutes les heures;. Et nous avoir une littérature ethnographique énorme pour le démontrer ". Le théologien Antoine Vergote a également souligné la "réalité culturelle» de la religion, qu'il définit comme «l'ensemble des expressions linguistiques, les émotions et, actions et les symboles qui se réfèrent à un être surnaturel ou êtres surnaturels"; il a pris le terme «surnaturel» signifie tout simplement transcende les forces de la nature ou de l'organisme humain.

Le sociologue Durkheim, dans son livre séminal Les Formes élémentaires de la vie religieuse, la religion définis comme un «système solidaire de croyances et de pratiques relatives à des choses sacrées". Par choses sacrées qu'il voulait dire les choses «mis à part et interdits - les croyances et pratiques qui unissent en une même communauté morale, appelé église, tous ceux qui adhèrent à eux." Les choses sacrées ne sont pas, cependant, limités à des dieux ou esprits. Au contraire, une chose sacrée peut être "un rocher, un arbre, un ressort, un caillou, un morceau de bois, une maison, en un mot, tout ce qui peut être sacrée". Les croyances religieuses, les mythes, les dogmes et les légendes sont les représentations qui expriment la nature de ces choses sacrées, et les vertus et les pouvoirs qui leur sont attribués.

Dans son livre Les variétés de l'expérience religieuse, le psychologue William James définit la religion comme "les sentiments, les actes et les expériences des hommes individuels dans leur solitude, pour autant qu'ils se appréhendent de se tenir par rapport à ce qu'ils peuvent envisager le divin". Par le terme "divine" James signifiait «tout objet qui est Dieu, qu'il se agisse d'une divinité concrète ou non" à laquelle l'individu se sent poussé à répondre avec solennité et gravité.

Echoes of James 'et les définitions de Durkheim se trouvent dans les écrits de, par exemple, Frédéric Ferré qui a défini la religion comme "sa façon de valoriser la plus complète et intensive". De même, pour le théologien Paul Tillich, la foi est «l'état d'être finalement concerné", qui "est lui-même la religion. La religion est la substance, le sol, et la profondeur de la vie spirituelle de l'homme."

Quand la religion est considérée en termes de «sacré», «divin», intensive "valorisation", ou "préoccupation ultime", il est alors possible de comprendre pourquoi les résultats scientifiques et critiques philosophiques (par exemple, Richard Dawkins) ne perturbe pas nécessairement ses adhérents.

Origines et développement

Le Sanctuaire Yazılıkaya avec les douze dieux de la pègre

L'origine de la religion est incertaine, mais il a été suggéré qu'il a évolué pour l'éducation des enfants. Il ya un certain nombre de théories sur les origines ultérieures de pratiques religieuses organisées. Selon les anthropologues John Monaghan et Peter seulement, "Beaucoup de grand monde religions semblent avoir commencé comme des mouvements de revitalisation de quelque sorte, que la vision d'un prophète charismatique déclenche l'imagination de personnes cherchant une réponse plus complète à leurs problèmes qu'elles ne se sentent est fourni par les croyances de tous les jours des individus charismatiques ont émergé à plusieurs reprises et endroits dans le monde, il semble que la clé du succès à long terme -.. et de nombreux mouvements vont et viennent avec peu d'effet à long terme - a relativement peu à voir avec le prophètes, qui apparaissent avec une régularité surprenante, mais plus à voir avec le développement d'un groupe de supporters qui sont capables d'institutionnaliser le mouvement ".

Le développement de la religion a pris différentes formes dans les différentes cultures. Certaines religions mettent l'accent sur la croyance, tandis que d'autres mettent l'accent sur la pratique. Certaines religions mettent l'accent sur l'expérience subjective de l'individu religieux, tandis que d'autres considèrent que les activités de la communauté religieuse pour être le plus important. Certaines religions prétendent être universel, croyant leurs lois et la cosmologie à caractère obligatoire pour tout le monde, tandis que d'autres sont destinés à être pratiqué que par un groupe étroitement défini ou localisée. Dans de nombreux endroits la religion a été associé avec les institutions publiques telles que l'éducation , hôpitaux, la famille , le gouvernement , et politiques hiérarchies. Les anthropologues John Monoghan et l'état Peter juste que, "il semble évident que une chose religion ou de conviction nous aide à faire affaires avec des problèmes de la vie humaine qui sont significatives, persistante, et intolérable. Une manière importante dont les croyances religieuses arriver est en fournissant un ensemble d'idées sur comment et pourquoi le monde est mis en place qui permet aux personnes permettant d'accueillir les angoisses et traitent de malheur ».

Une théorie académique moderne de la religion, constructivisme social, dit que la religion est un concept moderne qui suggère tout pratique spirituelle et culte suit un modèle similaire à la Religions abrahamiques comme un système d'orientation qui aide à interpréter la réalité et de définir les êtres humains, et donc la religion, en tant que concept, a été appliqué de façon inappropriée aux cultures non occidentales qui ne sont pas fondées sur de tels systèmes, ou dans lesquels ces systèmes sont une construction beaucoup plus simple.

Types de religion

Grandes confessions et religions du monde

Catégories

Certains chercheurs classent religions que soit religions universelles qui cherchent l'acceptation dans le monde entier et de rechercher activement des nouveaux convertis, ou religions ethniques qui sont identifiés par un groupe ethnique particulier et ne cherchent pas convertis. D'autres rejettent la distinction, soulignant que toutes les pratiques religieuses, quelle que soit leur origine philosophique, sont ethnique parce qu'ils proviennent d'une culture particulière.

Dans les 19e et 20e siècles, la pratique académique de la religion comparative divisé croyance religieuse en catégories philosophiquement définies appelées "religions du monde." Toutefois, certaines études récentes a fait valoir que tous les types de la religion ne sont pas nécessairement séparés par des philosophies qui se excluent mutuellement, et en outre que l'utilité d'attribuer une pratique à une certaine philosophie, ou même appeler une pratique donnée religieuse, plutôt que culturelle, politique, ou sociale dans la nature, est limitée. L'état actuel de l'étude psychologique sur la nature de la religiosité suggère qu'il est préférable de se référer à la religion comme un phénomène largement invariant qui doit être distinguée de normes culturelles (par exemple "des religions»).

Certains universitaires étudier le sujet ont divisé religions en trois grandes catégories:

  1. religions du monde, un terme qui se réfère à transculturelle, confessions internationales;
  2. religions indigènes, qui se réfère aux petits, des groupes religieux spécifiques nation ou spécifiques à la culture; et
  3. nouveaux mouvements religieux, qui se réfère aux confessions récemment développées.

La coopération interconfessionnelle

Parce que la religion continue d'être reconnu dans la pensée occidentale comme une impulsion universelle, de nombreux pratiquants religieux ont cherché à se regrouper dans le dialogue interreligieux, la coopération et consolidation de la paix religieuse. Le premier dialogue important a été la Parlement des religions à la 1893 Exposition universelle de Chicago, qui reste notable, même aujourd'hui à la fois dans l'affirmation de «valeurs universelles» et la reconnaissance de la diversité des pratiques entre les différentes cultures. Le 20e siècle a été particulièrement fructueuse dans l'utilisation du dialogue interreligieux comme moyen de résoudre ethnique, conflits politiques, ou même religieux, avec La réconciliation judéo-chrétienne qui représente un revers complet dans les attitudes de nombreuses communautés chrétiennes envers les Juifs.

Initiatives interreligieuses récentes comprennent "Une parole commune", lancé en 2007 et a porté sur la mise leaders musulmans et chrétiens ensemble, le «Dialogue C1 mondiale", l'initiative «Common Ground» entre l'islam et le bouddhisme, et un Nations Unies parrainé "World Harmony Interfaith Semaine ".

Les groupes religieux

La liste des mouvements religieux encore actifs donnés ici est une tentative de résumer les plus importantes influences régionales et philosophiques sur les communautés locales, mais il ne est nullement une description complète de chaque communauté religieuse, ni ne explique les éléments les plus importants de la personne religiosité.

Les cinq plus grands groupes religieux par la population mondiale, estimée pour tenir compte de 5 milliards de personnes, sont le christianisme, l'islam, le bouddhisme, l'hindouisme (avec les nombres relatifs de bouddhisme et l'hindouisme qui dépendent de l'étendue de syncrétisme) et la religion populaire chinoise.

Cinq plus grandes religions Les adhérents en 2000 % De la population mondiale Démographie
Christianisme 2,0 milliards 33% Christianisme par pays
Islam 1200000000 19,6% Islam par pays
Hindouisme 811000000 13,4% L'hindouisme par pays
Religion traditionnelle chinoise 385000000 6,4% Religion traditionnelle chinoise
Bouddhisme 360000000 5,9% Bouddhisme dans le monde

Abrahamique

Le patriarche Abraham (par József Molnár)

Religions abrahamiques sont religions monothéistes qui croient qu'ils descendent de Abraham.

  • Le judaïsme est la plus ancienne religion abrahamique, originaire des gens de l'ancien Israël et de Judée. Le judaïsme se fonde principalement sur la Torah , un texte qui certains Juifs croient a été rendu au peuple d'Israël par le prophète Moïse. Ceci avec le reste de la Bible hébraïque et de la Talmud sont les textes centrales du judaïsme. Les Juifs ont été dispersés après la destruction de la Temple à Jérusalem en 70 de notre ère. Aujourd'hui, il ya environ 13 millions de Juifs, environ 40 pour cent vivent en Israël et 40 pour cent aux États-Unis.
  • Le christianisme est basé sur la vie et les enseignements de Jésus de Nazareth (1er siècle) tel que présenté dans le Nouveau Testament . La foi chrétienne est essentiellement la foi en Jésus comme le Christ, Fils de Dieu, et comme Sauveur et Seigneur. Presque tous les chrétiens croient en la Trinité , qui enseigne l'unité de Père, Fils (Jésus-Christ), et Saint-Esprit comme trois personnes une divinité. La plupart des chrétiens peut décrire leur foi avec le Credo de Nicée. Comme la religion de l'Empire byzantin au premier millénaire et Europe de l'Ouest à l'époque de la colonisation, le christianisme a été propagée dans le monde entier. Les principales divisions du christianisme sont, selon le nombre d'adhérents:
    • Église catholique , dirigé par le pape dans Rome , est un la communion de la Église occidentale et 22 Églises catholiques orientales.
    • Protestantisme, séparés de l'Église catholique dans le 16ème siècle Réforme et divisée en de nombreuses confessions,
    • Christianisme oriental, qui comprennent l'orthodoxie orientale , Orthodoxie orientale et de la Eglise d'Orient.
Il ya d'autres groupes plus petits, tels que Les Témoins de Jéhovah et la Dernier mouvement Jour Saint, dont l'inclusion dans le christianisme est parfois contesté.
Musulmans circumambulation du Kaaba, le site le plus sacré dans l'Islam
  • L'islam est basé sur le Coran , l'un des livres saints considérés par les musulmans comme révélée par Dieu, et sur la enseignements de la Prophète islamique Muhammad , une figure politique et religieuse majeure du 7ème siècle de notre ère. L'islam est la religion la plus largement pratiquée de Asie du Sud, l'Afrique du Nord , Asie occidentale et Asie centrale, tandis que les pays à majorité musulmane existent également dans certaines parties de Asie du Sud, l'Afrique sub-saharienne et Europe du Sud. Les deux plus grandes sectes sont Sunnites et Shia, bien qu'il y ait autres groupes mineurs ainsi. Wahhabite est le musulman dominante écoles de pensée dans le Royaume d'Arabie saoudite . Il ya aussi plusieurs républiques islamiques , y compris l'Iran , le Pakistan , la Mauritanie et l'Afghanistan .
  • Le Foi bahá'íe est une religion abrahamique fondée au 19ème siècle et depuis lors, l'Iran se est propagé dans le monde entier. Il enseigne l'unité de toutes les philosophies religieuses et accepte tous les prophètes du judaïsme, le christianisme et l'islam ainsi que prophètes supplémentaires, y compris son fondateur Baha'u'llah.
  • Groupes abrahamiques régionaux plus petits, y compris Samaritanisme (principalement en Israël et en Cisjordanie), le Mouvement Rastafari (principalement en Jamaïque), et Druze (principalement en Syrie et au Liban).

Indien

Statue hindoue de Rama Temple Kalaram ( Inde )

Religions indiennes sont pratiquées ou ont été fondées dans le Sous-continent indien. Ils sont parfois classés comme les religions dharmiques, car ils ont tous fonctionnalité dharma, un concept de devoir divin.

  • L'hindouisme est une synecdoque décrivant les philosophies similaires Vaishnavism, Shaivism, et groupes connexes pratiquées ou fondée dans le Sous-continent indien. Concepts plupart d'entre eux part en commun comprennent karma, caste, réincarnation, mantras, yantras, et Darsana. L'hindouisme est la plus ancienne des religions encore actifs, avec des origines peut-être aussi loin que l'époque préhistorique. Hindouisme ne est pas une religion monolithique, mais une catégorie religieuse contenant des dizaines de philosophies distinctes fusionnées comme Sanatane Dharma , qui est le nom avec lequel l'hindouisme a été connu à travers l'histoire par ses disciples.
  • Jaïnisme, enseigné principalement par Parsva (9e siècle avant notre ère) et Mahavira (6e siècle avant notre ère), est une ancienne religion indienne qui prescrit un chemin de la non-violence pour toutes les formes d'êtres vivants dans ce monde. Jaïns se trouvent principalement en Inde.
  • Le bouddhisme a été fondé par Gautama Siddharta dans le 6e siècle avant notre ère. Bouddhistes conviennent généralement que Gautama destiné à aider êtres terminent leur la souffrance (dukkha) par la compréhension du vraie nature des phénomènes, échappant ainsi le cycle de la souffrance et de la renaissance ( saṃsāra), ce est la réalisation Nirvana.
    • Le bouddhisme Theravada, qui est pratiquée principalement dans Sri Lanka et en Asie du Sud-Est aux côtés de la religion populaire, partage certaines caractéristiques des religions indiennes. Il est basé dans une grande collection de textes appelé le Canon Pali .
    • Bouddhisme Mahayana (ou «Grand Véhicule") en vertu de laquelle existe une multitude de doctrines qui a commencé leur développement en Chine et sont toujours d'actualité au Vietnam, Corée, Japon et dans une moindre mesure, en Europe et aux États-Unis. Bouddhisme Mahayana comprend des enseignements aussi disparates que Zen, Terre Pure, et Soka Gakkai.
    • Le bouddhisme Vajrayana est apparu en Inde au 3ème siècle de notre ère. Il est actuellement le plus important dans les régions de l'Himalaya et se étend sur l'ensemble de l'Asie (cf. Mikkyo).
    • Deux nouvelles sectes bouddhistes sont notables Hoa Hao et de la Mouvement bouddhiste dalit, qui ont été développés séparément dans le 20e siècle.
  • Sikhisme est une religion monothéiste fondée sur les enseignements de Guru Nanak et dix successive Gourous sikhs au 15ème siècle Punjab. Sikhs se trouvent principalement en Inde.

Iranien

Zoroastrien Temple du Feu

Religions iraniennes sont anciennes religions dont les racines antérieures à la Islamisation de Monde iranien. Aujourd'hui, ces religions sont pratiquées que par des minorités.

  • Zoroastrisme est une religion et philosophie basée sur les enseignements du prophète Zoroastre dans le 6ème siècle avant JC. Les zoroastriens adorent le Créateur Ahura Mazda. Dans le zoroastrisme bien et le mal ont des sources distinctes, avec le mal en essayant de détruire la création de Mazda, et une bonne essayant de le soutenir.
  • Est un Mandéisme religion monothéiste avec une forte vision du monde dualiste. Mandéens sont parfois étiqueté comme le «dernier Gnostiques ".
  • Religions kurdes comprennent les croyances traditionnelles de la Yazidi, Alevi, et Ahl-e Haqq. Parfois, ils sont étiquetés Yazdanisme.

Folklorique

Brûleur d'encens en Chine

Le terme populaire se réfère à une large catégorie de religions traditionnelles qui comprend chamanisme et des éléments de animisme et le culte des ancêtres, où les moyens traditionnels «indigène, ce qui est autochtone ou fondamentale, transmis de génération en génération ...". Ce sont les religions qui sont étroitement associés à un groupe particulier de personnes, l'ethnie ou de la tribu; ils ne ont souvent pas les croyances formelles ou des textes sacrés. Certaines religions sont syncrétique, fusionnant diverses croyances et pratiques religieuses.

  • Les religions traditionnelles africaines, par exemple: Khoisan, Akan, Nupe et Badimo.
  • Religion traditionnelle chinoise, par exemple: le confucianisme et le taoïsme avec quelques restes du bouddhisme mahayana. Nouveaux mouvements religieux comprennent Falun Gong et I-Kuan Tao.
  • Autres religions folkloriques de la région Asie-Pacifique, par exemple: Cheondoïsme, Chamanisme coréen, Shinbutsu shūgō et Modekngei.
  • La mythologie aborigène australien.
  • Religions des Amériques, par exemple Folk: La religion amérindienne, Santería, Vodou, Candomblé et Umbanda.

religions populaires sont souvent omises comme une catégorie dans les enquêtes, même dans les pays où ils sont largement pratiquées, par exemple en Chine.

Nouveau

Un De style moderne Unitarian Universalist sanctuaire

Nouveaux mouvements religieux comprennent:

  • Shinshūkyō est une catégorie générale pour une grande variété de mouvements religieux fondé au Japon depuis le 19ème siècle. Ces mouvements parts presque rien en commun, sauf le lieu de leur fondation. Les plus grands mouvements religieux centrés au Japon comprennent Soka Gakkai, Tenrikyo, et Seicho-No-Ie parmi des centaines de petits groupes.
  • Caodaïsme est une religion monothéiste syncrétiste, créé en Vietnam en 1926.
  • Raëlisme est un nouveau mouvement religieux fondé en 1974 l'enseignement que les humains ont été créés par des extraterrestres. Il est numériquement le plus grand du monde La religion OVNI.
  • Hindoues mouvements de réforme, tels que Ayyavazhi, Foi et Swaminarayan Ananda Marga, sont des exemples de nouveaux mouvements religieux dans les religions indiennes.
  • Universalisme Unitaire est une religion caractérisée par le soutien pour une «recherche libre et responsable de la vérité et de sens", et n'a pas accepté de croyance ou de la théologie.
  • Nohaisme est une idéologie biblico-talmudique et monothéiste pour les non-Juifs basés sur les sept lois de Noé, et sur leurs interprétations traditionnelles au sein du judaïsme.
  • Scientologie enseigne que les gens sont des êtres immortels qui ont oublié leur vraie nature. Sa méthode de réhabilitation spirituelle est un type de consultation connu sous le nom audit, dans lequel les praticiens visent à consciemment des événements re-expérience douloureux ou traumatisants dans leur passé afin de se libérer de leurs effets invalidants.
  • Eckankar est une religion panthéiste dans le but de faire de Dieu une réalité quotidienne dans sa vie.
  • Wicca est une religion néo-païenne abord popularisé en 1954 par fonctionnaire britannique Gerald Gardner, impliquant l'adoration d'un Dieu et la Déesse.
  • Druidisme est une religion promouvoir l'harmonie avec la nature, et en se appuyant sur les pratiques des druides.
  • Le satanisme est une vaste catégorie de religions qui, par exemple, adorent Satan comme une divinité ( Satanisme théiste) ou utilisez "Satan" comme un symbole de charnel et terrestre des valeurs ( Satanisme LaVeyen).

Classifications sociologiques de mouvements religieux suggèrent que, dans un groupe religieux donné, une communauté peut ressembler à différents types de structures, y compris les «églises», «confessions», «sectes», «sectes» et «institutions».

Les enjeux de la religion

Économie

Le revenu national des pays en corrélation négative avec leur religiosité.

Se il ya eu beaucoup de débats sur la religion sur l'économie du pays, en général, il existe une corrélation négative entre la religiosité et la richesse des nations. En d'autres termes, le plus riche est une nation, moins religieux, il a tendance à être. Cependant, sociologue et économiste politique Max Weber a fait valoir que les pays protestants sont plus riches en raison de leur Éthique protestante du travail.

Santé

Mayo Clinic chercheurs ont examiné l'association entre la participation religieuse et la spiritualité, et la santé physique, la santé mentale, la qualité de vie liée à la santé, et d'autres effets sur la santé. Les auteurs ont rapporté que: «La plupart des études ont montré que l'engagement religieux et la spiritualité sont associés à de meilleurs résultats de santé, y compris une plus grande longévité, capacité d'adaptation, et la qualité de vie (même en cas de maladie terminale) liés à la santé et moins d'anxiété, la dépression et le suicide ». Les auteurs d'une étude subséquente a conclu que l'influence de la religion sur la santé est "largement bénéfique", fondées sur un examen des literature.According lié à James W. Jones académique, plusieurs études ont découvert "des corrélations positives entre la croyance religieuse et la pratique et mentale et la santé physique et la longévité ".

Une analyse des données de l'Enquête sociale générale de 1998 des États-Unis, tout en confirmant que globalement l'activité religieuse a été associée à une meilleure santé et le bien-être, a également suggéré que le rôle des différentes dimensions de la spiritualité / la religiosité dans la santé est un peu plus compliqué. Les résultats suggèrent "qu'il ne serait pas approprié de généraliser les résultats sur la relation entre la spiritualité / la religiosité et de la santé d'une forme de spiritualité / la religiosité à l'autre, à travers les confessions, ou d'assumer les effets sont uniformes pour les hommes et les femmes.

Violence

Les croisades étaient une série de campagnes militaires a combattu principalement entre Christian l'Europe et Musulmans. On voit ici une scène de la bataille de Première Croisade . Ils ont été inspirés par le concept de djihad de la civilisation islamique.

Charles Selengut caractérise l'expression «religion et la violence" comme "secousses", affirmant que "la religion est pensé pour se opposer à la violence et une force pour la paix et la réconciliation. Il reconnaît, cependant, que« l'histoire et écritures des religions du monde disent histoires de violence et la guerre comme ils parlent de paix et d'amour ".

Hector Avalos fait valoir que, parce que les religions prétendent faveur divine pour eux-mêmes, envers et contre d'autres groupes, ce sens de la justice mène à la violence parce que les revendications contradictoires à la supériorité, sur la base des appels invérifiables à Dieu, ne peuvent pas être jugées objectivement.

Les détracteurs de la religion Christopher Hitchens et Richard Dawkins aller plus loin et affirment que les religions font un tort immense à la société en utilisant la violence pour promouvoir leurs objectifs, d'une manière qui sont approuvées et exploitées par leurs dirigeants.

Regina Schwartz soutient que toutes les religions monothéistes sont intrinsèquement violente en raison d'un exclusivisme qui favorise inévitablement la violence contre ceux qui sont considérés comme des étrangers. Laurent Wechsler affirme que Schwartz ne est pas seulement en faisant valoir que les religions abrahamiques ont un héritage de violence, mais que l'héritage est en fait dans la nature génocidaire.

Byron Bland affirme que l'une des raisons les plus importantes pour la «montée de la laïcité dans la pensée occidentale" était la réaction contre la violence religieuse des 16e et 17e siècles. Il affirme que "(t) qu'il laïque était une façon de vivre avec les différences religieuses qui ont produit tant d'horreur. Sous la laïcité, les entités politiques ont un mandat pour prendre des décisions indépendantes de la nécessité d'appliquer des versions particulières de l'orthodoxie religieuse. En effet, ils peuvent aller à l'encontre de certaines croyances bien ancrées si elle est faite dans l'intérêt du bien commun. Ainsi, l'un des objectifs importants de la laïcité est de limiter la violence ".

Néanmoins, les croyants ont utilisé des arguments semblables au moment de répondre aux athées dans ces discussions, pointant vers le emprisonnement généralisée et assassiner en masse des individus en vertu États athées au XXe siècle:

Et qui peut nier que Staline et Mao, sans parler de Pol Pot et une foule d'autres, toutes les atrocités commises au nom d'une idéologie communiste qui était explicitement athée? Qui peut contester ce qu'ils ont fait leurs actes sanglants en prétendant être l'établissement d'un «homme nouveau» et une utopie sans religion? Il se agissait de meurtres de masse effectuées avec l'athéisme comme un élément central de leur inspiration idéologique, ils ne étaient pas des meurtres de masse effectuées par les personnes qui se trouvaient simplement d'être athée.
- Dinesh D'Souza

En réponse à une telle argumentation, cependant, auteur Sam Harris écrit:

Le problème avec le fascisme et le communisme, cependant, ne est pas qu'ils sont trop critique de la religion; le problème ce est qu'ils sont trop comme religions. Ces régimes sont dogmatiques au noyau et donnent lieu à des cultes de la personnalité qui sont indissociables de cultes de culte du héros religieux en général. Auschwitz, le goulag et les champs de la mort ne étaient pas des exemples de ce qui se passe quand les êtres humains rejettent le dogme religieux; ils sont des exemples de dogme politique, raciale et nationaliste se déchaîner. Il n'y a pas la société dans l'histoire humaine qui ait jamais souffert parce que ses gens sont devenus trop raisonnable.
- Sam Harris

Richard Dawkins a déclaré que les atrocités de Staline ont été influencés par l'athéisme mais pas dogmatique par le marxisme , et conclut que, bien que Staline et Mao qui est arrivé à être athées, ils ne ont pas fait leurs actes au nom de l'athéisme. En d'autres occasions, Dawkins a répondu à l'argument selon lequel Adolf Hitler et Joseph Staline étaient antireligieuse de la réponse que Hitler et Staline ont également augmenté moustaches, dans un effort pour montrer l'argument aussi fallacieux. Au lieu de cela, Dawkins dans The God Delusion que «ce qui importe ne est pas de savoir si Hitler et Staline étaient athées, mais de savoir si l'athéisme influe systématiquement les gens à faire de mauvaises choses. Il ne est pas la plus petite preuve qu'il fait." Dawkins ajoute que Hitler, en fait, a affirmé à plusieurs reprises une forte croyance dans le christianisme, mais que ses atrocités ne étaient pas plus attribuable à son théisme que Staline ou Mao devait leur athéisme. Dans les trois cas, soutient-il, le niveau de religiosité des auteurs était accessoire. D'Souza répond qu'un individu n'a pas besoin d'invoquer explicitement l'athéisme à commettre des atrocités se il est déjà impliqué dans sa vision du monde, comme ce est le cas dans le marxisme.

Droit

Il ya des lois et des statuts qui font référence à la religion. Cela a conduit érudit Winnifred Sullivan revendications que la liberté religieuse est impossible. D'autres soutiennent que le principe juridique occidentale de séparation de l'Église et de l'État tend à engendrer une nouvelle, plus inclusive religion civile.

Science

La connaissance religieuse, selon les praticiens religieux, peut être acquise par les chefs religieux, textes sacrés, Écritures ou personnelle révélation. Certaines religions considèrent ces connaissances comme une portée illimitée et apte à répondre à toute question; d'autres voient la connaissance religieuse comme jouant un rôle plus restreint, souvent en complément des connaissances acquises par l'observation physique. Adhérents des diverses confessions religieuses soutiennent souvent que la connaissance religieuse obtenu par les textes sacrés ou révélation est absolue et infaillible et crée ainsi un accompagnement cosmologie religieuse, bien que la preuve d'une telle est souvent tautologique et généralement limité aux textes religieux et des révélations qui constituent le fondement de leur croyance.

En revanche, la méthode scientifique gains connaissances en testant des hypothèses à développer théories grâce à l'élucidation des faits ou l'évaluation par expériences et donc ne répond cosmologiques questions sur l' univers qui peut être observée et mesurée. Il développe théories du monde qui FIT meilleure preuve physique observée. Toutes les connaissances scientifiques est soumise au raffinement plus tard, ou même rejet pur et simple, dans le visage de preuves supplémentaires. Les théories scientifiques qui ont un très grande majorité des preuves favorables sont souvent traitées comme factovérités dans le langage courant, comme les théories dela relativité généraleetla sélection naturellepour expliquer respectivement les mécanismes dela gravitéet del'évolution.

En ce qui concerne la religion et la science,Albert Einsteindéclare (1940): "Pour la science ne peut déterminer ce qui est, mais pas ce qui devrait être, et à l'extérieur de ses jugements de valeur de domaine de toutes sortes restent nécessaires Religion, d'autre part, ne traite que de. évaluations de la pensée humaine et de l'action; il ne peut pas juste parler des faits et des relations entre les faits ... Maintenant, même si les domaines de la religion et la science en eux-mêmes sont clairement délimités les uns des autres, néanmoins il existe entre les deux relations et dépendances réciproques fortes. Bien que la religion peut être celle qui détermine les objectifs, il a néanmoins appris de la science, dans le sens le plus large, ce que seront les moyens de contribuer à la réalisation des objectifs qu'il a mis en place. "

Constructionists sociaux

Au cours des dernières années, certains auteurs ont décrit la religion selon la théorie de constructivisme social, qui considère comment les idées et les phénomènes sociaux se développent dans un contexte social. Parmi les principaux partisans de cette théorie de la religion sont Timothy Fitzgerald, Daniel Dubuisson et Talal Asad. Les constructivistes sociaux soutiennent que la religion est un concept moderne qui a développé du christianisme et a été ensuite appliqué de façon inappropriée aux cultures non-occidentales.

Dubuisson, un anthropologue français, dit que l'idée de la religion a beaucoup changé au fil du temps et que l'on ne peut pas comprendre pleinement son développement en se fondant sur ​​l'étymologie, qui "tend à minimiser ou annuler le rôle de l'histoire". "Qu'est-ce que l'Occident et l'histoire des religions dans son sillage ont objectivé sous le nom de« religion », dit-il," est ... quelque chose de tout à fait unique, qui pourrait être approprié seulement pour lui-même et sa propre histoire. " Il note que Saint- Augustin définition de l 'de religio diffère de la façon dont nous avons utilisé le mot moderne "de la religion". Dubuisson préfère le terme de «formation cosmographique" à la religion. Dubuisson dit que, avec l'émergence de la religion comme une catégorie distincte de la culture et de la société, il y eut des études religieuses. L'objectif initial d'études religieuses était de démontrer la supériorité de la «vie» ou vision du monde "universel" européenne aux «morts» ou religions "ethniques" dispersés dans tout le reste du monde, d'étendre le projet téléologique de Schleiermacher et Tiele à une religiosité idéal dans le monde entier. En raison de changements dans les courants théologiques, cela a finalement été supplanté par un intérêt libérale-oecuménique dans la recherche de vérités universelles de style occidental dans chaque tradition culturelle. La définition de Clifford Geertz de la religion comme un «système culturel» a été proposé dans le 20ème siècle et continue d'être largement acceptée aujourd'hui.

Selon Fitzgerald, l'histoire de l'interaction avec les autres cultures de la catégorie religieuse est pas une constante universelle, mais concerne plutôt une idée particulière qui a développé la première fois en Europe, sous l'influence de la chrétienté . Fitzgerald fait valoir que d'environ le 4ème siècle CE Europe de l'Ouest et le reste du monde ont divergé. Comme le christianisme est devenu monnaie courante, l' autorité charismatique identifié par Augustin, une qualité que nous pourrions aujourd'hui appeler "religiosité", a exercé une influence prépondérante au niveau local. Ce système a persisté dans l'est de Empire byzantin après la Schisme est-ouest , mais l'Europe occidentale réglementé expressions imprévisibles de charisme à travers l' Église catholique romaine . Comme l'Eglise a perdu sa domination au cours de la Réforme protestante et le christianisme est devenu étroitement lié aux structures politiques, la religion a été remanié comme la base de nationale souveraineté et l'identité religieuse est devenue progressivement un sens moins universelle de la spiritualité en plus conflictuelle, définie localement, et attaché à nationalité. Il était à ce moment que la «religion» a été dissociée des croyances universelles et se rapproche de dogme dans les deux sens et la pratique. Cependant il n'y avait pas encore l'idée du dogme comme choix personnel, seulement des églises établies. Avec la religion des Lumières a perdu son attachement à la nationalité, dit Fitzgerald, mais plutôt que de devenir une attitude sociale universelle, il est devenu maintenant un sentiment personnel ou de l'émotion. Friedrich Schleiermacher à la fin du 18ème siècle défini la religion comme das schlechthinnige Abhängigkeitsgefühl , communément traduit par "un sentiment de dépendance absolue ". Son contemporain Hegel désaccord fond, définir la religion comme «l'Esprit divin de devenir conscient de lui-même par l'esprit fini."

Asad fait valoir qu'avant l'entrée en usage courant, le mot «religion», le christianisme était un disciplina , une «règle» tout comme celle de l'Empire romain. Cette idée peut être trouvé dans les écrits de Saint- Augustin (354-430). Le christianisme était alors une structure de pouvoir adverse et remplaçant les institutions humaines, un royaume littéral du Ciel. Il était la discipline enseignée par les autorités famille, l'école, l'église, et la ville de un, plutôt que quelque chose appeler un à l'auto-discipline à travers des symboles.

Ces idées sont développées par SN Balagangadhara. Dans le siècle des Lumières , Balagangadhara dit que l'idée du christianisme comme la plus pure expression de la spiritualité a été supplanté par le concept de «religion» comme une pratique dans le monde entier. Cela a provoqué des idées telles que la liberté religieuse, un réexamen de classique la philosophie comme une alternative à la pensée chrétienne, et plus radicalement déisme parmi les intellectuels tels que Voltaire . Tout comme le christianisme, l'idée de «liberté religieuse» a été exporté dans le monde entier comme une technique civilisatrice, même dans des régions comme l'Inde qui n'a jamais traités spiritualité comme une question d'identité politique. Dans le Japon , où le bouddhisme était encore considéré comme une philosophie de la loi naturelle, le concept de «religion» et «liberté religieuse» comme distinct des autres structures de pouvoir était inutile jusqu'à ce que les missionnaires chrétiens ont exigé le libre accès à la conversion, et où les chrétiens japonais ont refusé d'engager à des manifestations patriotiques.

Confucianisme,le taoïsmeetle bouddhismesont l'un, un tableau dans lestyle de Litangdépeignant trois hommes rire par un courant de la rivière, du 12ème siècle,la dynastie des Song

D'autres écrivains

Des vues similaires ont été avancées par les auteurs qui ne sont pas constructionists sociaux. George Lindbeck, une luthérienne et un théologien postlibéral, dit que la religion ne fait pas référence à la croyance dans « Dieu »ou transcendant absolu, mais plutôt à" une sorte de culture et / ou du cadre linguistique ou médium qui façonne la totalité de la vie et de la pensée ... il est semblable à un idiome qui rend possible la description des réalités, la formulation de croyances, et l'expérience des attitudes intérieures, les sentiments et les sentiments. " Nicholas de Lange, professeur d'hébreu et d'études juives à l'Université de Cambridge , explique que "L'étude comparée des religions est une discipline académique qui a été développé au sein des facultés de théologie chrétienne, et il a tendance à forcer phénomènes très différents en une sorte de Strait Veste coupe pour un motif chrétien. Le problème est non seulement que d'autres «religions» peuvent avoir peu ou rien à dire sur les questions qui sont d'une importance brûlant pour le christianisme, mais qu'ils peuvent même pas se voir comme des religions dans exactement de la même manière que le christianisme se voit comme une religion ».

Les sacrifices d'animaux

Les sacrifices d'animaux est le meurtre rituel et l'offrande d'un animal pour apaiser ou de maintenir faveur d'une divinité. Ces formes de sacrifice sont pratiquées au sein de beaucoup de religions dans le monde et sont apparus historiquement dans presque toutes les cultures.

Formes connexes de la pensée

Superstition

Superstition a été décrit comme "la mise en place incorrecte de cause à effet» ou une fausse conception de la causalité. La religion est plus complexe et comprend des institutions sociales et de la morale. Mais les religions peuvent inclure superstitions ou de faire usage de la pensée magique. Les adeptes d'une religion pensent parfois d'autres religions que la superstition. Certains athées , déistes, et sceptiques considèrent la croyance religieuse comme une superstition.

Païens grecs et romains, qui ont vu leurs relations avec les dieux en termes politiques et sociaux, méprisé l'homme qui a constamment tremblait de peur à l'idée des dieux ( deisidaimonia ), comme un esclave pourrait craindre un maître cruel et capricieux. Les Romains appelaient cette crainte des dieux superstitio . Le christianisme primitif a été proscrit comme un superstitio Iudaica , une «superstition juive", par Domitien dans les années 80 de notre ère. En l'an 425, lorsque Rome était devenue chrétienne, Théodose II interdit traditions païennes comme superstitieux.

L'Eglise catholique romaine considère la superstition pour être péché dans le sens où il dénote un manque de confiance dans la providence divine de Dieu et, en tant que telle, est une violation de la première des Dix Commandements. Le Catéchisme de l'Eglise catholique affirme que la superstition " dans un certain sens représente un excès pervers de la religion »(par. # 2110). "Superstition", dit-il, "est une déviation du sentiment religieux et des pratiques impose ce sentiment. Il peut même affecter le culte nous offrons le vrai Dieu, par exemple, lorsque l'on attribue une importance certaine façon magique à certaines pratiques par ailleurs légales . ou nécessaire d'attribuer l'efficacité des prières ou des signes sacramentels à leur seule performance externe, en dehors des dispositions intérieures qu'ils exigent est de tomber dans la superstition Cf. Matthieu 23:. (. para # 2111) 16-22 "

Mythe

Le motmythea plusieurs significations.

  1. Une histoire traditionnelle des événements historiques qui sert apparemment à se dérouler une partie de la vision du monde d'un peuple ou d'expliquer une pratique, la croyance ou phénomène naturel;
  2. Une personne ou une chose ayant seulement une existence imaginaire ou invérifiables; ou
  3. Une métaphore de la potentialité spirituelle de l'être humain.
Urarina chaman, 1988

Antique religions polythéistes, tels que ceux de la Grèce , Rome , et la Scandinavie, sont généralement classés sous la rubrique de la mythologie . Religions des peuples pré-industriels, ou des cultures dans le développement, sont appelés similaire «mythes» dans le anthropologie de la religion. Le terme «mythe» peuvent être utilisés de manière péjorative par les deux religieux et non-religieux. En définissant des histoires et des croyances religieuses d'une autre personne que la mythologie, l'un implique qu'ils sont moins réel ou vrai que ses propres histoires et croyances religieuses. Joseph Campbell fait remarquer, «Mythologie est souvent considéré comme des autres religions, et la religion peut être définie comme mauvaise la mythologie -interpreted. "

En sociologie, toutefois, le terme mythe a un sens non péjoratif. Là, le mythe est défini comme une histoire qui est important pour le groupe si oui ou non il est objectivement prouvable ou vrai. Les exemples incluent la mort et la résurrection de Jésus , qui, pour les chrétiens, explique les moyens par lesquels ils sont libérés du péché et est aussi ostensiblement un événement historique. Mais à partir d'une perspective mythologique, si oui ou non l'événement a eu lieu est sans importance. Au lieu de cela, la symbolisme de la mort d'une «vie» ancien et le début d'une nouvelle «vie» est ce qui est le plus significatif. Les croyants peuvent ou non accepter de telles interprétations symboliques.

La laïcité et l'irréligion

Les termes « athées »(manque de croyance en des dieux) et« agnostique »(croyance dans la inconnaissabilité de l'existence des dieux), bien que spécifiquement contraire à théiste (par exemple, chrétiens, juifs et musulmans) les enseignements religieux, ne le font pas, par définition, dire à l'opposé de «religieux». Il ya des religions (y compris le bouddhisme et le taoïsme), en fait, qui classent certains de leurs disciples comme agnostique, athée, ou non-théiste. . La véritable opposé de «religieux» est le mot "irréligieux" irréligion décrit une absence de toute religion; antireligion décrit une opposition active ou aversion envers les religions en général.

Comme la religion est devenue une question plus personnelle dans la culture occidentale, les discussions de la société est devenue plus ciblée sur les attitudes politiques et la signification scientifique, et religieuses (chrétiennes dominante) ont été de plus en plus considérée comme pertinente pour les besoins du monde européenne. Sur le plan politique, Ludwig Feuerbach refonte croyances chrétiennes à la lumière de l'humanisme, ouvrant la voie à Karl Marx célèbre caractérisation de la religion comme « l'opium du peuple ". Pendant ce temps, dans la communauté scientifique, TH Huxley en 1869 a inventé le terme « agnostique », un terme-ensuite été adopté par des personnalités telles que Robert Ingersoll-ce que, tout en conflit directement avec et nouvelle à la tradition chrétienne, est acceptée et même embrassé une autre religions. Plus tard, Bertrand Russell a dit le monde Pourquoi je ne suis pas chrétien , qui a influencé plusieurs auteurs plus tard pour discuter de leur échappée à partir de leurs propres uprbringings religieuses de l'islam à l'hindouisme.

Religions Parody

Parodie religions sont l'imitation des systèmes de croyances qui remettent en question les convictions spirituelles des autres, souvent par l'humour , la satire, et / ou burlesque. Souvent créé pour atteindre un objectif spécifique lié à un autre système de croyance, une religion de la parodie peut être une parodie d'un ou plusieurs systèmes spécifiques ou même le concept même de la croyance religieuse. Dans certaines religions parodie, accent est mis sur faire plaisir et être une excuse commode pour l'interaction sociale agréable parmi vues similaires, par exemple l' église de la SubGenius. Autres religions parodie ciblent une religion spécifique, secte, culte, ou nouveau mouvement religieux.

Une approche à la religion parodie vise à mettre en évidence les carences en particulier arguments pro-religieux - l'être pensant que si un argument donné peut également être utilisé pour soutenir une parodie claire, alors l'argument d'origine estclairement erronée. Un exemple de ceci est le Monstre en Spaghetti Volant, qui parodie l'égalité argument temps employé parune conception intelligentecréationnisme.

Plusieurs religions qui sont classés comme les religions parodie ont un certain nombre de disciples relativement graves qui embrassent l'absurdité perçue de ces religions que spirituellement significative, décidément approche post-moderne à la religion. Par exemple, dans Discordianism, il peut être difficile de dire si même ces «grave» suiveurs ne sont pas seulement participent à une encore plus grande plaisanterie. Cette plaisanterie, à son tour, peut faire partie d'une plus grande voie de l'illumination, et ainsi de suite ad infinitum .

Critique

Critique de la religion a une longue histoire, qui remonte au moins aussi loin que le 5ème siècle BCE.Pendant les périodes classiques, il y avait des critiques religieuses dansla Grèce antique, commeDiagoras "l'athée" de Mélos, et dans le 1er siècle avant notre ère dansRome, avecTitus de Lucrèce De Rerum Natura.

Pendant les Moyen-Age et de continuer dans la Renaissance , les critiques potentielles de la religion ont été persécutés et largement contraints de garder le silence. Il y avait des critiques notables comme Giordano Bruno, qui a été brûlé sur le bûcher pour désaccord avec l'autorité religieuse.

Dans le17eet18e siècleavec lesiècle des Lumières, des penseurs commeDavid HumeetVoltaireont critiqué la religion.

Dans le 19ème siècle , Charles Darwin et la théorie de l'évolution ont conduit à une augmentation de scepticisme au sujet de la religion. Thomas Huxley, Jeremy Bentham , Karl Marx , Charles Bradlaugh, Robert Ingersol, et Mark Twain ont été notés 19ème siècle et début du 20e siècle critiques. Dans le 20ème siècle , Bertrand Russell , Siegmund Freud , et d'autres ont continué critique religieuse.

Sam Harris, Daniel Dennett, Richard Dawkins, Victor J. Stenger, et le regrettéChristopher Hitchens étaient critiques actifs au cours de la fin du 20e siècle et au début du 21e siècle.

Les critiques considèrent la religion pour être obsolète, nuisible à l'individu (par exemple, le lavage de cerveau des enfants, guérison par la foi, la circoncision), nuisibles à la société (par exemple, des guerres saintes, le terrorisme , la distribution gaspillage des ressources), d'entraver les progrès de la science , d'exercer un contrôle social et d'encourager des actes immoraux (par exemple le sacrifice du sang, la discrimination contre les homosexuels et les femmes). Une des principales critiques de nombreuses religions est qu'elles nécessitent des croyances irrationnelles, non scientifique, ou déraisonnable, parce que les croyances et traditions religieuses manquent fondements scientifiques ou rationnels.

Certains critiques modernes, tels que Bryan Caplan, soutiennent que la religion manque d'utilité dans la société humaine; ils peuvent considérer la religion comme irrationnel. Nobel de la paix Shirin Ebadi a prononcé contre les pays islamiques non démocratiques justifier "actes d'oppression» dans le nom de l'islam.

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