Babur
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| Babur | |
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| Un portrait de Babur, d'un manuscrit illustré au début de la Baburnama | |
 1er empereur moghol | |
| Régner | 30 Avril 1526 au 26 Décembre 1530 |
| Prédécesseur | Ibrahim Lodi |
| Successeur | Humayun |
| Époux | Aisha Sultan Begum Zaynab Sultān Begum Maham Begum Dildar Begum Gulnar Aghacha Gulrukh Begum Mubarika Yousefzai |
| Problème | |
| Humayun, fils Kamran Mirza, fils Askari Mirza, fils Hindal Mirza, fils Gulbadan Begum, fille Fakhru 'nNīsā, fille Altun Bishik, fils présumé | |
| Nom et prénom | |
| Zahir-ud-din Muhammad Babur Beg | |
| Maison | Timouride |
| Père | Omar Sheikh Mirza II, 'Āmir De Farghana |
| Mère | Qutlugh Nigar Khanum |
| Né | 23 Février 1483 Andijan, en Ouzbékistan |
| Mort | 26 Décembre 1530 (47 ans) Agra, Inde |
| Enterrement | Kaboul , Afghanistan |
| Religion | Islam |
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Zahir-ud-din Muhammad Babur (14 Février 1483 au 26 Décembre 1530, parfois aussi orthographié Baber ou Babar) était un conquérant de l'Asie centrale qui, après une série de revers, a finalement réussi à jeter les bases pour la dynastie moghole dans le Sous-continent indien et est devenu le premier empereur moghol. Il était un descendant direct de Timur par son père, et un descendant également de Gengis Khan par sa mère; par conséquent, il a identifié comme sa lignée Timouride et Tchaghatay-turque. Il a été fortement influencée par La culture persane et cela a affecté deux de ses propres actions et de celles de ses successeurs, donnant lieu à une expansion significative de la Ethos Persianate dans le Sous-continent indien.
Étymologie
Zahir ad-Din Muhammad ( Persan: ظهيرالدين محمد, également connu par ses titres royaux al-ṣultānu l-ḫāqān al-mukkarram Badshah-e Gazi 'wa l-'azam »), est plus communément connu par son surnom, Babur (بابر). Il a utilisé le titre royal de Padshah.
Selon Stephen Dale Frédéric, le nom Babur est dérivé du mot BaBr Persique, ce qui signifie «tigre», un mot qui apparaît à plusieurs reprises dans Firdawsi de Shāhnāma et avait également été emprunté par les langues turques d'Asie centrale. Cette thèse est soutenue par la Royal Asiatic Society de Grande-Bretagne et d'Irlande, expliquant que le nom turco-mongole Timur a connu une évolution similaire, du mot Cimara sanscrit ("de fer") via une version * CIMR modifié pour la finale Turkicized la version Timur , avec -ur remplacement -r en raison de la voyelle harmonie turque (d'où BaBr → Babür).
Contredisant ces vues, WM Thackston fait valoir que le nom ne peut être prise à partir BaBr et la place doit être dérivé d'un mot qui a évolué sur le mot indo-européenne pour le castor, soulignant le fait que le nom est prononcé bah-bor à la fois persan et turc, similaire au mot russe pour le castor (бобр - bobr). Le cousin de Babur, Mirza Muhammad Haydar, a déclaré que
A cette époque, l'Djaghataï (descendants de Gengis Khan ) était très grossier et inculte (Bazari), et non raffiné (Buzurg) comme ils sont maintenant; donc ils ont trouvé Zahir-ud-Din Muhammad difficile à prononcer, et pour cette raison lui donnèrent le nom de Babar. Dans les prières publiques ( khutba) et dans les mandats royaux, il est toujours de style 'Zahir-ud-Din Muhammad Babar », mais il est surtout connu comme Babar padishah.
Biographie
Babur a écrit ses mémoires et ceux-ci forment la principale source pour les détails de sa vie. Ils sont connus comme le Baburnama.
Il a écrit le Baburnama dans Djaghataï turc, sa langue maternelle, mais sa prose était très Persianized dans sa structure de la phrase, la morphologie et le vocabulaire.
Jeunesse
Babur est né le 23 Février [ OS 14 Février] 1483 dans la ville de Andijan, dans le Dans la vallée de Fergana contemporaine Ouzbékistan . Il était le fils aîné de Omar Cheikh Mirza, souverain de la vallée de Fergana, le fils de Abu Saïd (et petit-fils de Miran Shah, qui se était fils de Timur) et son épouse Qutlugh Nigar Khanum, fille de Yunus Khan, chef de Mogholistan (et arrière-arrière petit-fils de Tughlugh Timur, le fils de Esen Buqa I, qui était l'arrière-arrière-petit-fils de Djaghataï Khan, le deuxième fils né de Genghis Khan ).
Bien que Babur a salué de la Barlas tribu qui était de Origine mongole, sa tribu avait embrassé Turque et La culture persane, converti à l'islam et résidé dans Turkestan et Khorasan. Sa langue maternelle était le Langue Djaghataï (connu pour Babur que Turki, "turque") et il était tout aussi à l'aise dans Persique, le lingua franca de l'élite timuride.
Ainsi Babur, si nominalement un Mongol (ou moghol dans la langue persane), a attiré une grande partie de son soutien de la population locale turcs et iraniens de l'Asie centrale, et son armée était diversifié dans sa composition ethnique. Il inclus Perses (connus pour Babur comme " Sarts »et« Tadjiks »), les Afghans ethniques , Arabes, ainsi que Barlas et Chaghatayid Turco-Mongols d'Asie centrale. L'armée de Babur a également inclus Qizilbash combattants, un ordre religieux militant de Chiite Soufis de Perse safavide qui devint plus tard l'un des groupes les plus influents de la cour moghole.
Babur est dit avoir été extrêmement forte et en bonne forme physique. Il pourrait prétendument transporter deux hommes, un sur chacune de ses épaules, puis gravir des pentes sur la course, juste pour l'exercice. Il a affirmé avoir nagé à travers toutes les grandes rivières, il rencontra, dont deux fois à travers le Gange dans Inde du Nord. Ses passions pourraient être tout aussi forte. Dans son premier mariage, il était «timide» vers Aisha Sultan Begum, perdant plus tard, son affection pour elle. Babur a également eu une grande passion pour tuer des gens, couper la tête hors de personnes et de créer des piliers sur les têtes coupées. Il a prétendu avoir créé plusieurs de ces piliers dans son autobiographie.
Bien que la religion avait une place centrale dans sa vie, Babur aussi approbateur cité une ligne de poésie par un de ses contemporains: «Je suis ivre, agent Punissez-moi quand je suis sobre.". Il cesser de boire de l'alcool avant la Bataille de Khanwa, deux ans seulement avant sa mort pour des raisons de santé, et a exigé que sa cour faire la même chose. Mais il ne se arrête pas mâcher préparations narcotiques, et n'a pas perdu son sens de l'ironie. Il a écrit, "Tout le monde regrette potable et prête serment (de l'abstinence); Je ai juré le serment et regrette que ".
Début des relations de Babour avec les Ottomans étaient très troublant parce que le Ottoman Sultan Selim I fourni son grand rival Ubaydullah Khan avec le puissant fusils à mèche et canons. En l'an 1507, lors de la commande d'accepter Selim I comme son suzerain légitime Babur refusé, et a rassemblé Qizilbash militaires pour contrer les forces de Ubaydullah Khan lors de la Bataille de Ghazdewan. En l'an 1513, Ottoman Sultan Selim I réconcilié avec Babur (craignant sans doute qu'il se joindrait au Safavides), expédié Ustad Ali Quli l'artilleur et Mustafa Rumi la Matchlock tireur et beaucoup d'autres Les Turcs ottomans, afin d'aider Babur dans ses conquêtes. Dès lors cette aide particulière se est avéré être la base des futures relations Mughal-ottomanes.
Les origines de l'Empire moghol
Carrière militaire
En 1495, à douze ans, Babur succédé à son père en tant que dirigeant de Farghana, dans l'actuel Ouzbékistan. Ses oncles étaient implacables dans leurs tentatives pour le déloger de cette position ainsi que plusieurs de ses autres possessions territoriales à venir. Ainsi, Babur a passé une grande partie de sa vie sans abri et en exil, aidé par des amis et des paysans. En 1497, il assiégée la ville de Samarkand pendant sept mois avant de finalement prendre le contrôle de celui-ci. Pendant ce temps, une rébellion parmi les nobles à la maison d'environ 350 km (220 mi) de distance lui a volé Farghana. Comme il marchait pour le récupérer, les troupes de Babour désertes à Samarkand, le laissant avec ni Samarkand ni Fergana.
En 1501, il posa siège de Samarkand fois de plus, mais a été peu de temps après vaincu par son plus redoutable rival, Muhammad Shaybani, khan des Ouzbeks. Samarkand, son obsession permanente, a été perdu à nouveau. Échapper avec un petit groupe de partisans de Fergana, pendant trois ans Babur concentrée sur la constitution d'une armée forte, recruter largement parmi les Tadjiks de Badakhshan en particulier. En 1504, il a réussi à traverser la neige Montagnes de l'Hindu Kush et capturé Kaboul de la Arghunids, qui ont été forcés de se retirer à Kandahar. Avec ce déménagement, il a gagné un nouveau royaume et riche rétablie sa fortune et prit le titre de Padshah. L'année suivante, Babur uni avec Sultan Hussein Mirza Bayqarah de Herat, un camarade Timouride et parent éloigné, contre le usurpateur Muhammad Shaybani. Cependant, la mort du sultan Husayn Mirza en 1506 a retardé cette entreprise. Babur est resté à la place Herat, passer seulement deux mois il avant d'être contraint de quitter en raison de la diminution des ressources. Néanmoins, il se émerveillait de l'abondance intellectuelle à Herat, dont il a été déclaré "rempli de savants et appariés.", Et fait la connaissance de l'œuvre de la Poète ouzbek Mir Ali Shir Nava'i, qui a encouragé l'utilisation de Chagatai comme langue littéraire. Les compétences des Nava'i avec la langue, dont il est crédité de fondation, peut avoir influencé Babur dans sa décision de l'utiliser pour ses mémoires.
Une rébellion de brassage ont finalement amené à retourner à Kaboul de Herat, Khorasan. Il régnait à cette occasion, mais deux ans plus tard, une révolte parmi certains de ses principaux généraux le chassa de Kaboul. Échapper avec très peu de compagnons, Babur revint bientôt à la ville, la capture de Kaboul à nouveau et de regagner l'allégeance des rebelles. Pendant ce temps, Muhammad Shaybani a été défait et tué par Ismail I, Shah de Shia Perse safavide, en 1510, et Babur saisi cette occasion pour tenter de reconquérir ses territoires timurides ancestrales. Au cours des années suivantes, et Babur Shah Ismail serait former un partenariat dans le but de prendre en charge certaines régions d'Asie centrale. En échange de l'aide de Ismail, Babur a permis aux Safavides d'agir comme un suzerain sur lui et ses disciples. Inversement, Shah Ismail réuni Babur avec sa sœur Khanzada, qui avait été emprisonné par et forcé à épouser le récemment décédé Shaybani.
Conquête de l'Empire Lodi
Écrit rétrospectivement, Babur a suggéré son échec dans la réalisation Samarkand était le plus beau cadeau qu'Allah lui a accordé. Babur avait démissionné aujourd'hui tous les espoirs de récupération Fergana, et bien qu'il redoutait une invasion des Ouzbeks à son Ouest, son attention de plus en plus tourné vers l'Inde et de ses terres à l'est, en particulier les riches terres de la Sultanat de Delhi.
Babur a prétendu être le monarque vrai et légitime des terres de la Dynastie Lodi. Il se croyait l'héritier légitime du trône de Timur, et ce était Timur qui avaient initialement gauche Khizr Khan en charge de son vassal dans le Pendjab, qui est devenu le chef de file, ou Sultan, de la Sultanat de Delhi, la fondation de la Sayyid dynastie. La dynastie Sayyid, cependant, avait été évincé par Ibrahim Lodi, un Ghilzai afghane , et Babur voulaient retourné au Timourides. En effet, tout en renforçant activement les numéros de troupes pour une invasion de la Punjab il a envoyé une demande à Ibrahim; «Je ai envoyé lui un autour des palombes et a demandé aux pays de la vieille qui avait dépendu le Turc », les« pays »visés étaient les terres du sultanat de Delhi.
Après la réticence surprenant d'Ibrahim pour accepter les termes de cette «offre», et bien pas pressé de lancer une invasion réelle, Babur a fait plusieurs incursions préliminaires et a également saisi Kandahar - une ville stratégique se il était de repousser les attaques sur Kaboul l'ouest, alors qu'il était occupé en Inde - des Arghunids. Le siège de Kandahar, cependant, a duré beaucoup plus longtemps que prévu, et il ne était que de près de trois ans plus tard que Kandahar et sa Citadelle (soutenu par d'énormes caractéristiques naturelles) ont été prises, et que les voies de fait mineures en Inde a repris. Au cours de cette série d'escarmouches et batailles une opportunité pour une expédition plus étendue se est présentée.
En entrant dans les plaines du Pendjab, principaux alliés de Babour, à savoir Langar Khan Niazi conseillé Babur pour engager le puissant et célèbre musulmane, Janjua Rajputs à se joindre à sa conquête. Attitude rebelle de la tribu sur le trône de Delhi était bien connu. Après avoir rencontré leurs chefs, Asad Malik as et Raja Sanghar Ali Khan, Babur a fait mention de la popularité de la Janjua que les chefs traditionnels de leur royaume et leur soutien ancestrale pour son patriarche Timur lors de sa conquête de la Dynastie Tughluq. Babur les aida à vaincre leurs ennemis, le Gakhars en 1521, gagnant ainsi leur alliance. Babur a ensuite remporté leur soutien et de service au cours de la Bataille de Panipat et plus tard au cours de la Bataille de Khanwa. En ce moment l'empire Lodi a également été considérablement affaibli dans les zones Pendjab-Rajasthan en raison de la forte résistance des Rajputs en particulier Rana Sanga.
La section des mémoires de Babur couvrant la période entre 1508 et 1519 est manquant. Au cours de ces années Shah Ismail je ai souffert une grande défaite quand sa grande armée basée cavalerie a été effacé à la Bataille de Tchaldiran par l' Empire ottoman nouvelle arme de l ', le fusil à mèche. Les deux Shah Ismail et Babur, paraît-il, ne ont pas tardé à acquérir cette nouvelle technologie pour eux-mêmes. Quelque part au cours de ces années Babur introduit fusils à mèche dans son armée, et a accueilli une Ottoman, Ustad Ali, pour former ses troupes, qui ont ensuite été appelés Matchlockmen, dans leur utilisation. Les mémoires de Babur donnent récits de batailles où les forces de l'opposition se moquaient de ses troupes, ne ayant jamais vu un pistolet avant, à cause du bruit qu'ils ont fait et la façon dont aucun flèches, des lances, etc. semblaient provenir de l'arme lors du tir.
Ces canons autorisés petites armées de faire de gros gains sur le territoire de l'ennemi. Les petits partis de tirailleurs qui avaient été envoyés simplement pour tester les positions ennemies et tactiques, faisaient des incursions dans l'Inde. Babur, cependant, avait survécu à deux révoltes, une à Kandahar et un autre à Kaboul, et a pris soin de pacifier la population locale après des victoires, suivant les traditions locales et d'aider les veuves et les orphelins.
Première bataille de Panipat
Cependant, tandis que les Timourides étaient unis, les armées Lodi étaient loin d'unifiée. Ibrahim a été largement détesté, même parmi ses nobles, et ce était plusieurs de ses nobles afghans qui étaient d'inviter l'intervention de Babur. Babur assemblé une armée de 12.000 hommes, et se avança vers l'Inde. Ce nombre a en fait augmenté que Babur avancé, en tant que membres de la population locale ont rejoint l'armée d'invasion. Le premier affrontement majeur entre les deux parties a été menée à la fin de Février 1526. Le fils de Babur, Humayun (alors âgée de 17 ans), a conduit l'armée timouride dans la bataille contre la première des parties avance d'Ibrahim. La victoire de Humayun était plus difficile disputée que les escarmouches précédentes, mais il était encore une victoire décisive. Plus d'une centaine prisonniers de guerre ont été capturés avec environ huit éléphants de guerre. Cependant, contrairement après des batailles précédentes, ces prisonniers ne ont pas été liés ou libérés; par décret de Humayun, ils ont été abattus. Dans ses mémoires, Babur enregistré que «Ustad Ali-Quli et les matchlockmen ont reçu l'ordre de tirer sur tous les prisonniers, à titre d'exemple, ce qui avait été la première affaire de Humayun, sa première expérience de la bataille, ce était un excellent présage!" Ce est peut-être le premier exemple de exécution par un peloton d'exécution.
Ibrahim Lodi avancé contre lui avec 100 000 soldats et 100 éléphants; et bien que l'armée de Babur avait grandi, il était encore moins de la moitié de la taille de ses adversaires, peut-être aussi peu que 25 000 hommes. Ce devait être leur principal engagement, le Première bataille de Panipat, et a été battu le 21 Avril 1526. Ibrahim Lodi fut tué et son armée fut mise en déroute; Babur a rapidement pris possession de deux Delhi et Agra. Ce même jour, Babur a ordonné Humayun à monter à Agra (ancienne capitale de Ibrahim) et sécuriser ses trésors et des ressources nationales du pillage. Humayun trouvé la famille du Raja de Gwalior il - le Raja se étant mort à Panipat - abritant des envahisseurs, craignant la nature terrible des "Mongols" des histoires qui ont précédé leur arrivée. Après leur sécurité était garantie qu'ils ont donné Humayun joyau le plus précieux de leur famille, un très grand diamant, dont certains pensent être le diamant qui est venu à être appelé Koh-i-Noor ou "Montagne de la lumière '. On pense qu'ils l'ont fait pour conserver leur royaume. Que ce soit à cause du don ou non, la famille est restée les dirigeants de Gwalior, quoique maintenant sous leurs nouveaux dirigeants Timourides .
Babur, quant à lui, marcha en avant à Delhi l'atteindre trois jours après la bataille. Il a célébré son arrivée avec un festival sur la rivière Jumna, et il est resté au moins jusqu'à vendredi ( Jumah), lorsque les prières de la congrégation musulmans ont été dit et il a entendu les Khutba (sermon), lu en son nom dans le Jama Masjid, un signe de l'hypothèse de la souveraineté. Il marcha ensuite à Agra pour rejoindre Humayun. À l'arrivée Babur a été présenté avec le fabuleux diamant, et signale que Babur "Je viens de lui ai donné de nouveau à lui", ajoutant, "un expert en bijoux dit sa valeur donnerait deux jours et demi de la nourriture pour tout le monde."
Batailles avec les Rajputs
Bien que maître de Delhi et Agra, dossiers Babour dans ses mémoires qu'il avait des nuits blanches à cause de soucis poursuivies plus Raja Hasan Khan, Mewatpatti (titre, Seigneur des Mewat), la règle de Khanzada Mewat, Rana Sanga, le Rajput souverain de Mewar.
En l'an 1526 un nouveau pouvoir est apparu en Inde. Babur, qui prétendait être le représentant de Timur Lang, après avoir remporté la bataille de Panipat, a pris possession de Dehli et Agra; et a déterminé que son entreprise ne doit pas être une simple attaque comme Tamerlan, mais la fondation d'une nouvelle et durable empire. Ce est alors que les Rajputs ont fait leur dernière grande lutte pour l'indépendance. Ils étaient dirigés par Rana Sanga, un chef de Mewar, qui a invité le chef Mewatti, Hasan Khan, pour aider la nation dont il avait jailli à résister à la nouvelle horde de Musalmans du nord.
La position politique de Hasan Khan à cette époque était une question très importante. Babur, dans son autobiographie, parle de lui comme le principal moteur dans toutes les confusions et les insurrections de la période. Il avait, dit-il, en vain montré Hasan Khan distingue marques de faveur, mais les affections de l'infidèle était tous du côté des indigènes à-dire, les Hindous (Indiens); et de la proximité de son pays à Dehli, sans aucun doute, fait son opposition particulièrement dangereux. Le siège Hasan Khan à cette époque était au Ulwur, mais la tradition locale dit qu'il a été initialement établi à Bahadarpur huit miles de Ulwur.
Babur dit que les ancêtres de son adversaire Hasan Khan avaient régi Mewat en succession ininterrompue depuis près de 200 ans, et que Tejara était leur capital. Dans un autre endroit il l'appelle Raja Hasan Khan Mewati, un infidèle, qui était le moteur principal et agitateur dans l'insurrection contre les Moghols. Le titre de Raja et le terme «infidèle» montrent que Babur était au courant de la descente hindoue de Hasan Khan, et la période de '* près de 200 ans "se réfère probablement à la date à laquelle son ancêtre est devenu un musulman sous le règne de Firoz Shah entre AH 752 et 790.
Les seigneurs avaient Rajput, avant l'intervention de Babur, réussi à conquérir une partie du territoire du Sultanat. Ils ont régné une zone directement au sud-ouest de nouveaux domaines de Babour, communément connu sous le nom Rajputana ainsi que dominions fortifiés dans d'autres parties du nord de l'Inde. Ce ne était pas un royaume unifié, mais plutôt une confédération de principautés , sous la suzeraineté informel de Rana Sanga, chef de la dynastie principal Rajput.
Les Rajputs avait probablement entendu le mot des lourdes pertes infligées par Lodi sur les forces de Babour, et cru qu'ils pourraient capturer Delhi, et peut-être tous Hindustan. Ils espéraient ramener dans les mains hindoue Rajput pour la première fois en près de 350 années depuis Sultan al Din Shah-Muhammad de Ghor défait le Rajput Chauhan roi Prithviraj III en 1192.
En outre, les Rajputs étaient bien conscients qu'il y avait dissidence dans les rangs de l'armée de Babur. L'été indien chaud était sur eux, et de nombreuses troupes voulait rentrer chez eux pour les climats les plus froids de l'Asie centrale. La réputation des Rajputs courage les ont précédés, et leur supériorité numérique sans aucun doute contribué davantage à la volonté de l'armée de Babur à retreat.According les propres calculs de Babour la force potentielle de l'armée Rajput était beaucoup plus grande que celle déployée par le Lodis au Panipat. Babur a décidé de faire de cette longue bataille, et a décidé de pousser plus loin dans l'Inde, dans les terres jamais réclamés précédemment par les Timourides. Il avait besoin de ses troupes pour vaincre les Rajputs.
Malgré la réticence de ses troupes à se engager dans la guerre encore, Babur a été convaincu qu'il pouvait surmonter les Rajputs et prendre le contrôle intégral Hindustan. Il a fait une grande propagande du fait qu'il était pour la première fois à la bataille non-musulmans, le Kafir, dans la mesure de prendre un vœu de se abstenir de boire (une fraction commune parmi son peuple) pour le reste de sa vie à gagner la faveur divine, et a déclaré la guerre contre Rana Sanga.
Mort
Après Babur est tombé gravement malade, Humayun a été dit d'une parcelle par les nobles hauts de la cour de Babur pour contourner les fils du leader et nommer Mahdi Khwaja, le mari de la sœur de Babur, comme son successeur. Il se précipita vers Agra et il est arrivé de voir son père était encore assez bien, même si Mahdi Khwaja avait perdu tout espoir de devenir souverain après avoir dépassé avec arrogance son autorité pendant la maladie de Babur. Dès son arrivée à Agra ce était Humayun lui-même qui est tombé malade et était près de mourir.
Babur est décédé à l'âge de 47 ans le 5 Janvier [ OS 26 Décembre 1530] 1531, et a été succédé par son fils aîné, Humayun. Se il voulait être enterré dans son jardin favori à Kaboul, une ville qu'il avait toujours aimé, il a été enterré dans un premier mausolée dans la ville de capital de Agra. Ses restes ont ensuite été déplacés vers Bagh-e Babur (Jardins de Babur) à Kaboul, en Afghanistan. L'inscription persane sur sa tombe, il se traduit par "Se il ya un paradis sur terre, ce est cela, ce est cela, ce est cela!
Héritage
Babur est considéré comme un héros national en Ouzbékistan et au Kirghizistan , et est tenu en haute estime en Afghanistan. En Octobre 2005 au Pakistan a développé le Babur (missile de croisière), nommée en son honneur.
F. Lehmann a déclaré que
Son origine, le milieu, la formation et la culture ont été ancré dans la culture persane et ainsi de Babur était largement responsable de la promotion de cette culture par ses descendants, les Moghols de l'Inde, et pour l'expansion de l'influence culturelle persane dans le sous-continent indien, avec brillante Résultats littéraires, artistiques et historiographiques.
Impact sur l'architecture
Babur a parcouru le pays, en passant par une grande partie de la terre et de ses paysages, et a commencé la construction d'une série de structures qui mêlent les subtilités hindous pré-existants de détail sculpté avec les conceptions musulmanes utilisées par les Perses et les Turcs. Il a décrit avec admiration les bâtiments dans Chanderi, un village sculpté dans la roche, et le palais de Man Singh I Gwalior. Il a été, cependant, dégoûté par le Jain " "divinités sculptées dans la roche en dessous de la forteresse de Gwalior. Heureusement, les statues ne ont pas été détruits entièrement, plutôt les visages et les organes génitaux des pièces incriminées ont été retirées. (sculpteurs modernes ont restauré les visages).
Pour se rappeler les belles femmes des terres qu'il avait laissés, Babur a commencé un processus de création de jardins exquis dans tous les palais et la province, où il serait souvent se asseoir avec de nombreuses concubines et accomplir des actes sexuels sous le soleil indien féroce. Souvent obtenir un coup de chaleur de se épuisant dans la chaleur. Il a essayé de recréer les jardins de Kaboul, dont il croyait être la plus belle dans le monde, et dans l'une desquelles il finirait par être enterré. Près de trente pages de mémoires de Babour sont repris décrivant la faune et la flore de son Hindustan.
Babri mosquée
Babur est considéré populairement avoir démoli le Temple Rama à Ayodhya et construit Mosquée de Babri Ayodhya. Cependant, à partir des trois inscriptions qui ornaient la surface de la mosquée, il devient évident que la mosquée a été construite pendant son règne sur les ordres de Mir Baqi, qui était l'un des généraux des forces de Babour envoyés vers cette région. En 2003, L'Archaeological Survey of India a demandé de mener une étude plus approfondie et une excavation de déterminer le type de structure qui était sous les décombres de Babri Masjid. Le résumé du rapport ASI a indiqué «aucune mention d'un temple, seulement des preuves d'une structure massive, dont des fragments parlent de leur association avec l'architecture des temples du style Saivite." Il a été détruit en 1992 étincelles hors affrontements communautaires à travers le pays. a entraîné la mort de milliers de musulmans et hindous. Démolition de la structure Babri révélé des restes de la construction hindoue avant dans les murs de Babri. Le 6 Décembre 1992, Babri Masjid a été démoli par Karsevaks de mouvement Ramajanmabhumi mobilisées par l'appel donné par des organisations comme VHP et Bajrangdal. LK Advani de BJP était une figure de proue du mouvement, ainsi que plusieurs autres saints et les dirigeants des organisations hindoues.
