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Édouard Manet

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Édouard Manet

portrait par Nadar
Nom de naissance Édouard Manet
Paris
Nationalité Français
Domaine Peinture , gravure
Mouvement Réalisme, Impressionnisme
Travaux

Le Déjeuner sur l'herbe (Le déjeuner sur l'herbe), 1863
Olympia, 1863
Un bar aux Folies Bergère (Le Bar aux Folies Bergère), 1882

Jeune flûtiste ou Le Fifre (Le Fifre), 1866

Édouard Manet ( Français Prononciation: [Edwaʁ manɛ]; 23 Janvier 1832 au 30 Avril 1883) était un Français peintre . Un des premiers artistes du 19ème siècle pour aborder des sujets de vie moderne, il était une figure centrale dans la transition du Réalisme à l'impressionnisme .

Ses premiers chefs-d'œuvre, Le Déjeuner sur l'herbe (Le déjeuner sur l'herbe) et Olympia, a engendré une grande controverse et a servi de point de ralliement pour les jeunes peintres qui créerait l'impressionnisme. Aujourd'hui, elles sont considérées comme des peintures de bassins versants qui marquent la genèse de art moderne.

Biographie

Né dans une famille de classe supérieure avec de solides relations politiques, Manet a rejeté l'avenir initialement envisagé pour lui, que pour devenir absorbé dans le monde de la peinture. Les 20 dernières années de la vie de Manet virent former des liaisons avec d'autres grands artistes de l'époque, et de développer son propre style qui serait annoncée comme innovante et servir comme une influence majeure pour les peintres futurs.

Jeunesse

Édouard Manet est né à Paris le 23 Janvier 1832, à une famille aisée et bien connecté. Sa mère, Eugénie-Desirée Fournier, était la fille d'un diplomate et filleule du prince héritier suédois, Charles Bernadotte, dont les monarques suédois actuels sont les descendants. Son père, Auguste Manet, était un juge français qui devrait Édouard à poursuivre une carrière en droit. Son oncle, Charles Fournier, l'a encouragé à poursuivre la peinture et a souvent pris jeune Manet au Louvre. En 1845, sur les conseils de son oncle, Manet se inscrit à un cours spécial du dessin où il a rencontré Antonin Proust, futur ministre des Beaux-Arts et ultérieure ami long de la vie.

À la suggestion de son père, en 1848, il se embarqua sur un navire de formation à Rio de Janeiro . Après Manet a échoué à deux reprises l'examen de rejoindre le Marine, l'aînée Manet cédé aux souhaits de son fils à poursuivre une éducation artistique. De 1850 à 1856, Manet a étudié sous la peintre académique, Thomas Couture. Dans ses temps libres, Manet copié le vieux maîtres au Louvre.

De 1853 à 1856, il a visité l'Allemagne, l'Italie et les Pays-Bas, au cours de laquelle il a absorbé les influences du peintre hollandais Frans Hals, ainsi que les artistes espagnols, Diego Velázquez et Francisco José de Goya .

En 1856, Manet ouvre son propre studio. Son style dans cette période a été caractérisée par des coups de pinceau en vrac, la simplification des détails et la suppression des tons transitoires. Adoptant le style actuel de réalisme initiée par Gustave Courbet, il a peint le buveur d'absinthe (1858-1859) et d'autres sujets contemporains comme des mendiants, des chanteurs, des Tsiganes, des gens dans les cafés, et les corridas. Après ses premières années, il a rarement peint des sujets religieux, mythologiques ou historiques; exemples incluent son Christ raillé, maintenant dans la Art Institute of Chicago, et le Christ avec des anges, dans le Metropolitan Museum of Art, New York.

Musique aux Tuileries

Musique aux Tuileries, 1862

Musique aux Tuileries est un des premiers exemples du style pictural de Manet. Inspiré par Hals et Vélasquez, ce est un signe avant-coureur de son intérêt long de la vie dans le sujet de loisirs.

Alors que la photo a été considérée comme inachevée par certains, l'atmosphère suggéré donne une idée de ce que les jardins des Tuileries étaient comme à l'époque; on peut imaginer la musique et la conversation.

Ici, Manet a peint ses amis, artistes, auteurs et musiciens qui participent, et il a inclus un autoportrait parmi les sujets.

Déjeuner sur l'herbe (Le déjeuner sur l'herbe)

Le Déjeuner sur l'herbe (Le déjeuner sur l'herbe), 1863

Un premier travail majeur est Le Déjeuner sur l'herbe (Le déjeuner sur l'herbe). Le Salon de Paris a rejeté pour l'exposition en 1863 mais il exposa à la Salon des Refusés (Salon des Refusés) plus tard dans l'année. Empereur Napoléon III avait lancé le Salon des Refusés après le Salon de Paris a rejeté plus de 4000 peintures en 1863.

La juxtaposition de la peinture des hommes entièrement vêtus et une femme nue était controversée, comme ce était son abrégé, croquis comme la manipulation, une innovation qui distingue Manet de Courbet. Dans le même temps, la composition de Manet révèle son étude des maîtres anciens, comme la disposition des figures principales est dérivé de Marcantonio Raimondi de gravure de la Jugement de Pâris (c. 1515) basée sur un dessin de Raphaël .

Deux travaux supplémentaires qui sont cités par les chercheurs comme des précédents importants pour Le déjeuner sur l'herbe sont Concert champêtre, 1508, ( Louvre ) et La Tempête ( Gallerie dell'Accademia, Venise), qui sont tous deux attribué diversement aux italiens de la Renaissance maîtres Giorgione ou Titien (vers 1508). La Tempête est une peinture énigmatique qui dispose d'un homme entièrement vêtu et une femme nue dans un cadre rural. L'homme est debout à gauche et regardant sur le côté, apparemment à la femme, qui est assis et allaite un bébé; la relation entre les deux chiffres ne est pas claire. En Concert champêtre, deux hommes vêtus et une femme nue sont assis sur l'herbe, engagé dans la musique de décision, tandis qu'une deuxième femme nue se tient à côté d'eux.

Olympie

Olympia, 1863

Comme il avait Déjeuner sur l'herbe, Manet nouveau paraphrasé un travail respecté par un artiste de la Renaissance dans la peinture Olympia (1863), un nu dépeint dans un style qui rappelle des premiers studios de photographies , mais dont la pose a été basée sur Titien Venus d'Urbino (1538). La peinture est également une réminiscence de Francisco Goya peinture de, La Maja nue (1800).

Manet se est lancé sur la toile après avoir été mis au défi de donner le Salon une peinture nue à afficher. Sa représentation unique franche d'une prostituée auto-assuré a été acceptée par le Salon de Paris en 1865, où il a créé un scandale. Selon Antonin Proust, "seuls les précautions prises par l'administration a empêché la peinture étant percé et déchiré» par les téléspectateurs offensés. La peinture a été controversée en partie parce que le nu est vêtu quelques petits articles de vêtements tels que une orchidée dans les cheveux, un bracelet, un ruban autour de son cou, et des chaussons muletiers, qui tous ont accentué sa nudité, la sexualité et courtisane style de vie confortable. L'orchidée, cheveux upswept, chat noir, et le bouquet de fleurs étaient tous les symboles de la sexualité reconnus à l'époque. Le corps de cette Vénus moderne est mince, à l'encontre de normes en vigueur; le manque d'idéalisme de la peinture ulcéré téléspectateurs. La planéité du tableau, inspiré par Bloc japonais l'art du bois, sert à faire le nu plus humain et moins voluptueuse. Une servante noire entièrement habillé est sélectionnée, exploitant la théorie alors en vigueur que les Noirs étaient hyper-sexué. Qu'elle porte les vêtements d'un serviteur pour une courtisane ici, favorise la tension sexuelle de la pièce.

Le corps de Olympia ainsi que son regard est sans vergogne confrontation. Elle a l'air de défi comme sa servante offre des fleurs de l'un de ses prétendants masculins. Bien que sa main repose sur sa jambe, cachant son pubis, la référence à la vertu des femmes traditionnelle est ironique; une notion de pudeur est notoirement absente dans ce travail. Un critique contemporain a dénoncé "sans vergogne fléchie" main gauche de l'Olympia, qui lui semblait une moquerie de la détente, de la main de protection de la Vénus de Titien. De même, l'alerte chat noir au pied du lit frappe une note sexuellement rebelle contrairement à celle du chien de dormir dans le portrait du Titien de la déesse dans son Vénus d'Urbin.

"Olympia" a été l'objet de caricatures dans la presse populaire, mais a été défendue par la communauté avant-garde française et l'importance de la peinture a été apprécié par des artistes tels que Gustave Courbet, Paul Cézanne, Claude Monet , et plus tard Paul Gauguin.

Comme avec déjeuner sur l'herbe, le tableau a soulevé la question de la prostitution au sein de la France contemporaine et le rôle des femmes dans la société.

Life and Times

Berthe Morisot, 1872

Le style à peu près peint et l'éclairage photographique dans ces œuvres a été considérée comme spécifiquement moderne, et comme un défi à la Renaissance fonctionne Manet copiés ou utilisés comme matériau source. Son travail est considéré comme «début moderne», en partie parce que de la Décrivant noire de chiffres, qui attire l'attention à la surface du plan de l'image et la qualité du matériau de peinture.

Il se lie d'amitié avec les impressionnistes Edgar Degas, Claude Monet , Pierre-Auguste Renoir , Alfred Sisley, Paul Cézanne et Camille Pissarro par un autre peintre, Berthe Morisot, qui était un membre du groupe et l'entraîna dans leurs activités. La petite-nièce du peintre Jean-Honouré Fragonard, Morisot avait sa première peinture accepté dans la Salon de Paris en 1864, et elle a continué à montrer dans le salon pour les dix prochaines années.

Manet devint l'ami et collègue de Berthe Morisot en 1868. Elle est créditée de Manet convaincante pour tenter la peinture de plein air, dont elle avait pratiqué depuis qu'elle a été introduite à elle par un autre de ses amis, Camille Corot. Ils avaient une relation alternatif et Manet incorporés certaines de ses techniques dans ses peintures. En 1874, elle est devenue sa sœur-frère quand elle a épousé son frère, Eugène.

Autoportrait à la palette, 1879

Contrairement au groupe impressionniste coeur, Manet maintenu que les artistes modernes devraient chercher à exposer à la Salon de Paris plutôt que de l'abandonner en faveur d'expositions indépendants. Néanmoins, quand Manet a été exclu de l'exposition internationale de 1867, il a créé sa propre exposition. Sa mère se inquiétait de perdre tout son héritage de ce projet, qui était extrêmement cher. Alors que l'exposition a obtenu des critiques pauvres des grandes critiques, il a également fourni ses premiers contacts avec plusieurs peintres impressionnistes futurs, y compris Degas.

Bien que son propre travail influencé et prévu le style impressionniste, il a résisté à la participation à des expositions impressionnistes, en partie parce qu'il ne voulait pas être vu comme le représentant d'une identité de groupe, et en partie parce qu'il préférait exposer au Salon. Eva Gonzalès était son seul étudiant formelle.

Il a été influencé par les impressionnistes, en particulier Monet et Morisot. Leur influence se voit dans l'utilisation de Manet de couleurs plus claires, mais il a conservé son utilisation distinctive de noir, non caractéristique de la peinture impressionniste. Il peint beaucoup en plein air ( plein air) pièces, mais revenaient toujours à ce qu'il considérait le travail sérieux du studio.

Manet jouissait d'une amitié étroite avec le compositeur Emmanuel Chabrier, peinture deux portraits de lui; le musicien possédait 14 des peintures de Manet et a consacré sa Impromptu à la femme de Manet.

Tout au long de sa vie, bien résisté par les critiques d'art, Manet pourrait compter que ses champions Émile Zola, qui l'ont soutenu publiquement dans la presse, Stéphane Mallarmé, et Charles Baudelaire, qui l'a défié à dépeindre la vie telle qu'elle était. Manet, à son tour, a attiré ou peint chacun d'eux.

scènes des cafés

Le Café-Concert, 1878

Les peintures de Manet des scènes de café sont des observations de la vie sociale dans Paris du 19e siècle. Les gens sont représentés boivent de la bière, écouter de la musique, le flirt, la lecture, ou en attente. Beaucoup de ces peintures ont été basées sur des croquis exécutés sur place. Il a souvent visité la Brasserie Reichshoffen sur le boulevard de Rochechourt, sur laquelle il a fondé Au Café en 1878. Plusieurs personnes sont à la barre, et une femme confronte le spectateur tandis que d'autres attendent d'être servis. Ces représentations représentent la revue peint d'une flâneur. Ceux-ci sont peints dans un style qui est lâche, référencement Hals et Velázquez, mais ils capturer l'humeur et le sentiment de la vie nocturne parisienne. Ils sont des instantanés de peints bohème, urbain les personnes qui travaillent, ainsi que certains des bourgeoisie.

En coin d'un Café-Concert, un homme fume tandis que derrière lui une serveuse sert des boissons. Dans Les buveurs de bière une femme jouit sa bière en compagnie d'un ami. Au Café Concert, illustré à droite, un gentleman sophistiquée assis à un bar tout en une serveuse se tient résolument en arrière-plan, en sirotant sa boisson. Dans The Waitress, une femme au service se arrête un instant derrière un client assis fumant une pipe, tout un danseur de ballet, les bras tendus, comme elle est en train de tourner, est sur scène en arrière-plan.

Manet a également siégé au restaurant sur le Avenue de Clichy appelé Pere de Lathuille, qui avait un jardin ainsi que la salle à manger. Un des tableaux qu'il a produit ici était, au Pere de Lathuille, dans lequel un homme affiche un intérêt sans contrepartie en manger une femme près de lui.

Dans Le Bon Bock (1873), un grand gai, homme, barbu est assis avec un tuyau dans une main et un verre de bière dans l'autre, regardant fixement le spectateur.

Peintures d'activités sociales

Racing à Longchamp, 1864.

Manet peint la classe supérieure profiter des activités sociales plus formelles. Dans Bal masqué à l'Opéra, Manet montre une foule animée de personnes bénéficiant d'un partie. Hommes se tiennent avec les meilleurs chapeaux et costumes noirs longs tout en parlant aux femmes avec des masques et des costumes. Il a inclus des portraits de ses amis dans cette image.

Manet dépeint autres activités populaires dans son travail. Dans les courses à Longchamp, une perspective inhabituelle est employé à souligner l'énergie furieuse de chevaux de course comme ils se précipitent vers le spectateur. En patinage de Manet montre une femme bien habillée au premier plan, tandis que d'autres patinent derrière elle. Il ya toujours le sens de la vie urbaine active continue derrière le sujet, étendant à l'extérieur du cadre de la toile.

Compte tenu de l'Exposition internationale, les soldats se détendre, assis et debout, les couples prospères parlent. Il est un jardinier, un garçon avec un chien, une femme à cheval, bref, un échantillon des classes et âges de la population de Paris.

Guerre

L'exécution de L'empereur Maximilien, 1867. Musée des Beaux-Arts de Boston. Le moins fini de trois grandes toiles consacrées à l'exécution.
La Barricade (guerre civile),

La réponse de Manet à la vie moderne a inclus des travaux consacrés à la guerre, dans les matières qui peuvent être considérés comme des interprétations mises à jour du genre de «peinture d'histoire». Le premier travail a été la bataille de la Kearsarge et de l'Alabama (1864), une escarmouche de la mer de la guerre de Sécession qui a eu lieu au large des côtes françaises, et peut avoir été témoin de l'artiste.

D'intérêt suivante était l'intervention française au Mexique; 1867-1869 Manet peint trois versions de l'exécution des L'empereur Maximilien, un événement qui a soulevé des préoccupations concernant la politique étrangère et intérieure française. Les différentes versions de l'exécution sont parmi les plus grandes peintures de Manet, ce qui suggère que le thème était celui qui le peintre considéré comme le plus important. Elle a pour objet l'exécution par peloton d'exécution mexicaine d'un empereur Habsbourg, qui avait été installé par Napoléon III. Ni les peintures ni un lithographie du sujet ont été autorisés à être montré en France. Comme un acte d'accusation de l'abattage formalisé les peintures regarder en arrière à Goya , et d'anticiper Picasso s ' Guernica.

En Janvier 1871 Manet se est rendu à Oloron-Sainte-Marie dans la Pyrénées. En son absence, ses amis ajouté son nom à la «Fédération des artistes» (voir: Courbet) de la Commune de Paris. Manet est resté loin de Paris, peut-être, qu'après la sanglante semaine: dans une lettre à Berthe Morisot au Cherbourg (10 Juin 1871), il écrit: «Nous sommes rentrés à Paris il ya quelques jours ..." (la sanglante semaine terminée le 28 mai).

Le Cabinet des estampes de la Collection Musée des Beaux-Arts (Budapest) a une aquarelle / gouache (La Barricade) de Manet représentant une exécution sommaire de Communards par les troupes de Versailles sur la base d'une Lithographie de l'exécution de Maximilien. Une pièce similaire (La Barricade), huile sur contreplaqué, est détenu par un collectionneur privé.

Le 18 Mars 1871, il écrit à son (compère) ami Félix Bracquemond à Paris à propos de sa visite à Bordeaux, le siège provisoire de l'Assemblée nationale française de la Troisième République française où Emile Zola l'a présenté aux sites: "je ne ai jamais imaginé que la France pourrait être représentée par ces vieux fous gâteux, sans en excepter ce petit twit Thiers ... «Si cela pouvait être interprétée comme un soutien de la Commune une lettre ci-dessous pour Bracquemond (21 Mars 1871), a exprimé son idée plus clairement:« Seuls les valets du parti et les ambitieux, les Henrys de ce monde dans la foulée de la Millières, les imitateurs grotesques de la Commune de 1793 ... "Il savait que le communard Lucien Henry avoir été le modèle d'un ancien peintre et Millière, un agent d'assurance." Quel encouragement toutes ces cabrioles sanguinaires sont pour les arts! Mais il ya au moins une consolation dans nos malheurs: ce que nous ne sommes pas des politiciens et ne ont aucun désir d'être élus députés »(Les lettres sont publiées dans Julliet Wilson-Bareau, ed, Manet par lui-même au Royaume-Uni:.. Little Brown, 2004.)

Paris

Manet représenté de nombreuses scènes des rues de Paris dans ses œuvres. La rue Mosnier pavoisée représente fanions rouges, blanches et bleues couvrant les bâtiments de chaque côté de la rue, un autre tableau du même titre dispose d'un unijambiste marchant avec des béquilles. Illustrant à nouveau la même rue, mais cette fois dans un contexte différent, est Monsnier Rue avec les pavés, dans lequel les hommes réparent la chaussée tandis que les personnes et les chevaux passent devant.

Le chemin de fer, 1872

Le chemin de fer, largement connu comme La Gare Saint-Lazare, a été peint en 1873. Le cadre est le urbain paysage de Paris à la fin du 19ème siècle. En utilisant son modèle préféré dans son dernier tableau de son, un compagnon de peintre, Victorine Meurent, aussi le modèle pour Olympia et du Déjeuner sur l'herbe, assis devant une clôture de fer tenant un chiot de couchage et un livre ouvert sur ses genoux. A côté d'elle est une petite fille avec son dos au peintre, qui regarde une passe de train-dessous d'eux.

Au lieu de choisir la vue naturelle traditionnelle en toile de fond pour une scène extérieure, Manet opte pour la grille de fer qui "se étend hardiment sur la toile" La seule preuve de la gare est son nuage de vapeur blanche. Au loin, des immeubles d'appartements modernes sont vus. Cet arrangement comprime premier plan dans une vision étroite. La convention traditionnelle de l'espace profond est ignoré.

Historien Isabelle Dervaux a décrit la réception cette peinture a reçu quand il a été exposé à l'agent Salon de Paris de 1874: «Les visiteurs et les critiques ont trouvé son sujet déconcertante, sa composition incohérente, et son exécution sommaire. Caricaturistes ridiculisé l'image de Manet, dont seulement quelques-uns ont reconnu le symbole de la modernité qu'il est devenu aujourd'hui. "La peinture est actuellement en National Gallery of Art de Washington, DC

Manet peint plusieurs sujets de la navigation de plaisance en 1874. nautique, maintenant dans le Metropolitan Museum of Art, illustre dans sa concision les leçons apprises de Manet estampes japonaises, et la culture brutale par le cadre du bateau et de la voile ajoute à l'immédiateté de l'image. rayons X et repentirs indiquent que l'homme à l'origine tenu la corde dans sa main droite.

Œuvres tardives

Illustration pour le Traduction de Stéphane Mallarmé Edgar Allan Poe l '" Le Corbeau ", 1875. restaurée numérique.

Il a terminé la peinture sa dernière œuvre majeure, Un bar aux Folies Bergère (Le Bar aux Folies Bergère), en 1882 et il a pendu dans le Salon cette année.

En 1875, un livre-longueur édition française de Edgar Allan Poe l '" Le Corbeau "inclus lithographies de Manet et la traduction par Mallarmé.

En 1881, avec la pression de son ami Antonin Proust, le gouvernement français a attribué à l'Manet Légion d'honneur.

Un bar aux Folies Bergère (Le Bar aux Folies Bergère), 1882

Vie privée

Après la mort de son père en 1862, Manet a épousé Suzanne Leenhoff en 1863. Leenhoff était un professeur de piano d'origine néerlandaise de l'âge de Manet avec qui il avait été une relation amoureuse depuis environ dix ans. Leenhoff initialement avait été employé par le père de Manet, Auguste, à enseigner Manet et son jeune frère piano. Elle peut aussi avoir été la maîtresse d'Auguste. En 1852, Leenhoff a donné naissance, hors mariage, un fils, Leon Koella Leenhoff.

Onze ans Leenhoff Leon, dont le père a peut-être été l'une des Manet, posée souvent Manet. Le plus célèbre, il est l'objet de la L'Enfant à l'épée de 1861 (Metropolitan Museum of Art, New York). Il apparaît également que le garçon portant un plateau dans le fond du balcon.

Manet peint sa femme dans La lecture, entre autres peintures.

Mort

La tombe de Manet à Passy

Manet est mort non traité syphilis et rhumatismes, qu'il a contractée dans la quarantaine. La maladie lui a causé une douleur considérable et une paralysie partielle de ataxie locomotrice dans les années précédant son décès.

Son pied gauche était amputée en raison de gangrène, une opération suivie onze jours plus tard par sa mort. Il est mort à l'âge de cinquante et un à Paris en 1883, et fut enterré dans le Cimetière de Passy dans la ville.

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