Indus

Indus درياۓ سندھ Daryā-e Sindh
Origine	Mansarovar Lake (confluent de la Sengge rivières et Gar, plateau tibétain, Chine)
Bouche	Sapta Sindhu (près de Karachi, État Sindh, Pakistan)
Les pays du bassin	Pakistan (93%) Inde (5%) Chine (2%)
Emplacement	Tibet (RPC); Ladakh, Jammu-et-Cachemire (Inde); Gilgit Baltistan (Pakistan); Pendjab (Pakistan); Sindh (Pakistan)
Longueur	3200 km (2000 km)
Bouche élévation	0 m (0 ft)
Moy. décharge	6600 m 3 / s (230 000 pi³ / s) à la bouche
Région du bassin	1.165.000 km 2 (450 000 km carrés de)
Affluents gauche	Zanskar River, Chenab, Rivière Sutlej, Soan rivière
Affluents droite	Shyok River, Gilgit, Kaboul River, Kurram River, Gomal

Le canal de Thal, vu de la rivière Indus à Mianwali, dans Punjab.

Le fleuve Indus est un grand fleuve en Asie qui traverse le Pakistan et l'Inde . Il a également des cours par le biais de l'ouest du Tibet (dans les République populaire de Chine ) et Inde du Nord. Originaire du Plateau tibétain dans le voisinage de Lac Mansarovar, la rivière coule un cours à travers le Région du Ladakh de Jammu-et-Cachemire, vers Gilgit Baltistan et se écoule ensuite dans une direction sud le long de toute la longueur du Pakistan à se fondre dans le Mer d'Oman près de la ville portuaire de Karachi dans Sindh. La longueur totale de la rivière est 3180 km (1980 km). Il est du Pakistan le plus long fleuve.

La rivière a une superficie totale de drainage dépassant 1.165.000 km ² (450 000 de km carrés). Son débit annuel estimé se élève à environ 207 km ³ (50 cu km), ce qui en fait le XXIe plus grand fleuve du monde en termes de flux annuel. Zanskar est son affluent de rive gauche au Ladakh. Dans les plaines, son affluent de rive gauche est Chenab, qui lui-même a quatre principaux affluents, à savoir, Jhelum, Ravi, Beas et Satluj. Ses principaux affluents de la rive droite sont Shyok, Gilgit, Kaboul, Gomal et Kurram. En commençant par les hauteurs du monde dans un ressort et nourris avec des glaciers et des rivières de l'Himalaya, les supports de rivière les écosystèmes de forêts tempérées, plaines et paysage aride.

L'Indus constitue la delta du Pakistan et de l'Inde mentionné dans le Védique Rigveda que Sapta Sindhu et Iranic Zend Avesta que Hapta hindoue (deux ensembles de termes signifiant «sept rivières»). La rivière a été une source d'émerveillement depuis la période classique. Roi Darius de Perse envoyé Scylax de Caryanda pour explorer la rivière en 510 BC.

Noms et étymologie

Le sanscrit mot Sindhu signifie rivière, un ruisseau ou l'océan, probablement d'une sidh racine qui signifie «garder off". Sindhu est encore l'appellation locale de la rivière Indus.

Dans le Rig-Veda , «Sindhu» ( sanscrit : सिन्धु). est le nom de la rivière Indus Sindhu est attestée 176 fois dans le Rig-Véda, 95 fois au pluriel, le plus souvent utilisées dans le sens générique. Dans le Rigveda, notamment dans les hymnes plus tard, le sens du mot est rétrécie de se référer à l'Indus en particulier, par exemple dans la liste des rivières de la Sukta Nadistuti. Cela a abouti à l'anomalie d'une rivière avec le sexe masculin: tous les autres Rigvedic rivières sont des femmes, non seulement grammaticalement, imaginés comme étant déesses et par rapport aux vaches et les juments produisant du lait et du beurre.

Le mot Sindhu est devenu Hindou Vieux perse. Le grec ancien Ἰνδός (InDOS, emprunté à son tour en latin Indus) est un emprunt de l'Ancien Mot iranien. Le nom InDOS est utilisé dans le livre de Mégasthène Indica pour le grand fleuve traversé par Alexander basée sur Compte contemporaine de Néarque.

Les anciens Grecs visés aux Indiens (Inde actuelle au-delà de la rivière Indus) que Ἰνδοί (Indói), les gens de l'Indus.

En ourdou , la langue officielle du Pakistan, l'Indus est connu comme درياۓ سندھ (Daryā-e Sindh). Dans d'autres langues de la région, la rivière est connu comme सिन्धु नदी (Sindhu Nadi) dans Hindi, سنڌو (Sindhu) dans Sindhi, سندھ (Sindh) en Punjabi , સિંધુ નદી (Sindhu) dans Gujarati; اباسين ( Abasin, lit. "Père de Rivers») dans Pachtou, رود سند (RUD-e Sind) en Persique, نهر السند (Nahar al-Sind) en arabe , སེང་ གེ ་. ་ གཙང་ པོ (Sengge Zangbo, littéralement "rivière Lion") en Tibet, et dans Nilab Turki.

Description

Babur traversant la rivière Indus.

La rivière Indus fournit des ressources clés de l'eau pour l' économie du Pakistan - en particulier le grenier de La province du Pendjab, qui représente plus de la production agricole de la nation, et du Sindh. Le mot Punjab signifie «l'eau de cinq rivières» et les cinq rivières sont Jhelum, Chenab, Ravi, Beas et Sutlej, qui finalement fusionner dans l'Indus. Indus prend également en charge de nombreuses industries lourdes et fournit l'alimentation principale d' eau potable au Pakistan.

La source ultime de l'Indus est dans le Tibet ; il commence à la confluence de la Sengge et Gar rivières qui drainent les chaînes de montagnes Nganglong Kangri et Gangdise Shan. L'Indus se écoule ensuite au nord-ouest par le biais Ladakh et Baltistan dans Gilgit, juste au sud de la Karakoram. Le Shyok, Shigar et Gilgit rivières portent eaux glaciales dans la rivière principale. Il se plie progressivement vers le sud, sortant des collines entre Peshawar et Rawalpindi. L'Indus passe gorges gigantesques 4,500-5,200 mètres (15,000-17,000 pieds) de profondeur près de la Nanga Parbat massif. Il se écoule rapidement à travers Hazara et est endigué au Tarbela réservoir. Le Rivière Kaboul rejoint le près Attock. Le reste de son parcours à la mer est dans les plaines du Pendjab et du Sindh et le débit de la rivière devient lent et très tressé. Il est rejoint par Panjnad Rivière à Mithankot. Au-delà de cette convergence, la rivière, à un moment, a été nommé la rivière Satnad (sat = "sept", Nadi = «rivière»), que la rivière a été conduit actuellement les eaux de la rivière Kaboul, l'Indus et les cinq Punjab rivières. En passant par Jamshoro, il se termine par un grand delta à l'est de Thatta.

L'Indus est l'un des rares fleuves du monde qui présentent une mascaret. Le système de l'Indus est largement alimenté par les neiges et les glaciers des Himalayas , Karakoram et le Hindu Kush varie du Tibet, l'État indien du Jammu-et-Cachemire et de la Nord du Pakistan respectivement. Le débit de la rivière est également déterminée par les saisons - il diminue fortement en hiver, tout en envahissant ses banques dans le mousson mois de Juillet à Septembre. Il existe également des preuves d'un changement progressif dans le cours de la rivière depuis les temps préhistoriques - il dévié vers l'ouest de se écouler dans le Rann de Kutch et attenante Banni prairies après la 1816 tremblement de terre .

La source traditionnelle de la rivière est le Senge Khabab ou «Bouche du Lion", une source pérenne, non loin de la sacrée Mont Kailash, et est marquée par une longue ligne basse du tibétain chortens. Il ya plusieurs autres affluents à proximité qui peuvent éventuellement former un courant de plus de Senge Khabab, mais contrairement à la Senger Khabab, sont tous dépendants de la fonte des neiges. Le Zanskar qui se jette dans l'Indus au Ladakh a un plus grand volume d'eau que l'Indus lui-même avant ce point.

"Cette nuit-là dans la tente [à côté de Senge Khabab] je demande Sonmatering lequel des affluents de l'Indus que nous avons traversé ce matin est la plus longue. Tout d'entre eux, dit-il, commencer au moins à pied une journée loin d'ici. Le Bukhar commence près le village de Yagra. La source de la Lamolasay est dans un lieu saint: il ya un monastère. Le Dorjungla est une promenade très difficile et long, trois jours peut-être, et il ya beaucoup de roches pointues; mais il est son eau claire et bleue, d'où l'autre nom de l'affluent, Zom-chu, qui Karma Lama se traduit par «Blue Water». Le Rakmajang se élève d'un lac sombre appelé la mer Noire.

Une des plus longues affluents - et donc un candidat pour la source technique de la rivière - est le Kla-chu, la rivière nous avons traversé hier par pont. Aussi connu sous le Lungdep Chu, il se jette dans l'Indus dans le sud-est, et se élève à pied d'un jour de Darchen. Mais Sonamtering insiste pour que le Dorjungla est la plus longue des «trois types d'eau» qui entrent dans la Seng Tsanplo ['Lion River »ou Indus]".

Histoire

Sites archéologiques vallée de l'Indus

Étendue et les principaux sites de la vallée de l'Indus Civilisation 3000 BC

Sites paléolithiques ont été découverts dans Pothohar près de la capitale du Pakistan Islamabad, avec les outils de pierre de la Soan Culture. Dans l'ancienne Gandhara, près de Islamabad, la preuve de troglodytes datée il ya 15000 années a été découvert au Mardan.

Les grandes villes de la civilisation de l'Indus , comme Harappa et Mohenjo Daro, remontent à environ 3300 avant JC, et représentent certaines des plus grandes habitations humaines de l'ancien monde. La civilisation de l'Indus étendu à travers le Pakistan et l'Inde au nord-ouest, avec une portée vers le haut de l'est de Jhelum à Ropar sur le Sutlej supérieure. Les villages côtiers se étendaient de Sutkagan Dor au Pakistan, l'Iran frontière Kutch dans moderne Gujarat, en Inde. Il existe un site de l'Indus sur le Amu Darya au Shortughai nord de l'Afghanistan, et le site de l'Indus Alamgirpur au Hindon River est situé à seulement 28 km (17 mi) de Delhi . À ce jour, plus de 1052 villes et des établissements ont été trouvés, principalement dans la région générale de la Ghaggar et de ses affluents. Parmi les colonies ont été les principaux centres urbains de Harappa et Mohenjo Daro, ainsi que Lothal , Dholavira, Ganweriwala, et Rakhigari. Seulement 90 à 96 des sites vallée de l'Indus-800 plus connus ont été découverts sur l'Indus et de ses affluents. Le Sutlej, maintenant un affluent de l'Indus, dans les temps harappéens coulait dans la rivière Ghaggar-Hakra, dans le bassin versant qui étaient des sites plus que harappéens long de l'Indus.

La plupart des chercheurs croient que les colonies de Gandhara tombe culture de début Indo-Aryens prospéré dans Gandhara de 1700 avant JC à 600 avant JC, lorsque Mohenjo Daro et Harappa avaient déjà été abandonnés.

Le mot «Inde» est dérivé de l'Indus. Dans les temps anciens, "India" appelé d'abord à ces régions immédiatement le long de la rive est de l'Indus, mais en 300 avant JC, écrivains grecs y compris Mégasthène appliquaient le terme à l'ensemble du sous-continent qui se étend beaucoup plus loin vers l'est.

Le bassin inférieur de l'Indus forme une frontière naturelle entre le Plateau iranien et la Sous-continent indien; cette région embrasse tout ou partie des provinces pakistanaises Baloutchistan, Khyber Pakhtunkhwa, Pendjab et Sindh et les pays Afghanistan et l'Inde. Il a été traversé par les armées d'invasion de Alexander , mais après ses Macédoniens ont conquis la banque se joindre à l'ouest hellénique Empire, ils ont choisi de se retirer le long du parcours sud de la rivière, terminant la campagne asiatique d'Alexandre. Les plaines de l'Indus ont ensuite été dominées par l' empire perse , puis le Empire Kushan. Pendant plusieurs siècles Les armées musulmanes de Muhammad bin Qasim, Mahmud de Ghazni, Mohammed Ghori, Tamerlan et Babour traversé la rivière à envahir les régions intérieures du Pendjab et les points plus au sud et à l'est.

Géographie

Affluents

Le fleuve Indus se écoule à travers le Pakistan dans la mer d'Oman

• Nagar rivière
• Astor rivière
• Balram rivière
• Dras rivière
• Gar rivière
• Ghizar rivière
• Gilgit
• Gomal
• Rivière Kaboul
• Kurram rivière
• Panjnad rivière
• Shigar rivière
• Shyok rivière
• Soan rivière
• Tanubal rivière
• Zanskar rivière

Géologie

Confluent de l'Indus et du Zanskar. L'Indus est plus faible en altitude, qui coule de droite à gauche.

Le fleuve Indus alimente le ventilateur sous-marin de l'Indus, qui est le deuxième plus grand corps de sédiments sur la Terre à environ 5 millions de kilomètres cubes de matériaux érodés des montagnes. Études des sédiments dans la rivière moderne indiquent que le Karakoram Montagnes dans le nord du Pakistan et de l'Inde sont la source la plus importante de matériel, avec l'Himalaya fournir la prochaine contribution la plus importante, principalement par les grands fleuves du Punjab (Jhelum, Ravi, Chenab, Beas et Sutlej). L'analyse des sédiments de la mer d'Oman a démontré qu'il ya avant 5.000.000 années l'Indus ne étaient pas raccordées à ces Rivières du Pendjab qui, au lieu coulaient à l'est dans les Ganges et ont été capturés après cette date. Des travaux antérieurs ont montré que le sable et le limon de l'ouest du Tibet avait atteint la mer d'Oman de 45 millions d'années, ce qui implique l'existence d'un ancien fleuve Indus à ce moment. Le delta de ce fleuve de proto-Indus a par la suite été trouvé dans le bassin Katawaz, sur la frontière afghano-pakistanaise.

Dans le Région Nanga Parbat, les quantités massives de l'érosion due à l'Indus après la capture et de reroutage par cette région est pensé pour apporter roches de la croûte moyenne et inférieure à la surface.

Faune

Passerelle sur le fleuve Indus, au Pakistan

Pêcheurs sur le fleuve Indus, c. 1905

Comptes de la vallée de l'Indus de l'époque de la campagne d'Alexandre indiquent une couverture de forêt en santé dans la région, qui a maintenant considérablement reculé. L'empereur moghol Babur écrit de rencontrer des rhinocéros long de sa banque dans ses mémoires (le Baburnama). Extensif la déforestation et l'interférence humaine dans l'écologie de la Shivalik Hills a conduit à une détérioration marquée de la végétation et des conditions de croissance. Les régions vallée de l'Indus sont arides avec végétation pauvre. L'agriculture est soutenue en grande partie en raison de travaux d'irrigation. Indus et son bassin versant a une riche biodiversité. Il abrite environ 25 espèces d'amphibiens et 147 espèces, dont 22 seulement se trouvent dans l'Indus.

Mammifères

Les aveugles Indus Dolphin (Platanista gangetica mineur) est une sous-espèce de dauphins se trouvent que dans la rivière Indus. Il a également eu lieu auparavant dans les affluents de la rivière Indus. Selon le Fonds mondial pour la nature prétend que ce est l'un des plus menacés cétacés avec seulement environ 1000 existant encore.

Poisson

Poissons Palla Tenualosa ilisha de la rivière est un délice pour les personnes vivant le long de la rivière. La population de poissons dans la rivière est modérément élevé, avec Sukkur, Thatta et Kotri étant les principaux centres de pêche - le tout dans le cours bas Sindh. Mais la construction de barrages et de l'irrigation a fait la pisciculture une activité économique importante. Situé au sud-est de Karachi, le grand delta a été reconnu par les écologistes comme l'une des régions écologiques les plus importants du monde. Ici la rivière se transforme en de nombreux marais, rivières et ruisseaux et répond à la mer à des niveaux peu profonds. Voici poissons marins se trouvent en abondance, y compris Pomfret et crevettes.

Économie

L'Indus est le plus important fournisseur de ressources en eau dans les plaines du Pendjab et du Sindh - il forme l'épine dorsale de l'agriculture et la production alimentaire au Pakistan. La rivière est particulièrement critique que les précipitations est maigre dans la basse vallée de l'Indus. Les canaux d'irrigation ont d'abord été construits par les gens de la civilisation vallée de l'Indus, et plus tard par les ingénieurs de la Kushan Empire et l' Empire moghol . L'irrigation moderne a été introduit par la British East India Company en 1850 - la construction de canaux modernes accompagnés de la restauration de vieux canaux. La Colombie a supervisé la construction de l'un des réseaux d'irrigation les plus complexes au monde. Le Guddu Barrage est 1350 m (4430 pieds) de long - irrigation Sukkur, Jacobabad, Larkana et Kalat. Le Sukkur Barrage dessert plus de 20000 km ² (7700 milles carrés).

Après l'entrée du Pakistan dans l'existence, un traité de contrôle de l'eau signé entre l'Inde et le Pakistan en 1960 garantie que le Pakistan recevoir de l'eau de la rivière Indus et ses deux affluents du Jhelum et de la Chenab indépendamment du contrôle en amont par l'Inde.

Le Projet du bassin de l'Indus a consisté principalement en la construction de deux barrages, le Mangla barrage construit sur la rivière Jhelum et de la Barrage de Tarbela construit sur le fleuve Indus, avec leurs barrages subsidiaires. L'Autorité pakistanaise de l'eau et de l'électricité a entrepris la construction de la liaison canal Chashma-Jhelum - reliant les eaux des rivières Indus et de la Jhelum - étendant l'approvisionnement en eau dans les régions de Bahawalpur et Multan. Pakistan construit le Barrage de Tarbela proximité Rawalpindi - debout 2743 mètres (9000 pieds) de long et 143 mètres (470 pi) de hauteur, avec un 80 km (50 mi) à long réservoir. Le Kotri Barrage proximité Hyderabad est de 915 mètres (3000 pieds) de long et offre des fournitures supplémentaires pour Karachi. Il supporte le barrage de Chashma près de Dera Ismail Khan utiliser pour l'irrigation et le contrôle des inondations. pour le Taunsa Barrage proximité Dera Ghazi Khan produit 100 000 kilowatts d'électricité. La liaison étendue de affluents de l'Indus a aidé les ressources en eau de se propager à la vallée de Peshawar, dans le Khyber Pakhtunkhwa. Les vastes projets d'irrigation et de barrages fournissent la base pour une production du Pakistan de cultures telles que le coton , la canne à sucre et le blé . Les barrages produisent également de l'électricité pour les industries lourdes et les centres urbains.

Personnes

La rivière Indus près Skardu, dans Gilgit-Baltistan.

Le Dubair Khwarr, un affluent de l'Indus, près de Shaikhdara, dans Khyber Pakhtunkhwa.

Les habitants des régions traversées par le fleuve Indus passe et forme une caractéristique naturelle majeure et des ressources sont divers sur le plan ethnique, la religion, national et origines linguistiques. Sur le parcours nord de la rivière dans l'état de Jammu-et-Cachemire en Inde, vivent les bouddhistes de personnes Ladakh, des Souche tibétaine et le Des normes Indo-aryenne ou Dardic stocks et pratiquant le bouddhisme et l'islam . Ensuite, il descend dans Baltistan, le nord du Pakistan en passant la principale ville de Balti Skardu.On sa rivière de cours de Dubair Bala draine également en elle au Dubair Bazar.People vivant dans cette zone sont principalement Kohistani et parler zones Kohistani language.Major à travers lequel la rivière Indus passer en Kohistan sont Dasus, Pattan et Dubair. Comme il continue à travers le Pakistan, l' Indus fleuve forme une frontière distinctif de l'appartenance ethnique et cultures - sur les banques occidentales la population est en grande partie pachtoune , Baloch, et d'autres Iranic stocks, des liens culturels, économiques et ethniques étroits est de l'Afghanistan et des parties de l'Iran. Les banques de l'Est sont largement peuplées par des gens de Stock indo-aryenne, comme le Punjabis et la Sindhis. Dans le nord du Pendjab et du Khyber Pakhtunkhwa, les tribus pachtounes vivent à côté Dardic personnes dans les collines ( Khowar, Kalash, Shina, etc.), Burushos (en Hunza), et People.In Punjabi la province de Sindh, les gens de Milieux sindhi forment les populations locales. Sur la rive ouest de la rivière vivent la Baloutches et pachtounes gens de Baloutchistan.

Questions actuelles

Les images satellites de la haute vallée de l'Indus, en comparant les niveaux d'eau le 1er Août 2009 (en haut) et le 31 Juillet 2010 (en bas)

L'Indus est une ressource stratégique vitale pour l'économie et la société du Pakistan. Après l'Inde est devenue indépendante en 1947 et le Pakistan est née en 1947, l'utilisation des eaux de l' Indus et de ses affluents orientaux cinq est devenu un conflit majeur entre l'Inde et le Pakistan. Les canaux d'irrigation de la Vallée de Sutlej et de la Bari Doab été divisé - avec les canaux situés principalement au Pakistan et les barrages de headwork en Inde qui perturbent l'offre dans certaines régions du Pakistan. Le souci de l'Inde la construction de grands barrages sur diverses Rivières du Pendjab qui pourrait nuire l'alimentation circulant au Pakistan, ainsi que la possibilité que l'Inde pourrait détourner des rivières dans le temps de guerre, ont causé la consternation politique au Pakistan. Tenir des pourparlers diplomatiques négociés par le La Banque mondiale, l'Inde et le Pakistan ont signé la Traité des eaux de l'Indus en 1960. Le traité a donné l'Inde contrôle des trois rivières orientales du Pendjab, le Sutlej, le Beas et de la Ravi, tandis que le Pakistan a pris le contrôle des trois rivières de l'Ouest, le Jhelum, le Chenab et l'Indus. L'Inde a conservé le droit d'utiliser des rivières de l'Ouest pour des projets non-irrigation. (Voir la discussion au sujet d'un récent différend au sujet d'un projet hydroélectrique sur la Chenab (non Indus) connu sous le nom Projet Baglihar).

On craint que la déforestation massive, la pollution industrielle et le réchauffement climatique affectent la végétation et la faune du delta de l'Indus, tout en affectant la production agricole ainsi. Il ya concerne également que le fleuve Indus peut être en train de changer son cours vers l'ouest - même si la progression de plusieurs siècles. À de nombreuses reprises, les sédiments colmatage en raison d'un mauvais entretien des canaux a affecté la production agricole et de la végétation. En outre, la chaleur extrême a causé l'eau de se évaporer, laissant des dépôts de sel qui rendent inutiles les terres pour la culture.

Récemment, la construction de l'Inde de barrages sur la rivière, dont le Pakistan prétend est en violation de la réduction du débit d'eau traité eaux de l'Indus au Pakistan, a causé Pakistan à prendre la question aux tribunaux internationaux d'arbitrage.

Effets du changement climatique sur le fleuve

Le Plateau tibétain contient troisième plus grand magasin du monde de glace. Qin Dahe, l'ancien chef de l'Administration météorologique chinoise, a déclaré la récente rythme rapide de la fusion et des températures plus chaudes sera bon pour l'agriculture et le tourisme dans le court terme, mais a émis un avertissement fort:

"Les températures augmentent quatre fois plus vite qu'ailleurs en Chine, et les glaciers tibétains reculent à une vitesse plus élevée que dans toute autre partie du monde ... A court terme, cela va provoquer des lacs de se développer et apporter des inondations et des coulées de boue. . À long terme, les glaciers sont les artères vitales de la rivière Indus. Une fois qu'ils disparaissent, l'approvisionnement en eau au Pakistan seront en péril ".

"Il y a [ sic] suffisamment de données pour dire ce qu'il adviendra de l'Indus, "dit David Grey, conseiller d'eau principal de la Banque mondiale en Asie du Sud." Mais nous avons tous des craintes très désagréables que les flux de l'Indus pourrait être sévèrement, durement touchée par le glacier fondre comme une conséquence du changement climatique », et peut-être réduit de près de 50 pour cent." Maintenant, qu'est-ce que cela signifie pour une population qui vit dans un désert [où], sans la rivière, il n'y aurait pas de vie? Je ne connais pas la réponse à cette question, "dit-il." Mais nous avons besoin de se inquiéter à ce sujet. Profondément, profondément préoccupé. "

Pollution

Au fil des ans usines sur les rives de la rivière Indus ont augmenté les niveaux de pollution de l'eau dans la rivière et l'atmosphère autour d'elle. Des niveaux élevés de polluants dans la rivière ont conduit à la mort de danger Indus Dolphin. L'Agence Sindh protection de l'environnement a ordonné usines polluantes autour de la rivière pour arrêter vertu de la Loi Pakistan protection de l'environnement, 1997. Mort du Indus Dolphin a également été attribué aux pêcheurs utilisant de poison pour tuer les poissons et les ramassant. En conséquence, le gouvernement a interdit la pêche de Barrage à Guddu Sukkur.

2010 inondations

Zones touchées au 26 Août 2010

En Juillet 2010, à la suite anormalement lourde pluies de mousson, l'Indus élevaient au-dessus de son lit et ont commencé à affluer. La pluie a continué pendant les deux prochains mois, dévastant de vastes zones du Pakistan. Dans le Sind, l'Indus a débordé près Sukkur le 8 Août, submergeant le village de Mor Khan Jatoi. Au début Août, le plus lourd inondations déplace vers le sud le long du fleuve Indus des régions gravement touchées du nord vers l'ouest Punjab, où au moins 1,4 millions d'acres (570 000 ha) de terres cultivées ont été détruits, et la province méridionale du Sindh. En Septembre 2010, plus de deux mille personnes étaient mortes et plus d'un million de foyers avaient été détruits depuis le début des inondations.

2011 inondations

Le 2011 Sindh inondations ont commencé au cours de la saison de la mousson pakistanaise à la mi-Août 2011, résultant de fortes pluies de mousson dans le Sindh, Baloutchistan, orientale et le sud du Pendjab. Les inondations ont causé des dégâts considérables; on estime que 434 civils ont été tués, avec 5,3 millions de personnes et 1.524.773 foyers touchés. Sindh est une région fertile et souvent appelée le «grenier» du pays; les dommages et frais des inondations sur l'économie agraire locale a été dit d'être vaste. Au moins 1,7 millions hectares (690 000 ha; 2700 sq mi) de terres arables ont été inondés. L'inondation a suivi les inondations de l'année précédente, qui a dévasté une grande partie du pays. Sans précédent pluies de mousson torrentielles ont causé de graves inondations dans 16 districts du Sindh.