Coton

Coton
Histoire du coton
Termes
Culture de rente Marchandise Cottonopolis Cotton Belt Coton diplomatie King Cotton
Types
Gossypium hirsutum Gossypium barbadense Cotonnier en arbre Gossypium herbaceum Le coton biologique
Production
Machines filature de coton Égreneuse de coton filature de coton Cueilleur de coton Coton mercerisé Spinning Jenny Mule Spinning Rouet Cadre sur l'Eau
Tissu
Batiste Velours côtelé Toile de jean Seersucker Éponge

Cueillette du coton en Oklahoma, Etats-Unis, dans les années 1890

Le coton est un aliment de base moelleux douce fibres qui pousse dans un capsules, ou d'une capsule de protection, autour des graines de plantes de coton du genre Gossypium. La fibre est presque pur cellulose. Dans des conditions naturelles, les boules de coton ont tendance à augmenter la dispersion des graines.

L'usine est un arbuste originaire des régions tropicales et subtropicales du monde entier, y compris les Amériques, l'Afrique et l'Inde. La plus grande diversité d'espèces sauvages de coton se trouve au Mexique, suivi par l'Australie et l'Afrique. Coton a été domestiquée indépendamment dans l'Ancien et le Nouveau Monde. Le nom anglais dérive du qutn arabe (al) قطن, qui a commencé à être utilisé vers 1400 CE. Le mot espagnol, "algodón", est également dérivé de l'arabe.

La fibre est le plus souvent filé en filés ou de fils et utilisé pour faire, un doux et respirant textile . L'utilisation du coton pour le tissu est connu à ce jour à la préhistoire; fragments de tissu de coton datant de 5000 avant notre ère ont été fouillés au Mexique et civilisation de l'Indus (aujourd'hui Pakistan). Bien cultivée depuis l'antiquité, ce est l'invention de la égreneuse de coton que tant abaissé le coût de production qui a conduit à son utilisation répandue, et il est le plus largement utilisé la naturelle tissu de fibres dans les vêtements aujourd'hui.

Les estimations actuelles pour la production mondiale sont environ 25 millions de tonnes par an, ce qui représente 2,5% des terres arables de la planète. La Chine est le plus grand producteur mondial de coton, mais la plupart de ce est utilisé au pays. Les Etats-Unis a été le plus grand exportateur de nombreuses années.

Types de coton

Il existe quatre espèces cultivées commercialement de coton, tous les domestiques dans l'antiquité:

• Gossypium hirsutum - coton upland, originaire d' Amérique centrale , le Mexique, les Caraïbes et le sud de la Floride, (90% de la production mondiale)
• Gossypium barbadense - connu sous le nom de coton extra-longues fibres, originaire d'Amérique du Sud tropicale (8% de la production mondiale)
• Cotonnier en arbre - Arbre coton, originaire de l'Inde et le Pakistan (moins de 2%)
• Gossypium herbaceum - coton Levant, originaire d'Afrique du sud et la péninsule arabique (moins de 2%)

Les deux espèces de coton du Nouveau Monde représentent la grande majorité de la production moderne de coton, mais les deux espèces de l'Ancien Monde ont été largement utilisés avant les années 1900. Alors que les fibres de coton sont naturellement présents dans les couleurs de blanc, brun, rose et vert, les craintes de contamination génétique de coton blanc ont conduit de nombreux endroits de culture du coton à interdire la culture de variétés de coton de couleur, qui restent un produit de spécialité.

Histoire

des plants de coton tirées par imaginé et John Mandeville au 14ème siècle

Le coton a été d'abord cultivé dans le Vieux Monde il ya 7000 années (5e millénaire avant notre ère), par les habitants de la civilisation de l'Indus. Preuve de la culture du coton a été trouvé sur le site de Mehrgarh, où les premiers fils de coton ont été conservés dans des perles de cuivre. La culture du coton est devenue plus répandue au cours de la civilisation de l'Indus , qui couvrait tout un pan de la partie nord-ouest de l'Asie du Sud, comprenant des parties de l'est aujourd'hui le Pakistan et le nord-ouest de l'Inde. L'industrie du coton Indus a été bien développée et des méthodes utilisés dans la filature du coton et de la fabrication a continué à être utilisés jusqu'à l'industrialisation moderne de l'Inde. Entre 2000 et 1000 BCE coton se est répandue dans une grande partie de l'Inde. Par exemple, il a été trouvé sur le site de Hallus dans Karnataka environ 1000 BCE. L'utilisation de textiles de coton se était propagé de l'Inde à la Méditerranée et au-delà.

Tissus de coton découverts dans une grotte près de Tehuacán, Mexique ont été datés à environ 5800 BCE, mais il est difficile de savoir avec certitude en raison de la décomposition de la fibre. Autres sources datent la domestication du coton au Mexique à environ 5000 à 3000 avant notre ère.

Les Grecs et les Arabes ne étaient pas familiers avec du coton jusqu'à la Guerres d'Alexandre le Grand, comme son contemporain Mégasthène dit Séleucos Ier de «qu'il y ait des arbres sur lesquels la laine pousse" dans "Indica".

Selon le Columbia Encyclopedia:

Le coton a été filé, tissé et teint depuis les temps préhistoriques. Il revêtit le peuple de l'Inde antique, l'Egypte et la Chine. Des centaines d'années avant l'ère chrétienne, textiles de coton ont été tissés en Inde avec une habileté incomparable, et leur utilisation se propagent aux pays méditerranéens.

En Iran ( Perse ), l'histoire du coton remonte à la Époque achéménide (5ème siècle avant notre ère); cependant, il existe peu de sources sur la plantation de coton en Iran pré-islamique. La plantation du coton était commun dans Merv, Ray et Pars en Iran. Dans les poèmes de poètes persans , en particulier Ferdowsi de Shahname, il ya des références au coton ("panbe" dans Persan). Marco Polo (13ème siècle) se réfère aux principaux produits de la Perse, y compris le coton. John Chardin, un voyageur français du 17ème siècle, qui avait visité le Perse safavide, a approuvé les vastes exploitations de coton de la Perse.

Pendant le Dynastie des Han, le coton était cultivé par les peuples non chinois dans la province chinoise méridionale de Yunnan.

Dans le Pérou , la culture des espèces indigènes de coton Gossypium barbadense était l'épine dorsale du développement des cultures côtières, comme le Norte Chico, Moche et Nazca. Le coton a été cultivé en amont, fait dans les filets et négociés avec les villages de pêche le long de la côte pour les grandes réserves de poissons. Les Espagnols qui sont venus au Mexique et au Pérou au début du 16ème siècle a trouvé les gens de plus en plus de porter des vêtements de coton et de fait.

Au cours de la fin de la période médiévale, le coton est devenu connu comme une fibre importée en Europe du Nord, sans aucune connaissance de la façon dont il est dérivé, d'autres que ce était une plante; notant ses similitudes avec la laine, les gens de la région ne pouvaient imaginer que le coton doit être produite par les moutons de l'usine origine. John Mandeville, écrit en 1350, a déclaré que fait la croyance maintenant absurde: "Il a grandi là-bas [en Inde] un arbre merveilleux qui portait minuscules agneaux sur les ENDES de ses branches Ces branches sont si souples qu'ils se pencha pour permettre aux agneaux. pour nourrir quand ils sont hungrie [ sic]. "(Voir Agneau tartare) Cet aspect est conservé dans le nom pour le coton dans de nombreuses langues européennes, comme l'allemand Baumwolle, qui se traduit par "laine de bois» (Baum signifie "arbre";. Wolle signifie «laine»). À la fin du 16ème siècle, le coton était cultivé dans les régions plus chaudes en Asie et dans les Amériques.

Le Agneau tartare

Le secteur coton de traitement de l'Inde a progressivement diminué lors de l'expansion britannique en Inde et l'établissement de la domination coloniale pendant la fin du 18e et début du 19e siècles. Ceci est largement dû aux politiques mercantiles colonialistes agressifs de la British East India Company , qui a fait des ateliers de transformation du coton et de fabrication en Inde compétitive. Marchés indiens ont été de plus en plus contraints à ne fournir que le coton brut et ont été contraints, par la loi britannique imposée, d'acheter textiles fabriqués à partir de la Grande-Bretagne.

Révolution industrielle en Grande-Bretagne

L'avènement de la révolution industrielle en Grande-Bretagne a fourni une grande impulsion à la production de coton, les textiles ont émergé comme principal produit d'exportation de la Grande-Bretagne. En 1738, Lewis et Paul John Wyatt, de Birmingham , en Angleterre, breveté la machine rouleau de filature, et le système dépliant et-canette pour le dessin coton pour un plus même épaisseur utilisant deux jeux de galets qui voyageaient à des vitesses différentes. Par la suite, l'invention de la spinning jenny en 1764 et Richard Arkwright de métier à filer (basé sur la machine à filer à rouleaux) en 1769 a permis tisserands britanniques pour produire des fils de coton et de tissu à des taux beaucoup plus élevés. De la fin du 18e siècle, la ville britannique de Manchester a acquis le surnom " Cottonopolis "en raison de l'omniprésence de l'industrie du coton dans la ville, et le rôle de Manchester comme le cœur du commerce du coton. Capacité mondiale de production en Grande-Bretagne et les États-Unis a été améliorée par l'invention de la égreneuse de coton par l'American Eli Whitney en 1793. Avant le développement des usines d'égrenage, les fibres de coton devait être tiré à partir des graines péniblement à la main. À la fin des années 1700 un certain nombre de machines d'égrenage brut avait été développés, cependant, pour produire une balle de coton nécessaire plus de 600 heures de travail humain, rendant la production à grande échelle rentable aux États-Unis, même avec l'utilisation d'êtres humains comme des esclaves. Le gin Whitney fabriqué (la conception Holmes) réduit les heures vers le bas juste une douzaine par balle. Bien que Whitney breveter son propre design pour un gin de coton, il a fabriqué une conception préalable de Henry Odgen Holmes, pour lesquels Holmes a déposé un brevet en 1796. L'amélioration de la technologie et en renforçant le contrôle des marchés mondiaux permis aux négociants britanniques de développer une chaîne commerciale dans laquelle le coton brut fibres étaient (au début) acheté des plantations coloniales, transformé en tissu de coton dans les usines de Lancashire, puis exporté sur les navires britanniques de captivité marchés coloniaux Afrique De L'Ouest, Inde et la Chine (via Shanghai et Hong Kong).

Dans les années 1840, l'Inde ne était plus capable de fournir les grandes quantités de fibres de coton nécessaires par les usines britanniques mécanisés, alors que l'expédition encombrant, faible prix du coton de l'Inde à la Grande-Bretagne était temps long et coûteux. Ceci, couplé avec l'émergence de coton américain comme un type supérieur (en raison des longues fibres, plus fort des deux espèces indigènes américains domestiques, Gossypium hirsutum et Gossypium barbadense), a encouragé les commerçants britanniques d'acheter des plantations de coton aux États-Unis et de la Caraïbes. Vers le milieu du 19e siècle, " King Cotton »est devenu l'épine dorsale de l'économie sud-américain. Aux États-Unis, la culture et la récolte de coton est devenu la principale occupation des esclaves.

Pendant la guerre de Sécession , les exportations de coton américains ont chuté en raison d'une Union blocus sur Ports du Sud, également en raison d'une décision stratégique prise par le gouvernement confédéré de couper les exportations, dans l'espoir de forcer la Grande-Bretagne de reconnaître la Confédération ou entrer dans la guerre, ce qui incite les principaux acheteurs de coton, la Grande-Bretagne et la France à se tourner vers égyptienne coton. Commerçants britanniques et françaises ont investi massivement dans les plantations de coton et le gouvernement égyptien de Viceroy Isma'il a pris des prêts substantiels de banquiers européens et des bourses. Après la guerre de Sécession a pris fin en 1865, les commerçants britanniques et français abandonnés Coton égyptien et est retourné aux exportations américaines à bas prix, l'envoi de l'Egypte dans une spirale du déficit qui a conduit le pays déclarant la faillite en 1876, un facteur clé derrière l'Egypte occupation par l'Empire britannique en 1882.

Prisonniers agricoles de coton sous la fidèle au système Parchman Farm, Mississippi, 1911

Cueillette du coton en Géorgie, États-Unis, en 1943

Pendant ce temps, la culture du coton dans l'Empire britannique, en particulier l'Inde, a considérablement augmenté pour remplacer la production perdue de l'Amérique du Sud. Grâce droits de douane et autres restrictions, le gouvernement britannique a découragé la production de tissu de coton en Inde; plutôt, la fibre brute a été envoyé en Angleterre pour le traitement. L'Indien Mahatma Gandhi a décrit le processus:

1. Les Anglais achètent coton indien dans le domaine, choisi par la main-d'œuvre indienne à sept cents par jour, par le biais d'un monopole en option.
2. Ce coton est expédié sur des navires britanniques, un voyage de trois semaines à travers l'océan Indien, en baisse de la mer Rouge, à travers la Méditerranée, grâce à Gibraltar, à travers le golfe de Gascogne et l'océan Atlantique à Londres. Cent lucratif pour cent sur ce fret est considéré comme faible.
3. Le coton est transformé en tissu dans le Lancashire. Vous payez les salaires shillings au lieu de quelques centimes indiennes à vos travailleurs. Le travailleur anglais a non seulement l'avantage de meilleurs salaires, mais les entreprises sidérurgiques de l'Angleterre obtenir le bénéfice de la construction des usines et des machines. Salaires; bénéfices; tout cela est passé en Angleterre.
4. Le produit fini est renvoyé en Inde à des taux d'expédition européens, une fois de plus sur des navires britanniques. Les capitaines, officiers, matelots de ces navires, dont les salaires doivent être payés, sont l'anglais. Les seuls qui profitent Indiens sont quelques lascars qui font le sale boulot sur les bateaux pour quelques cents par jour.
5. Le tissu est finalement revendue aux rois et les propriétaires de l'Inde qui ont obtenu l'argent pour acheter ce tissu cher sur les paysans pauvres de l'Inde qui ont travaillé à sept cents par jour. (Fisher 1932 pp 154-156)

Aux États-Unis, le coton du Sud a fourni des capitaux pour la poursuite du développement du Nord. Le coton produit par les esclaves afro-américains a non seulement aidé le Sud, mais aussi enrichi marchands du Nord. Une grande partie du coton du Sud a été transbordé dans les ports du nord.

Coton est resté une culture clé dans l'économie du Sud après émancipation et la fin de la guerre civile en 1865. Partout dans le Sud, métayage évolué, dans lequel les agriculteurs noirs libres et les fermiers blancs sans terre a travaillé dans les plantations appartenant à des Blancs coton des riches en échange d'une part des bénéfices. Les plantations de coton nécessaires forces de travail vastes à la main-pick coton, et il ne était pas jusqu'à ce que les années 1950 que les machines de récolte fiable a été introduit dans le Sud (avant cela, machines coton-récolte avait été trop maladroit pour ramasser le coton sans déchiquetage des fibres). Au début du 20e siècle, l'emploi dans l'industrie du coton est tombé, car les machines ont commencé à remplacer les travailleurs, et main-d'œuvre rurale du Sud diminuaient pendant les Première et Seconde Guerres mondiales. Aujourd'hui, le coton reste un important produit d'exportation du sud des Etats-Unis, et une majorité de la récolte annuelle de coton dans le monde est de la variété américaine longues fibres.

Cultivation

Coton labour dans Togo , 1928

Cueillette du coton en Arménie dans les années 1930. Pas de coton est cultivé aujourd'hui.

Coton prêt à l'expédition, Houston, Texas (carte postale, vers 1911)

Coton récolté dans Tennessee (2006)

modules de coton en Australie (2007)

Culture réussie de coton nécessite une longue sans gel de période, beaucoup de soleil, et une pluviométrie modérée, généralement de 600 à 1200 mm (24 à 48 pouces). Les sols ont généralement besoin d'être assez lourd, bien que le niveau de nutriments n'a pas besoin d'être exceptionnelle. En général, ces conditions sont remplies dans les tropiques saisonnièrement sèches et subtropicales dans les hémisphères Nord et Sud, mais une grande partie du coton cultivé aujourd'hui est cultivé dans les zones avec moins de précipitations qui obtiennent l'eau de l'irrigation. Production de la culture pour une année donnée débute généralement peu après la récolte de l'automne précédent. Moment de la plantation au printemps dans l'hémisphère Nord varie depuis le début de Février au début de Juin. La zone des Etats-Unis connue sous le nom South Plains est la plus grande région de culture du coton contiguë dans le monde. Alors que des terres arides (non irriguées) le coton est cultivé avec succès dans cette région, des rendements constants ne sont produits avec forte dépendance sur l'irrigation de l'eau tirée de la Aquifère Ogallala. Comme le coton est un peu de sel et à la sécheresse, ce qui rend une culture attrayante pour les régions arides et semi-arides. Comme les ressources en eau se resserrent partout dans le monde, les économies qui en dépendent face à des difficultés et des conflits, ainsi que des problèmes environnementaux potentiels. Par exemple, les pratiques de culture et d'irrigation inadéquates ont conduit à la désertification dans les régions de l'Ouzbékistan , où le coton est un produit d'exportation majeur. Dans les jours de l' Union soviétique , la mer d'Aral a été exploité pour l'irrigation agricole, en grande partie du coton, et maintenant la salinisation est très répandue.

Le coton peut également être cultivée avoir des couleurs autres que le blanc cassé jaune typique de fibres de coton commerciales modernes. Naturellement coton de couleur peut venir dans les tons rouges, verts, et plusieurs de brun.

La modification génétique

Génétiquement modifié (GM) de coton a été développé afin de réduire la forte dépendance sur les pesticides. La bactérie Bacillus thuringiensis (Bt) produit naturellement un produit chimique nocif seulement à une petite fraction des insectes, en particulier les larves de mites et les papillons, coléoptères , et mouches, et sans danger pour les autres formes de vie. Le gène codant pour la toxine Bt a été inséré dans le coton, provoquant coton pour produire cet insecticide naturel dans ses tissus. Dans de nombreuses régions, les principaux ravageurs de coton commercial sont larves de lépidoptères, qui sont tués par la protéine Bt dans le coton transgénique qu'ils mangent. Ceci élimine la nécessité d'utiliser de grandes quantités d'insecticides à large spectre pour tuer les parasites de lépidoptères (dont certains ont développé résistance aux pyréthrinoïdes). Cette épargne insectes prédateurs naturels dans l'écologie agricole et contribue encore à la lutte antiparasitaire noninsecticide.

Le coton Bt est inefficace contre de nombreux ravageurs du coton, cependant, comme punaises, Punaises, et les pucerons ; selon les circonstances, il peut encore être souhaitable d'utiliser des insecticides contre ces. Une étude de 2006 effectuée par des chercheurs de Cornell, le Centre for Chinese Agricultural Policy et l'Académie chinoise des sciences sur le Bt la culture du coton en Chine a révélé que, après sept ans, ces ravageurs secondaires qui étaient normalement contrôlés par pesticide avaient augmenté, ce qui nécessite l'utilisation de pesticides au même niveaux à coton non Bt et causant moins de profit pour les agriculteurs en raison de la dépense supplémentaire de semences génétiquement modifiées. Cependant, une étude de 2009 par l'Académie chinoise des sciences, Université de Stanford et de l'Université Rutgers a réfuté cela. Ils ont conclu que le coton GM effectivement contrôlée ver. Les ravageurs secondaires étaient principalement Miridae (punaises) dont augmentation était liée à la température locale et précipitations et seulement continué d'augmenter dans la moitié des villages étudiés. En outre, l'augmentation de l'utilisation d'insecticides pour le contrôle de ces insectes secondaires était beaucoup plus petite que la réduction de l'utilisation de l'insecticide totale due à l'adoption du coton Bt. Une étude chinoise 2012 a conclu que le coton Bt réduit de moitié l'usage des pesticides et a doublé le niveau de coccinelles, les chrysopes et les araignées. Le Service international pour l'acquisition d'applications agricoles biotechnologiques (ISAAA) a déclaré que, dans le monde entier, le coton GM a été planté sur une superficie de 25 millions d'hectares en 2011. Ce était 69% de la superficie totale plantée dans le monde entier coton.

GM superficie de coton en Inde a augmenté à un rythme rapide, passant de 50 000 hectares en 2002 à 10.600.000 hectares en 2011. La superficie totale de coton en Inde était de 12,1 millions d'hectares en 2011, de sorte que le coton GM était cultivé sur 88% de la superficie de coton. Ce fait de l'Inde le pays avec la plus grande superficie de coton GM dans le monde. Une étude à long terme sur les impacts économiques du coton Bt en Inde, publiée dans le Journal PNAS en 2012, a montré que le coton Bt a augmenté les rendements, les bénéfices, et les normes de petits agriculteurs vivant. La récolte de coton américain GM était de 4,0 millions d'hectares en 2011, la seconde plus grande zone dans le monde, les Chinois récolte de coton GM était le troisième par zone avec 3,9 millions d'hectares et le Pakistan eu la quatrième plus grande zone de culture du coton GM de 2,6 millions d'hectares en 2011. L'introduction initiale de coton GM se est avéré être un succès en Australie - les rendements étaient équivalents aux variétés non transgéniques et la culture utilisés beaucoup moins de pesticides pour produire (réduction de 85%). L'introduction ultérieure d'une deuxième variété de coton GM a conduit à l'augmentation de la production de coton GM jusqu'à 95% de la récolte australienne de coton GM était en 2009 faisant l'Australie le pays avec le cinquième plus grand récolte de coton GM dans le monde. Autres pays producteurs de coton GM en 2011 étaient l'Argentine, le Myanmar, le Burkina Faso, le Brésil, le Mexique, la Colombie, l'Afrique du Sud et le Costa Rica.

Le coton a été génétiquement modifié pour la résistance à glyphosate (commercialisé sous le Roundup en Amérique du Nord), un herbicide à large spectre vendu par Monsanto qui vend également une partie des semences de coton Bt aux agriculteurs. Il ya aussi un certain nombre d'autres entreprises de semences de coton vendant GE coton dans le monde entier. Environ 62% du coton GM augmenté de 1996 à 2011 était résistant aux insectes, 24% produit empilé et de l'herbicide 14% résistant.

Le coton a gossypol, une toxine qui le rend immangeable. Cependant, les scientifiques ont fait taire le gène qui produit la toxine, ce qui en fait une culture vivrière potentiel.

La production biologique

Le coton biologique est généralement entendu que le coton, à partir de plantes non génétiquement modifiés, qui sont autorisés à être cultivés sans utilisation de produits chimiques agricoles synthétiques, tels que les engrais ou pesticides. Sa production favorise et améliore la biodiversité et les cycles biologiques aussi. Plantations de coton des États-Unis sont tenus de respecter la National Organic Program (NOP). Cette institution détermine les pratiques autorisées pour la lutte antiparasitaire, de plus en plus, la fertilisation et la manipulation des cultures biologiques. En 2007, 265 517 balles de coton biologique ont été produites dans 24 pays, et la production mondiale a progressé à un taux de plus de 50% par an.

Ravageurs et les mauvaises herbes

Binage un champ de coton pour enlever les mauvaises herbes, Greene County, Géorgie, Etats-Unis, 1941

Femme et de la nymphe Bug coton Harlequin

L'industrie du coton se appuie fortement sur les produits chimiques, tels que herbicides, engrais et insecticides, même si un très petit nombre d'agriculteurs se orientent vers un organique modèle de production, et des produits en coton bio sont maintenant disponibles à l'achat à des endroits limités. Ce sont populaires pour les vêtements de bébé et couches. Dans la plupart des définitions, les produits biologiques ne utilisent pas ingénierie génétique. Tous les produits naturels de coton sont connues pour être à la fois durable et hypoallergénique.

Historiquement, en Amérique du Nord, l'un des ravageurs les plus économiquement destructrice dans la production de coton a été la charançon des capsules. En raison de Département américain de l'agriculture très réussie Boll Weevil Programme d'éradication (de BWEP), ce ravageur a été éliminé de coton dans la plupart des États-Unis. Ce programme, ainsi que l'introduction de génie génétique Le coton Bt (qui contient une bactérie gène qui code pour un produit végétal- protéine qui est toxique pour un certain nombre de parasites tels que ver du cotonnier et ver rose du cotonnier), a permis une réduction de l'utilisation des insecticides synthétiques.

Autres ravageurs importants mondiaux de coton sont les ver rose du cotonnier, Gossypiella Pectinophora; les thrips de piment, Scirtothrips dorsalis; le bug de graines de coton, Oxycarenus hyalinipennis; la punaise de ternissement, Lygus lineolaris; et la légionnaire d'automne, Spodoptera frugiperda, Citri subsp Xanthomonas. malvacearum.

Récolte

Déchargement coton fraîchement récoltés dans un constructeur de module Texas; précédemment modules intégrés peuvent être vus dans le fond

Coton étant ramassé à la main dans l'Inde , 2005.

La plupart de coton aux Etats-Unis, en Europe et en Australie est récolté mécaniquement, soit par un cueilleur de coton, une machine qui supprime le coton de la capsule sans endommager la plante de coton, ou par une strip-teaseuse de coton, qui exclut l'ensemble des capsules hors de l'usine. décapants de coton sont utilisés dans les régions où il ya trop de vent de cultiver des variétés de picker de coton, et généralement après l'application d'un produit chimique défoliant ou la défoliation naturel qui se produit après un gel. Le coton est une culture pérenne dans les tropiques, et sans la défoliation ou la congélation, l'usine va continuer à croître.

Coton continue d'être ramassé à la main dans pays en voie de développement.

La concurrence des fibres synthétiques

L'ère de fibres manufacturés a commencé avec le développement de rayonne en France dans les années 1890. Rayon est dérivé d'une cellulose naturelle et ne peut être considérée synthétique, mais nécessite un traitement poussé dans un processus de fabrication, et a conduit au remplacement des matériaux moins coûteux plus naturellement dérivés. Une succession de nouvelles fibres synthétiques ont été introduits par l'industrie des produits chimiques dans les décennies suivantes. Acétate sous forme de fibres a été développée en 1924. Nylon, la première fibre synthétique entièrement de la pétrochimie, a été présenté comme un fil à coudre par DuPont en 1936, suivie par DuPont acrylique en 1944. Certains vêtements ont été créés à partir de tissus à base de ces fibres, tels que les femmes bonneterie à partir de nylon, mais il ne était pas jusqu'à l'introduction de polyester dans le marché de la fibre dans les années 1950 que le marché pour le coton est venu sous la menace. L'absorption rapide de vêtements en polyester dans les années 1960 a causé des difficultés économiques dans les économies exportateurs de coton, en particulier dans les pays d'Amérique centrale, comme le Nicaragua , où la production de coton a explosé décuplé entre 1950 et 1965 avec l'avènement de pesticides chimiques bon marché. La production de coton récupéré dans les années 1970, mais se est écrasé aux niveaux pré-1960 au début des années 1990.

Commençant comme un programme d'auto-assistance au milieu des années 1960, le Programme de recherche et la promotion du coton (CRPP) a été organisée par les producteurs de coton des États-Unis en réponse au déclin régulier de coton en part de marché. A cette époque, les producteurs ont voté pour mettre en place un système d'évaluation par-balles pour financer le programme, avec des garanties intégrées pour protéger leurs investissements. Avec l'adoption de la loi sur la recherche et la promotion du coton de 1966, les forces du programme rejoint et a commencé à battre les concurrents synthétiques et les marchés de rétablissement pour le coton. Aujourd'hui, le succès de ce programme a fait l'coton fibre best-seller aux Etats-Unis et l'une des fibres les plus vendus dans le monde.

Administré par le Cotton Board et menée par Cotton Incorporated, le CRPP travaille à augmenter considérablement la demande et la rentabilité du coton à travers diverses activités de recherche et de promotion. Il est financé par les producteurs et les importateurs de coton américains.

Utilisations

Un affichage d'un fabricant de coton britannique de points utilisé dans un filature de coton au cours de la révolution industrielle .

Le coton est utilisé pour faire un certain nombre de produits textiles. Il se agit notamment éponge pour le bain très absorbante serviettes et peignoirs; denim pour jeans; batiste, communément utilisé dans la fabrication de chemises bleu de travail (à partir de laquelle nous obtenons le terme " col bleu "), et velours côtelé, seersucker, et le coton twill. Chaussettes, sous-vêtements, et plus T-shirts sont fabriqués à partir de coton. Les draps sont souvent fabriqués à partir de coton. Le coton est également utilisé pour faire les fils utilisés dans crochet et tricoter. Le tissu peut également être fabriqué à partir de coton recyclé ou récupéré qui seraient autrement jetés pendant le filage, le tissage, ou le processus de coupe. Alors que de nombreux tissus sont fabriqués entièrement en coton, mélange coton certains matériaux avec d'autres fibres, y compris et rayonne des fibres synthétiques telles que polyester. Il peut soit être utilisé dans les tissus tricotés ou tissés, comme il peut être mélangé avec d'élastine pour faire un fil plus extensible pour les tricots et de vêtements tels que les jeans stretch.

En plus de industrie textile, le coton est utilisé dans filets de pêche, filtres à café, tentes, fabriquent des explosifs (voir nitrocellulose), papier de coton, et reliure. La première chinoise papier a été faite de la fibre de coton. Les manches d'incendie étaient autrefois faites de coton.

Le coton qui reste après l'égrenage est utilisé pour produire l'huile de coton, ce qui, après raffinage, peut être consommée par des êtres humains comme les autres huile végétale. Le tourteau de coton qui est à gauche est généralement amené à l'élevage des ruminants; la gossypol restant dans le repas est toxique pour animaux monogastriques. coques de graines de coton peuvent être ajoutés à des rations de bovins laitiers de fourrage. Pendant la période de l'esclavage américain, l'écorce de la racine de coton a été utilisé dans remèdes populaires comme un abortif, ce est, pour induire une fausse couche.

bourres de coton sont fins et soyeux, des fibres qui adhèrent aux graines de la plante de coton après l'égrenage. Ces fibres bouclés sont généralement moins de 1/8 po (3 mm) de long. Le terme peut également se appliquer à la plus fibre textile base peluches ainsi que les fibres courtes flous de certaines espèces de montagne. Linters sont traditionnellement utilisés dans la fabrication du papier et comme matière première dans la fabrication de cellulose. Au Royaume-Uni, les linters sont appelés "ouate". Cela peut aussi être un produit raffiné (coton absorbant dans l'usage des États-Unis), qui présente médical , d'autres utilisations pratiques cosmétiques et beaucoup. La première utilisation médicale de la laine de coton est par Dr Joseph Sampson Gamgee à l'hôpital de la Reine (plus tard l'Hôpital général) dans Birmingham , en Angleterre.

Brillant coton est une version traitée de la fibre qui peut être faite en tissu ressemblant satin pour les chemises et costumes. Cependant, il est hydrophobe (ne absorbe pas l'eau facilement), ce qui le rend impropre à l'utilisation dans le bain et torchons (bien que des exemples de ces en coton brillant sont vus).

Le nom Coton égyptien est largement associé à des produits de qualité, mais seulement un petit pourcentage de la production de coton égyptien est en fait de qualité supérieure. La plupart des produits portant le nom ne sont pas faites avec les meilleurs cotons d'Egypte.

Échange international

La production mondiale de coton

De coton sortie en 2005

Les plus grands producteurs de coton, actuellement (2009), sont la Chine et l'Inde, avec une production annuelle d'environ 34 millions de balles et 27 millions de balles, respectivement; la plupart de cette production est consommée par leurs industries textiles respectifs. Les plus grands exportateurs de coton brut sont les États-Unis, avec des ventes de 4,9 milliards de dollars, et l'Afrique, avec des ventes de 2,1 milliards de dollars. Le commerce international total est estimé à 12 milliards de dollars. La part de l'Afrique dans le commerce du coton a doublé depuis 1980. Ni zone a une importante industrie textile nationale, industrie du textile ayant emménagé aux pays en développement dans l'Est et l'Asie du Sud comme l'Inde et la Chine. En Afrique, le coton est cultivé par de nombreux petits porteurs. Dunavant Enterprises, basée à Memphis, Tennessee, est le premier courtier de coton en Afrique, avec des centaines d'agents d'achat. Il fonctionne égreneuses de coton en Ouganda, au Mozambique et en Zambie. En Zambie, il propose souvent des prêts pour les semences et les dépenses à 180 000 les petits agriculteurs qui cultivent le coton pour elle, ainsi que des conseils sur les méthodes agricoles. Cargill achète aussi du coton en Afrique pour l'exportation.

Les 25 000 producteurs de coton aux Etats-Unis d'Amérique sont fortement subventionnées au taux de 2 milliards de dollars par année. L'avenir de ces subventions est incertain et a conduit à l'expansion d'anticipation des opérations de coton courtiers en Afrique. Dunavant élargi en Afrique en achetant des opérations locales. Ce ne est possible que dans les anciennes colonies britanniques et le Mozambique; anciennes colonies françaises continuent à maintenir des monopoles serrés, héritées de leurs anciens maîtres colonialistes, sur les achats de coton à des prix fixes faibles.

Principaux pays producteurs

Top dix producteurs de coton-2011 (balles 480 livres)
République populaire de Chine	33,0 millions de balles
Inde	27,0 millions de balles
États Unis	18,0 millions de balles
Pakistan	10.300.000 balles
Brésil	9.300.000 balles
Ouzbékistan	4.600.000 balles
Australie	4.200.000 balles
Dinde	2.800.000 balles
Turkménistan	1.600.000 balles
Grèce	1.400.000 balles
Source:

Les cinq leader exportateurs de coton en 2011 sont (1) des États-Unis, (2) l'Inde, (3) le Brésil , (4) l'Australie , et (5) l'Ouzbékistan . Le plus grand non producteurs les importateurs sont la Corée , Taiwan , la Russie , Hong Kong et le Japon .

En Inde , les États de Maharashtra (26,63%), Gujarat (17,96%) et Andhra Pradesh (13,75%) et également Madhya Pradesh sont les principaux États producteurs de coton, ces États ont un climat principalement tropicale humide et sec.

Dans le Pakistan , le coton est cultivé principalement dans les provinces de Punjab, et Sindh. La zone principale de la production de coton est le sud du Pendjab, comprenant les zones autour Rahim Yar Khan, Bahawalpur, Bahawalnagar, Multan, Dera Ghazi Khan, Muzaffargarh, Vehari, et Khanewal. Dans le Sind Sanghar est la production de coton district le plus important. Faisalabad est un leader dans le textile dans le Pakistan . Pendjab a un climat humide et tropical sec toute l'année donc l'amélioration de la culture du coton.

Au Etats-Unis , l'état de Texas conduit dans la production totale en 2004, alors que l'état de la Californie avait le plus haut rendement par acre.

Commerce équitable

Le coton est un produit extrêmement important dans le monde entier.Cependant, de nombreux agriculteurs dans les pays en développement reçoivent un prix bas pour leurs produits, ou de trouver qu'il est difficile de rivaliser avec les pays développés.

Cela a conduit à un différend international (voirÉtats-Unis - différend sur le coton Brésil):

Le 27 Septembre 2002, le Brésil a demandé des consultations avec les États-Unis concernant les subventions prohibées et une action accordées aux producteurs, utilisateurs et / ou exportateurs de coton upland, ainsi que la législation, la réglementation, les instruments réglementaires et les modifications y relatives qui prévoient de telles subventions (y compris les crédits à l'exportation) , des dons et toute autre aide aux producteurs, utilisateurs et exportateurs de coton upland des États-Unis. Le 8 Septembre 2004, le rapport du Groupe spécial a recommandé que les Etats-Unis de "retirer" des garanties et des paiements de crédit à l'exportation pour les utilisateurs nationaux et aux exportateurs, et «prendre des mesures appropriées pour éliminer les effets défavorables ou retirer" les mesures obligatoires de subventions subordonnées aux prix.

Alors que le Brésil convenait aux États-Unis par le biais du mécanisme de règlement des différends de l'OMC contre une industrie du coton fortement subventionné, un groupe de quatre pays africains les moins développés - Bénin, Burkina Faso, Tchad et Mali - également connu comme "Coton-4" ont été le leader protagoniste pour la réduction des subventions américaines au coton par des négociations. Les quatre introduit une "Initiative sectorielle en faveur du coton", présenté par le Président Blaise Compaoré du Burkina Faso pendant les Comité des négociations commerciales le 10 Juin de 2003.

En plus des préoccupations sur les subventions, les industries de coton de certains pays sont critiqués pour l'emploi de la santé au travail des enfants et dommageables travailleurs par l'exposition aux pesticides utilisés dans la production. Le Environmental Justice Foundation a fait campagne contre l'utilisation répandue de l'enfant et de l'adulte travail forcé dans la production de coton en Ouzbékistan , troisième plus grand exportateur de coton au monde. La situation de la production et du commerce international a conduit à " commerce équitable "des vêtements de coton et des chaussures, de rejoindre un marché en croissance rapide pour les vêtements bio, de façon juste ou« mode éthique ». Le système de commerce équitable a été lancé en 2005 avec des producteurs de Cameroun , Mali et Sénégal .

Commerce

Le coton est acheté et vendu par les investisseurs et les spéculateurs de prix comme un produit commercialisable sur 2 bourses différentes aux États-Unis d'Amérique.

• Coton les contrats à terme sont négociés sur le New York Mercantile Exchange (NYMEX) sous le symbole de téléscripteur TT . Ils sont livrés chaque année en Mars, Mai, Juillet, Octobre et Décembre.
• Cotton # 2 contrats à terme sont négociés sur le New York Board of Trade (NYBOT) sous le symbole de téléscripteur CT . Ils sont livrés chaque année en Mars, Mai, Juillet, Octobre et Décembre.

Les températures critiques

• Favorable plage de température de Voyage: en dessous de 25 ° C (77 ° F)
• Température optimale de Voyage: 21 ° C (70 ° F)
• Glow température: 205 ° C (401 ° F)
• Point de feu: 210 ° C (410 ° F)
• la température d'auto-inflammation: 407 ° C (765 ° F)
• la température d'auto-inflammation (pour le coton grasse): 120 ° C (248 ° F)

Une plage de température de 25 ° C (77 ° F) à 35 ° C (95 ° F) est la plage optimale pour le développement de moisissures. A des températures inférieures à 0 ° C (32 ° F), la pourriture du coton humide arrête. Coton endommagé est parfois stocké à ces températures pour empêcher la détérioration.

Mesures standards britanniques de fil

• 1 thread = 55 pouces (environ 137 cm)
• 1 écheveau ou le rap = 80 fils (120 verges, soit environ 109 m)
• 1 écheveau = 7 écheveaux (840 verges, soit environ 768 m)
• 1 broche = 18 écheveaux (15 120 verges, soit environ 13,826 km)

Propriétés des fibres

Les fibres de coton consulté sous unmicroscope électronique à balayage

La composition chimique de coton est la suivante:

• cellulose 91,00%
• eau7,85%
• protoplasma, les pectines 0,55%
• les cires, les corps gras 0,40%
• minérauxsels0,20%

génome du coton

Un effort de séquençage du génome du public du coton a été lancé en 2007 par un consortium de chercheurs publics. Ils ont convenu d'une stratégie visant à séquencer le génome de cultivé, coton tétraploïde. "Tétraploïde" signifie que le coton cultivé a en fait deux génomes distincts au sein de son noyau, appelés les génomes A et D. Le consortium de séquençage d'abord décidé de séquencer le génome D relative de coton cultivé ( G. raimondii , une espèce sauvage d'Amérique centrale de coton) en raison de sa petite taille et le nombre limité d'éléments répétitifs. Il est près d'un tiers le nombre de bases de coton tétraploïde (AD), et chaque chromosome est présent seulement une fois. Le génome de G. arboreum serait séquence suivante. Son génome est environ deux fois la taille de G. 'raimondii s. Une partie de la différence de taille entre les deux génomes est l'amplification de rétrotransposons (Gorge). Une fois les deux génomes diploïdes sont assemblés, puis la recherche pourrait commencer le séquençage des génomes réels de variétés de coton cultivées. Cette stratégie est par nécessité; si l'on séquencer le génome tétraploïde sans génomes diploïdes modèle, les séquences d'ADN euchromatiques des génomes AD seraient co-assemblent et les éléments répétitifs de génomes annonce voulez-ensemble indépendamment en séquences A et D respectivement. Ensuite, il n'y aurait pas moyen de démêler le désordre de séquences d'AD sans les comparer à leurs homologues diploïdes.

L'effort du secteur public se poursuit avec l'objectif de créer, une séquence projet de génome de haute qualité à partir de lectures générées par toutes les sources. L'effort du secteur public a généré Sanger lit des BAC, fosmides, et les plasmides ainsi que 454 lectures. Ces derniers types de lectures seront déterminantes pour l'assemblage d'un projet initial du génome D. En 2010, deux sociétés ( Monsanto et Illumina), complété le séquençage Illumina assez pour couvrir le génome D de G. raimondii environ 50x. Ils ont annoncé qu'ils allaient faire don de leur première lecture au public. Cet effort de relations publiques leur a donné une certaine reconnaissance pour le séquençage du génome du coton. Une fois que le génome D est assemblé à partir de l'ensemble de cette matière première, il sera sans doute aider à l'assemblage des génomes AD de variétés cultivées de coton, mais beaucoup de travail reste.