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Suriname

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République du Suriname
Republiek Suriname ( Néerlandais )
Drapeau Blason
Devise: "Justitia - Pietas - Fides" ( latine )
"Justice - Obligation - fidélisation"
Hymne: Dieu zij rencontré ons Suriname (Néerlandais)
Dieu soit avec notre Suriname
Capital
et plus grande ville
Paramaribo
5 ° 50'N 55 ° 10'W
Langues officielles Néerlandais
Les groupes ethniques (2004)
  • 37% Hindoustani
  • 31% Mixte, créole / Afro-Suriname
  • 15% Javanais
  • 10% Bordeaux
  • 3,7% Amérindienne
  • 0,4% d'autres
Demonym Suriname
Gouvernement Unitaire présidentiel république constitutionnelle
- Président Desi Bouterse
- Vice-Président Robert Ameerali
Corps législatif Assemblée Nationale
Indépendance
- du Pays-Bas 25 Novembre 1975
- La constitution actuelle 30 Septembre 1987
Zone
- Total 163821 km 2 ( 92e)
63 251 km carrés
- Eau (%) 1.1
Population
- 2012 estimation 560157 ( 167e)
- Recensement de 2004 492829
- Densité 2,9 / km 2 ( 231e)
7,6 km / sq
PIB ( PPP) Estimation 2011
- Total 5.060 milliards de dollars
- Par habitant $ 9475
PIB (nominal) Estimation 2011
- Total 3.790 milliards de dollars
- Par habitant $ 7096
IDH (2012) Augmentation 0,680
moyenne · 104e
Monnaie Dollar Suriname ( SRD )
Fuseau horaire ART ( UTC-3)
- Summer ( DST) non observées ( UTC-3)
Drives sur le gauche
Indicatif téléphonique 597
Code ISO 3166 SR
TLD Internet .sr

Suriname (ou le Surinam), officiellement connu comme la République du Suriname ( Néerlandais : Republiek Suriname, Néerlandais Prononciation: [ˌrepyblik ˌsyrinaːmə]), est un pays dans le nord de l'Amérique du Sud. Il est bordé par Guyane française à l'est, le Guyana à l'ouest, le Brésil au sud et à l'océan Atlantique au nord, ce qui en fait l'un des deux pays, en Guyane française l'autre, de ne pas bordent l'un des pays hispanophones sur le continent. Suriname a été colonisée par les Anglais et les Hollandais au 17ème siècle.

En 1667, il a été capturé par les Hollandais, qui gouvernaient Suriname Guyane hollandaise jusqu'en 1954. A cette époque, il a été désigné comme l'un des pays qui la composent ( Néerlandais : Landen) de la Royaume des Pays-Bas, à côté de la l' Pays-Bas et les Antilles néerlandaises (dissous en 2010). Le 25 Novembre 1975, le pays du Suriname a quitté le Royaume des Pays Bas de devenir indépendant. Un membre de CARICOM, il est souvent considéré comme un pays des Caraïbes et a eu échanges fréquents et les échanges culturels avec les pays des Caraïbes.

À un peu moins de 165000 km 2 (64 000 km carrés de), le Suriname est le plus petit Etat souverain en Amérique du Sud. (Guyane française, tandis que moins vaste et populeuse, est un département outre-mer de France .) Suriname a une population d'environ 560 000, dont la plupart vivent sur la côte nord du pays, où le capital Paramaribo se trouve. La langue officielle est le néerlandais. Ce est la seule entité indépendante dans les Amériques où le néerlandais est parlé.

Étymologie

Le nom Suriname peut dériver d'une Taino ( Arawak parlant) groupe appelé Surinen, qui occupait la région avant l'arrivée des Européens.

Les colons anglais, qui ont fondé la première colonie européenne au ruisseau Marshall long de la Suriname, orthographié le nom de "Surinam". Repris par les Hollandais, il est devenu partie d'un groupe de colonies connu sous le nom Guyane hollandaise. Surinam peut encore être trouvé en anglais. Un exemple notable est la compagnie aérienne nationale du Suriname, Surinam Airways. L'ancien nom anglais est traduit par la prononciation anglaise, / s ʊr ɨ n æ m / Ou / s ʊr ɨ n ɑː m /. En néerlandais , la langue officielle du Suriname, la prononciation est [ˌsyrinaːmə], avec l'accent principal sur la troisième syllabe et un schwa voyelle terminal.

Géographie

Le Suriname est le plus petit pays indépendant en Amérique du Sud . Situé sur la Bouclier guyanais, il se trouve essentiellement entre les latitudes 1 ° et 6 ° N et les longitudes, 54 ° et 58 ° W. Le pays peut être divisé en deux grandes régions géographiques. La zone nord, plaine côtière (environ dessus de la ligne Albina-Paranam-Wageningen) a été cultivé, et la plupart de la population vit ici. La partie sud se compose de tropical forêt tropicale et peu habitée le long de la savane frontière avec le Brésil , qui couvre environ 80% de la surface terrestre du Suriname.

Les deux principales chaînes de montagnes sont la Bakhuys montagnes et le Van Asch Van Montagnes Wijck. Julianatop est la plus haute montagne dans le pays à 1 286 mètres (4 219 pieds) au-dessus niveau de la mer. D'autres montagnes comprennent Tafelberg au 1026 mètres (3366 pi), le mont Kasikasima à 718 mètres (2356 pieds), Goliathberg à 358 mètres (1175 pieds) et à 240 mètres Voltzberg (790 pi).

Limites

Suriname est situé entre Guyane française à l'est et le Guyana à l'ouest. La frontière sud est partagé avec le Brésil et la frontière nord est l' Atlantique côte. Les méridionales frontières avec la Guyane française et le Guyana sont contestés par ces pays le long de la Marowijne et Corantijn rivières, respectivement, tandis qu'une partie de la contesté frontière maritime avec le Guyana a été arbitré par un tribunal, convoquée conformément aux règles énoncées dans L'annexe VII de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer le 20 Septembre de 2007.

Districts et centres de villégiature

Suriname est divisé en dix districts:
  1. Brokopondo
  2. Commewijne
  3. Coronie
  4. Marowijne
  5. Nickerie
  6. Para
  7. Paramaribo
  8. Saramacca
  9. Sipaliwini
  10. Wanica

Suriname est subdivisé en 62 stations (ressorten).

Climat

Mensonge 2 à 5 degrés au nord de l' équateur , le Suriname a un très chaud climat tropical, et les températures ne varient pas beaucoup tout au long de l'année. Humidité relative moyenne est comprise entre 80% et 90%. Sa température moyenne varie de 84 à 97 degrés Fahrenheit (29 à 34 degrés Celsius). En raison de la forte humidité, températures réelles sont déformées et peuvent donc se sentir jusqu'à 11 degrés Fahrenheit (6 degrés Celsius) plus chaud que la température enregistrée. L'année a deux saisons humides, d'Avril à Août et de Novembre à Février. Il a aussi deux saisons sèches, à partir de Août to Novembre et Février à Avril.

Les réserves naturelles

Dans la partie supérieure Coppename des bassins versants, le Réserve naturelle du Suriname central est l'UNESCO au patrimoine mondial de cité pour ses forêts vierges biodiversité . Il ya beaucoup de parcs nationaux dans le pays: Réserve Galibi National, Parc National Coppename Manding et Wia Wia NR long de la côte, Brownsberg NR, Raleighvallen / Voltzeberg NR, NR Tafelberg et Eilerts de Haan NP dans le centre et l'Sipaliwani NR sur le Brésil frontière. En tout, 12,6% de la superficie des terres du pays sont les parcs nationaux et les lacs, selon le Centre de surveillance continue de la conservation mondiale.

Histoire

Période coloniale

Maroon village, Suriname, 1955

Dès le 16ème siècle, français , espagnol et anglais explorateurs ont visité la région. Un siècle plus tard, colonies de plantations ont été établies par les Néerlandais et les Anglais le long des nombreux cours d'eau dans les plaines fertiles de la Guyane. La première colonie documenté dans Guyane était une colonie anglaise nommée Ruisseau Marshall long de la rivière Suriname. Les différends ont surgi entre les Hollandais et les Anglais. En 1667, les Hollandais ont décidé de maintenir la colonie de plantation naissante du Suriname conquis de l'anglais, résultant de la Traité de Breda. Les Anglais se sont retrouvés avec la Nouvelle-Amsterdam, un petit poste de traite en Amérique du Nord, qui devint plus tard New York City .

En 1683, le Société du Suriname a été fondée par la ville de Amsterdam , le Famille Van Aerssen van Sommelsdijck et le Néerlandais Compagnie des Indes occidentales. La société a été affrété pour gérer et défendre la colonie. Les planteurs de la colonie se est fortement appuyée sur Esclaves africains pour cultiver les plantations de café, cacao, canne à sucre et de coton le long des rivières. Le traitement des esclaves de planteurs était notoirement mauvaises, et de nombreux esclaves échappé aux plantations.

Avec l'aide de la Sud-Américains autochtones vivant dans les forêts tropicales voisines, ces esclaves fugitifs établi un nouveau et unique culture qui a très bien réussi dans son propre droit. Ils étaient connus collectivement en anglais que le Maroons, en français comme les Neg'Marrons (qui signifie littéralement «neg marron [œufs]», ce est «esclaves nègres fugitifs»), et en néerlandais Bosnegers (qui signifie littéralement "nègres de la forêt"). Les marrons sont développées progressivement plusieurs tribus indépendantes par un processus de ethnogenèse, comme ils étaient constitués d'esclaves de différentes ethnies africaines. Parmi eux, le Saramaka, l'Paramaka, le Ndyuka ou Aukan, le Kwinti, la Aluku ou Boni et le Matawai.

Les Maroons ont attaqué souvent les plantations de recruter de nouveaux membres issus des esclaves et capture les femmes, ainsi que d'acquérir des armes, de la nourriture et des fournitures. Les planteurs et leurs familles ont parfois été tués dans les raids; colons construits défenses, qui étaient si importantes qu'elles ont été indiquées sur les cartes du 18e siècle, mais ceux-ci ne étaient pas suffisantes. Les colons montés également des campagnes armées contre les Maroons, mais ils se sont échappés généralement à travers la forêt, où ils savaient beaucoup mieux que faisaient les colons. Pour mettre fin aux hostilités, dans le 19ème siècle, les autorités coloniales européennes ont signé plusieurs traités de paix avec les différentes tribus. Ils ont accordé les Maroons état et le commerce des droits souverains sur leurs territoires intérieurs.

Abolition de l'esclavage

Les immigrants javanais amenés comme travailleurs contractuels de la Indes néerlandaises. Photo prise entre 1880-1900.

L'esclavage a été aboli par les Pays-Bas au Suriname en 1863, mais les esclaves au Suriname ont pas été débloqués jusqu'en 1873, après une période de transition de 10 ans obligatoire au cours de laquelle ils ont été appelés à travailler sur les plantations pour un salaire minimal et sans sanctionné par l'État discipline. Dès qu'ils sont devenus vraiment libres, les esclaves largement abandonné les plantations où ils avaient travaillé pendant plusieurs générations, en faveur de la ville, Paramaribo.

Comme une colonie de plantation, le Suriname était encore fortement dépendante sur le travail manuel, et pour compenser le manque à gagner, les Hollandais introduit en travailleurs contractuels de la Indes néerlandaises (moderne Indonésie ) et l'Inde (grâce à une entente avec les Britanniques). En outre, au cours de la fin du 19e et début du 20e siècle, un petit nombre de la plupart des hommes ont été amenés de la Chine et du Moyen-Orient . Bien que la population du Suriname reste relativement faible, à cause de cette histoire, ce est l'un des pays les plus ethniquement et culturellement diversifiées au monde.

Colons hollandais, 1920. La plupart des Européens sont partis après l'indépendance en 1975.

Le 23 Novembre 1941, en vertu d'un accord avec le gouvernement néerlandais en exil, aux États-Unis pour protéger occupé Suriname mines de bauxite. En 1954, le Suriname est devenu l'un des pays constitutifs de la Royaume des Pays-Bas, ainsi que les Antilles néerlandaises et la Pays-Bas . Dans cette construction, les Pays-Bas a conservé le contrôle de la défense et les affaires étrangères. En 1973, le gouvernement local, dirigé par le NPK (une grande partie Créole, ce qui signifie ethnique africaine ou mixte euro-africain, fête) a entamé des négociations avec le gouvernement néerlandais menant vers la pleine indépendance, qui a été accordée le 25 Novembre 1975. Les indemnités de départ a été très importante, et une grande partie de l'économie du Suriname pour la première décennie après l'indépendance a été alimentée par l'aide étrangère fournie par le gouvernement néerlandais.

Indépendance

Le premier président du pays était Johan Ferrier, l'ancien gouverneur, avec Henck Arron (alors chef de la Nationale Partij Suriname (Parti national du Suriname) en tant que Premier ministre. Dans les années qui ont précédé l'indépendance près d'un tiers de la population du Suriname a émigré aux Pays-Bas, au milieu préoccupation que le nouveau pays défavorisés par l'indépendance qu'il avait comme une colonie d'outre-mer des Pays-Bas. La diaspora du Suriname comprend plus d'un quart de million de personnes d'origine surinamaise qui vivent actuellement aux Pays-Bas, y compris plusieurs membres récents de la Équipe de football nationale néerlandaise.

Tueries décembre

Le 25 Février 1980, un coup d'Etat militaire a renversé le gouvernement démocratique et une république socialiste. Entre 2 heures et 5 heures le matin du 7 Décembre 1982, l'armée, sous la direction de Desi Bouterse, arrondi 15 citoyens éminents qui avaient critiqué la dictature militaire au Suriname, et les apporta à Fort Zeelandia. Ils étaient exécuté au cours des trois prochains jours, et les Pays-Bas rapidement suspendu toute l'aide étrangère au Suriname. Bouterse est jugé pour les meurtres, mais le parlement du Suriname a adopté une loi qui accorde l'amnistie pour Bouterse les violations alléguées. Le gouvernement néerlandais a déclaré que l'arrêt du procès serait «totalement inacceptable». Bouterse a été condamné par contumace aux Pays-Bas sur des accusations de trafic de drogue.

Élections ont eu lieu en 1987, et une nouvelle constitution a été adoptée qui, entre autres choses, permis Bouterse de rester en charge de l'armée. Mécontent avec le gouvernement, Bouterse sommairement rejeté en 1990, par téléphone. Cet événement se est populairement connu comme le "Coup de téléphone". Sa puissance a commencé à décliner après les élections de 1991; un cours brutale guerre civile entre l'armée et les Maroons fidèles au chef rebelle Suriname Ronnie Brunswijk, commencé en 1986, a encore affaibli la position de Bouterse durant les années 1990.

Voyant la détérioration de la situation, Aruba , les Antilles néerlandaises et la Pays-Bas considéré invitant le pays pour rejoindre les Pays-Bas comme un "État associé" en 1991.

2009 Albina émeutes

De violentes émeutes ont éclaté dans Albina en 2009 entre la population locale et Maroon chercheurs d'or brésiliens.

Économie

La démocratie du Suriname a gagné un peu de force après les années 1990 turbulentes, et son économie est devenue plus diversifiée et moins dépendante de l'aide financière néerlandaise. Bauxite (minerai d'aluminium) minier continue d'être une source de revenus importants, et la découverte et l'exploitation de pétrole et l'or a ajouté sensiblement à l'indépendance économique du Suriname. Agriculture, en particulier le riz et les bananes, reste une forte composante de l'économie, et écotourisme offre de nouvelles possibilités économiques. Plus de 80% des terres de masse du Suriname se compose de forêt tropicale intacte; avec la mise en place de la Réserve naturelle du Suriname central en 1998, le Suriname a signalé son engagement envers la conservation de cette précieuse ressource. La Réserve naturelle du Suriname central est devenu un site du patrimoine mondial en 2000.

Ministère des Finances.

L'économie du Suriname est dominé par l'industrie de la bauxite, qui représente plus de 15% du PIB et 70% des recettes d'exportation. Autres principaux produits d'exportation sont le riz , les bananes et crevette. Suriname a récemment commencé à exploiter certaines de ses importantes pétrole et or réserves. Environ un quart de la population travaille dans l' agriculture secteur. L'économie du Suriname est très dépendante sur le commerce, ses principaux partenaires commerciaux étant les Pays-Bas, le Royaume-Unis , le Canada , et Les pays des Caraïbes, principalement Trinité-et-Tobago et les anciennes îles des Antilles néerlandaises .

Après son arrivée au pouvoir à l'automne 1996, le Le gouvernement a mis fin au Wijdenbosch programme d'ajustement structurel du gouvernement précédent, affirmant qu'il était injuste pour les éléments les plus pauvres de la société. impôt les revenus ont baissé que de vieilles taxes caduques et le gouvernement n'a pas réussi à mettre en œuvre de nouvelles alternatives fiscales. À la fin de 1997, l'attribution de nouveaux fonds de développement néerlandaise a été gelé les relations Suriname gouvernement avec les Pays-Bas se sont détériorées. La croissance économique a ralenti en 1998, avec un déclin dans le minier , la construction, et secteurs de services publics. Dépenses publiques Rampant, collecte pauvres d'impôt, une fonction publique pléthorique, et l'aide étrangère réduite en 1999 ont contribué au déficit budgétaire, estimé à 11% du PIB. Le gouvernement a cherché à couvrir ce déficit par l'expansion monétaire, qui a conduit à une augmentation spectaculaire de l'inflation . Il prend plus de temps, en moyenne, pour enregistrer une nouvelle entreprise au Suriname que ne importe quel autre pays dans le monde (694 jours, soit environ 99 semaines).

  • PIB (2010 est.): US $ 4,794 milliards.
  • Taux annuel de croissance du PIB réel (2010 est.): 3,5%.
  • PIB par habitant (2010 est.): US $ 9900.
  • Inflation (2007): 6,4%.
  • Ressources naturelles: bauxite, or, pétrole, minerai de fer, d'autres minéraux; forêts; potentiel hydroélectrique; poissons et de crevettes.
  • Agriculture: des produits de riz, bananes, bois, noix de palme, noix de coco, les arachides, les agrumes et les produits forestiers.
  • Industrie: Types-alumine, pétrole, or, poissons, crevettes, bois.
  • Commerce (2005):
    • Exportations: $ 1,391 milliards: l'alumine, de l'or, le pétrole brut, le bois, la crevette et le poisson, le riz, les bananes. Principaux consommateurs: Canada 35,47%, 14,92% la Belgique, des États-Unis 10,15%, 9,87% EAU, Norvège 4,92%, Pays-Bas 4,7%, la France 4,47% (2009)
    • Importations: $ 1,297 milliards: équipement capitale, pétrole, produits alimentaires, coton, des biens de consommation. Principaux fournisseurs: US 30,79%, Pays-Bas 19,17%, Trinité-et-Tobago 13,04%, la Chine 6,8%, le Japon 5,85% (2009).

Démographie

La population de Suriname du 1961 - 2003, (en unités de 1000).

Selon le recensement de 2004, le Suriname avait une population de 492 829 habitants. Il se compose de plusieurs groupes ethniques distincts.

  • Amérindiens, premiers habitants du Suriname, forment 3,7% de la population. Les principaux groupes étant le Akuriyos, Arawak, Carib / Kalina, le Trio ( Tiriyo), et Wayana. Ils vivent principalement dans les districts de Paramaribo, Wanica, Maroni et Sipaliwini.
  • Hindustani forment le plus grand groupe majeur à 37% de la population. Ils sont les descendants des travailleurs contractuels du 19ème siècle de l'Inde . Ils sont des États indiens du Bihar et de l'Est Uttar Pradesh, en Inde du Nord, le long de la Nepali frontière.
  • Les Surinamais Créoles forment le groupe du milieu 31% de la population. Ils sont les descendants mixtes d' Afrique de l'Ouest esclaves et les Européens (principalement néerlandais).
  • Le Javanais (descendants des travailleurs contractuels de l'ex- Indes néerlandaises sur l'île de Java, Indonésie ), la forme 15% de la population. principalement dans Nickerie, Saramacca, Wanica, Paramaribo et Commewijne
  • Suriname Marrons (descendants d'échappés Afrique de l'Ouest esclaves) représentent 10% et sont divisés en cinq groupes principaux: Ndyuka (Aucans), Kwinti, Matawai, Saramaccans et Paramaccans.
  • Chinoise, environ 14 000 sont des descendants des premiers travailleurs contractuels du 19e siècle. Les années 1990 et début du 21e siècle a vu renouvelé l'immigration sur une grande échelle. En l'an 2011, il y avait plus de 40 000 chinois au Suriname, y compris les migrants légaux et illégaux.
  • Européens, descendants de Néerlandais agriculteurs immigrants du 19ème siècle, Portugais de Madère et les autres peuples européens. Les descendants des agriculteurs immigrants hollandais sont connus comme "Boeroes" (provenant de Boer, le Néerlandais mot pour «agriculteur»). La plupart des Boeroes gauche après l'indépendance en 1975.
  • Juifs, principalement des descendants de Juifs séfarades, mais aussi Juifs ashkénazes. Dans leur histoire, Jodensavanne joue un rôle majeur. Beaucoup de juifs sont mélangés avec d'autres populations.
  • Libanais, (principalement Maronites) de la ville de Bcharré, Liban .
  • Brésiliens, dont beaucoup d' or mineurs. La plupart des quelque 40 000 Brésiliens vivant au Suriname sont arrivés au cours des dernières années.

La grande majorité des personnes (environ 90%) vivent dans des Paramaribo ou sur la côte. Il ya aussi une population surinamaise importante dans le Pays-Bas . En 2005 il y avait 328 300 personnes vivant dans Surinamais aux Pays-Bas, ce qui représente environ 2% de la population totale des Pays-Bas, par rapport à 438 000 au Suriname Suriname lui-même.

Religion

La religion prédominante dans le pays est le christianisme , à la fois sous la forme de catholicisme et de diverses confessions Le protestantisme, le Église morave étant le plus ancien et le plus grand. Il est particulièrement dominante chez les créoles et les Maroons. Les créoles et à un degré moindre les Maroons, à la fois principalement les descendants des esclaves africains, converti au christianisme pendant la période coloniale, mais peuvent encore conserver leur Religion afro-américaine appelée Winti. La pratique de la population descendu indienne hindoue , l'islam ou le christianisme. La pratique javanaise soit l'islam ou le christianisme. La population du Suriname est de 19,6% Musulmane.

Langues

Immigrants indiens de Inde britannique
Butcher marché à Paramaribo avec des signes écrits en néerlandais .

Néerlandais est la seule langue officielle, et est la langue de l'enseignement, le gouvernement, les entreprises et les médias. Plus de 60% de la population parle le néerlandais comme la langue maternelle, et la plupart du reste parlent comme langue seconde. En 2004 le Suriname est devenu membre associé de la Union de la langue néerlandaise. Il est le seul pays de langue néerlandaise en Amérique du Sud ainsi que la seule nation indépendante dans les Amériques où le néerlandais est parlé, et l'un des deux non- Romance pays de langue sur le continent, l'autre étant anglophone du Guyana .

À Paramaribo, le néerlandais est la principale langue d'usage dans les deux tiers des ménages. La reconnaissance de "Surinaams-Nederlands" (" Suriname hollandais ») comme un dialecte national égal à" Nederlands-Nederlands "(" Dutch Dutch ") et" Vlaams-Nederlands "(" flamand hollandais ») a été exprimée en 2009 par la publication des Nederlands Woordenboek Surinaams (Dictionnaire Suriname-néerlandais ). Seulement à l'intérieur du Suriname est le néerlandais rarement parlé.

Sranan tongo, local langue créole originellement parlée par le groupe de population créole, est la langue la plus largement utilisée dans les rues et souvent de façon interchangeable avec le néerlandais en fonction de la formalité de l'établissement.

Hindi Suriname ou sarnami, un dialecte Bhojpuri, est la troisième langue la plus utilisée, parlée par les descendants de Les travailleurs contractuels de l'Asie du Sud, puis Inde britannique. Javanaise est utilisé par les descendants des travailleurs contractuels javanais. Le Maroon langues, peu intelligible avec sranan tongo, Inclure Saramaka, Paramakan, Ndyuka (également appelé Aukan), Kwinti et Matawai. Langues amérindiennes, parlées par les Amérindiens, Inclure Carib et Arawak. Hakka et Cantonais sont parlées par les descendants du contrat chinois (koelie, coolie) travailleurs. Mandarin est parlé par certains quelques récents immigrants chinois. anglais , espagnol et portugais sont également utilisés. Espagnol et le portugais sont parlées par les résidents d'Amérique latine et de leurs descendants et parfois aussi enseigné dans les écoles.

Le discours public sur les langues du Suriname est une partie d'un débat sur l'identité nationale du pays. Alors que le néerlandais est perçu comme un vestige du colonialisme par certains, l'utilisation du sranan populaire est devenu associé à nationalistes politique après son utilisation publique par l'ancien dictateur Desi Bouterse dans les années 1980, et les groupes descendent des esclaves fugitifs pourraient éprouver du ressentiment. Certains proposent de changer la langue nationale à l'anglais, de manière à améliorer les liens à la Caraïbes et l'Amérique du Nord , ou à l'espagnol, comme un clin d'œil à l'emplacement du Suriname en Amérique du Sud, même si elle n'a pas de voisins hispanophones.

Santé

Le taux de fécondité était de 2,6 naissances par femme. Les dépenses publiques était à 3,6% du PIB en 2004, alors que les dépenses privées était à 4,2%. Il y avait 45 médecins par 100 000 dans le début des années 2000. La mortalité infantile était de 30 pour 1 000 naissances vivantes. Espérance de vie à la naissance était de 66,4 ans, alors que l'espérance de vie à la naissance était de 73 ans.

Transport

Suriname et voisins du Guyana sont les deux seuls pays du continent sud-américain (en terre) qui conduisent à gauche. En Guyane, cette pratique est héritée de Royaume-Uni autorités coloniales. La raison que le Suriname roulent à gauche se explique par plusieurs sources. On pense que ce est parce que les premières voitures importées étaient de l'Angleterre, mais ce est encore sans-papiers. En outre, ce point de vue ne est pas de faire des déclarations sur le trafic avant l'ère de l'automobile. Une autre explication est que les Pays-Bas, à l'époque de la colonisation du Suriname, a utilisé le côté gauche de la route à la circulation ou que le Suriname a été colonisée par les Anglais. Bien que les Pays-Bas converti à la conduite à droite à la fin du 18ème siècle), le Suriname n'a pas fait. Écrivains Peter Kincaid et Ian Watson suggèrent que dans les territoires tels que le Suriname, avec pas de routes reliant à des pays voisins, il n'y a pas de pression externe à changer ou de maintenir le statu quo sur les côtés de conduite.

Plus grandes villes

Politique

Résidence présidentielle
Assemblée Nationale
Cour de justice

La République du Suriname est une république constitutionnelle, démocratiquement représentatif basé sur le 1987 Constitution. La branche législative du gouvernement se compose de 51 membres monocaméral Assemblée nationale, simultanément et élu par le peuple pour un mandat de cinq ans.

Dans les dernières élections, tenues le mardi 25 mai 2010, le "Megacombinatie" a remporté 23 des sièges de l'Assemblée nationale, suivie par "Nationale Front" avec 20 sièges. Un plus petit nombre, important pour la consolidation de la coalition, est allé à la "A-combinatie» et à la «Volksalliantie". Les négociations sont en cours entre les parties en ce qui concerne la formation de coalitions.

Le Président du Suriname, qui est élu pour un mandat de cinq ans par une majorité des deux tiers de l'Assemblée nationale ou, à défaut, par une majorité de l'Assemblée du peuple, à la tête du pouvoir exécutif. Si au moins les deux tiers de l'Assemblée nationale ne peuvent pas accepter de voter pour un candidat à la présidence de l'Assemblée du Peuple est formée de tous les délégués de l'Assemblée nationale et des représentants régionaux et municipaux qui ont été élus par le vote populaire dans la plus récente élection nationale. En tant que chef du gouvernement, le président nomme un cabinet de seize ministre. Un vice-président, normalement élu en même temps que le président, a besoin d'une majorité simple à l'Assemblée nationale ou de l'Assemblée du Peuple d'être élu pour un mandat de cinq ans. Il n'y a aucune disposition constitutionnelle pour l'enlèvement ou le remplacement du président sauf se il démissionne.

Le pouvoir judiciaire est dirigé par la Cour de justice (Cour suprême). Ce tribunal supervise les tribunaux d'instance. Les membres sont nommés à vie par le président en consultation avec l'Assemblée nationale, le Conseil consultatif Etat et de l'Ordre national des avocats privés. En Avril 2005, la régionale Cour de justice des Caraïbes, basé à Trinidad , a été inauguré. Comme le tribunal de dernière instance, il a été conçu pour remplacer le London à base Conseil privé.

Le pays est divisé en dix districts administratifs, chacune dirigée par un commissaire nommé par le président, qui a également le pouvoir de licenciement.

Préservation de l'environnement

Le 21 Mars, 2013 REDD + Préparation Proposition du Suriname (R-PP 2013) a été approuvé par les pays membres du Comité des participants du Fonds de partenariat pour le carbone forestier (FCPF). Les pays membres sont l'Australie, le Canada, le Danemark, la Finlande, France, Allemagne, Italie, Japon, Pays-Bas, Norvège, Espagne, Suisse, Royaume-Uni, Etats-Unis et la Commission européenne.

Tourisme

Le Cathédrale de Saint-Pierre et Paul à Paramaribo.

Royal Torarica, a été ouvert dans le quartier de nuit de Paramaribo sur le Rivière Suriname. L'industrie de l'hôtel est important pour l'économie du Suriname. La location d'appartements, ou le phénomène de location de maison, est également populaire au Suriname.

La plupart des touristes visitent le Suriname pour l'exceptionnelle biodiversité des vierges amazoniennes forêts tropicales dans le sud du pays, qui sont connus pour leur faune et la flore. Le Réserve naturelle du Suriname central est le plus grand et une des réserves les plus populaires, avec le Parc Nature Brownsberg qui surplombe la Brokopondo, ce dernier étant l'un des plus grands lacs artificiels du monde. Île Tonka dans le réservoir est à la maison à un rustique projet d'éco-tourisme géré par les Maroons Saramaccaner. Pangi enveloppe et bols en calebasses sont les deux principaux produits fabriqués par marrons pour les touristes. Les marrons ont appris que PANGIS colorés et fleuris sont les plus populaires auprès des touristes.

Il ya aussi de nombreuses cascades à travers le pays. Raleighvallen ou Raleigh Falls, est un 56 000 hectares (140 000 acres) réserve naturelle sur la Coppename, riche en oiseaux. Sont aussi l'Blanche Marie Falls, sur la Nickerie rivière et les chutes Wonotobo. Tafelberg Montagne dans le centre du pays est entouré par sa propre réserve - la réserve naturelle de Tafelberg - autour de la source de la Saramacca, comme ce est la réserve naturelle Voltzberg plus au nord sur la rivière Coppename au Raleighvallen. A l'intérieur sont nombreux Marron et Villages amérindiens dont beaucoup ont leurs propres réserves, généralement ouverts aux visiteurs.

Le Suriname est l'un des rares pays au monde où au moins un de chaque biome que l'Etat possède a été déclarée une réserve faunique. Environ 30% de la superficie totale des terres du Suriname est protégé par la loi comme des réserves.

Parmi les autres attractions telles que les plantations Laarwijk, qui est situé le long de la rivière Suriname. Cette plantation ne peut être atteint que par bateau via Domburg, dans le centre-nord District de Wanica du Suriname.

Sites d'intérêt

Jules Pont Wijdenbosch.
Mosquée à côté d'une synagogue à Paramaribo.

Le Jules Wijdenbosch Bridge est un pont sur la rivière Suriname entre Paramaribo et Meerzorg dans le quartier Commewijne. Le pont a été construit durant le mandat du président Jules Albert Wijdenbosch (1996-2000) et a été achevé en 2000. Le pont est de 52 mètres (171 pi) de hauteur, et 1 504 mètres (4 934 pieds) de long. Il relie Paramaribo avec Commewijne, une connexion qui, auparavant, ne pouvait être faite par ferry. Le but du pont était de faciliter et de promouvoir le développement de la partie orientale du Suriname. Le pont est constitué de deux voies (une voie dans chaque sens) et est accessible aux piétons.

La cathédrale de Sts. Pierre et Paul est 114 ans. Avant de devenir une cathédrale ce était un théâtre. Le théâtre a été construit en 1809 et a brûlé en 1820. La construction de la Sts. Peter and Paul Cathedral commencé le 13 Janvier 1883.

Le Suriname est l'un des rares pays au monde où une synagogue se trouve à côté une mosquée.

Arya Temple Dewaker.

Les deux bâtiments sont situés à côté de l'autre dans le centre de Paramaribo et ont été connus pour partager un parking lors de leurs rites religieux respectifs, devraient-ils arriver à coïncider avec une autre.

Un relativement nouveau point de repère est l'Hindou Temple Arya Dewaker dans le Johan Adolf Pengelstraat dans Wanica, Paramaribo, qui a été achevé dans la première décennie du 21e siècle. La spécialité du temple, ce est qu'il n'a pas les images des divinités hindoues, comme ils sont interdits dans le mouvement hindou, le Arya Samaj. Les gens qui ont construit le sanctuaire appartiennent à ce mouvement. En revanche, le bâtiment est couvert par de nombreux textes issus des Védas et autres textes sacrés hindous. La belle architecture rend la peine de payer une visite au temple.

Compagnies aériennes

Départs

  • Blue Wing Airlines
  • Caraïbes banlieue Airways ( Caricom Airways) (Surinam Airways banlieue)
  • Gum Air
  • Surinam Airways (SLM)

Arrivées

  • Caribbean Airlines (Trinidad & Tobago)
  • Insel Air (Curaçao)
  • Dutch Antilles Express (DAE) (Curaçao)
  • KLM (Pays-Bas)
  • Surinam Airways (SLM) ( Aruba , Brésil ( Belem), Curaçao, la Guyane ( Georgetown ), Pays-Bas ( Amsterdam ), Trinité-et-Tobago ( Port d'Espagne), et États-Unis ( Miami ).)

Autres sociétés nationales avec une certification d'exploitation aérienne

  • Aéro-Club Suriname (ACS)
  • Coronie Aero agriculteurs (CAF)
  • Aigle Air Services (EAS)
  • ERK Farms
  • Salut-Jet Helicopter Services (HI-Jet)
  • Kuyake Aviation (Part de la Caricom Airways)
  • Surinaamse Medische Zendings Vliegdienst (CRG - Mission Aviation Fellowship)
  • Suriname Force aérienne / Surinaamse Luchtmacht (SAF / LUMA)
  • Overeem Air Service (OEA)
  • Surinam Sky agriculteurs

Indigènes remarquables

  • Jules Ajodhia (b. 1945), homme politique, poète, dramaturge. Servi comme ministre de la Justice (1988-1990) et deux fois vice-président (1991-1996, 2000-2005).
  • Bram Behr (1951-1982), communiste, journaliste, propagandiste.
  • Desi Bouterse (b. 1945), 9e et le président actuel.
  • Fred Derby (1939-2001), homme politique et syndicaliste.
  • Johan Ferrier (1910-2010), premier président du Suriname (1975-1980).
  • Otto Huiswoud (1893-1961), membre fondateur de la Parti communiste d'Amérique.
  • Harry Kisoensingh (1954-2008), éducateur et président de l'Union pour le progrès Suriname.
  • Lou Lichtveld (1903-1996), homme politique, poète, dramaturge.
  • Jan Ernst Matzeliger (1852-1889), inventeur de machines de fabrication de chaussures.
  • Johan Adolf Pengel, (1916-1970), homme politique, premier ministre (1963-1969), homonyme de l'aéroport international principal de Suriname.
  • Pretaapnarian Radhakishun (1954-2001), homme politique, premier ministre (1986-1987).
  • Ram Sardjoe (b. 1935), homme politique, vice-président (2005-2010).
  • Paul Somohardjo (b. 1943), homme politique, ancien Président de l'Assemblée nationale (2005-2010).
  • Farida van den Stroom (b. 1974), actrice et modèle.
  • Ronald Venetiaan (b. 1936), mathématicien, homme politique, 5ème, 7ème et 8ème président.
  • Jules Wijdenbosch (b. 1941), homme politique, a servi comme Premier ministre (1987-1988), vice-président (1991) et président (1996-2000).
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