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Voltaire

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Voltaire
Atelier de Nicolas de Largillière, portrait de Voltaire, détail (musée Carnavalet) -002.jpg
Voltaire à 24, par Catherine Lusurier après La peinture de Nicolas de Largillière
François-Marie Arouet
21 Novembre 1694
Paris, France
Mort 30 mai 1778 (30/05/1778) (âgés de 83)
Paris, France
Pseudonyme Voltaire
Occupation Écrivain, philosophe, dramaturge
Nationalité Français


François-Marie Arouet (français: [Fʁɑ.swa ma.ʁi aʁ.wɛ]; 21 Novembre 1694 - 30 mai 1778), connu par son nom de plume Voltaire (prononcé: [Vɔl.tɛːʁ]), était un Français Lumières écrivain, historien et philosophe célèbre pour son esprit, ses attaques contre l'Eglise catholique établie, et sa défense de la la liberté de religion, la liberté d'expression, et séparation de l'Église et de l'État. Voltaire était un écrivain polyvalent, produisant des œuvres dans presque toute forme littéraire, y compris pièces de théâtre, des poèmes, des romans, des essais et des travaux historiques et scientifiques. Il a écrit plus de 20 000 lettres et plus de 2000 livres et brochures. Il était un ardent défenseur, en dépit des lois de censure strictes avec des peines sévères pour ceux qui les ont éclaté. En tant que polémiste satirique, il a souvent fait usage de ses œuvres à critiquer l'intolérance, le dogme religieux et les institutions françaises de son époque.

Biographie

François-Marie Arouet est né à Paris, le plus jeune des cinq enfants (dont trois seulement ont survécu) de François Arouet (1650-1 Janvier 1722), un avocat qui était un fonctionnaire du Trésor mineur, et sa femme, Marie Marguerite d'Aumart (ca. 1660-1613 Juillet 1701), d'une famille noble de la province de Poitou. Certaines spéculations entourent sa date de naissance, que Voltaire a toujours affirmé à 20 Février 1694. Voltaire a été instruit par le Jésuites au Collège Louis-le-Grand (1704-1711), où il a appris latine et grecque ; tard dans la vie il est devenu couramment l' italien , espagnol et anglais.

Au moment où il a quitté l'école, Voltaire avait décidé qu'il voulait être un écrivain, contre la volonté de son père, qui voulait qu'il devienne un avocat. Voltaire, prétendant travailler à Paris comme assistant à un notaire, a passé beaucoup de son temps à écrire de la poésie. Quand son père a découvert, il a envoyé Voltaire pour étudier le droit, cette fois dans Caen, Normandie. Néanmoins, il a continué à écrire, produire des essais et des études historiques. L'esprit de Voltaire a rendu populaire parmi certains des familles aristocratiques avec qui il mélangé. Son père a ensuite obtenu un travail pour lui en tant que secrétaire à l'ambassadeur français aux Pays-Bas, où Voltaire tombé en amour avec un réfugié protestant français du nom de Catherine Olympe Dunoyer. Leur enlèvement scandaleuse a été déjoué par le père de Voltaire et il a été forcé de retourner en France.

La plupart de début de la vie de Voltaire tournait autour de Paris. Dès le début, Voltaire avait des problèmes avec les autorités, même pour les critiques légers du gouvernement et de l'intolérance religieuse. Ces activités devaient aboutir à de nombreux emprisonnements et des exilés. Un verset satirique sur la Régent a conduit à son emprisonnement dans le Bastille pendant onze mois. Tandis que là, il a écrit sa première pièce, Œdipe. Son succès a établi sa réputation.

Le nom "Voltaire"

Le nom «Voltaire», que l'auteur a adopté en 1718, est un anagramme de "AROVET LI," l'orthographe de son nom latinisé, Arouet, et les lettres initiales de "le jeune" ("le jeune"). Le nom fait également écho dans l'ordre inverse les syllabes du nom d'une famille dans le château Poitou: " Airvault ". L'adoption du nom" Voltaire "à la suite de son incarcération à la Bastille est considéré par beaucoup pour marquer la séparation formelle de Voltaire de sa famille et son passé.

Richard Holmes prend en charge cette dérivation du nom, mais ajoute qu'un écrivain comme Voltaire aurait voulu lui transmettre également ses connotations de la vitesse et de l'audace. Ceux-ci viennent des associations avec des mots tels que " voltige "(acrobaties sur un trapèze ou à cheval)," volte-face "(une filature sur le point de faire face à ses ennemis), et" volatile "(à l'origine, toute créature ailée)." Arouet "ne était pas un nom ajustement noble pour sa réputation grandissante, en particulier étant donné que la résonance du nom avec" à rouer " ("être rompu sur la roue» - une forme de torture alors encore répandue) et «roué» (un «débauché»).

Dans une lettre à Jean-Baptiste Rousseau à Mars 1719 Voltaire conclut en demandant que, si Rousseau souhaite lui envoyer une lettre de retour, il le faire en se adressant à M. de Voltaire. Un post-scriptum explique: "Je ai Été si malheureux sous le nom d'Arouet que je en intérim Pris Autre non redingote verser N'être ainsi confondu Avec le poète Roi", qui se traduit par: «Je étais si malheureux en vertu le nom d'Arouet que je ai pris une autre, surtout pour que je cesse d'être confondu avec le poète Roi ". Il se agit probablement Adenet le Roi et la diphtongue 'oi "a ensuite été prononcées comme prononce françaises modernes ai', de sorte que la similitude avec 'Arouet' est clair, et donc, il pourrait bien avoir été une partie de sa raison d'être. En effet, Voltaire est en outre connu pour avoir utilisé au moins 178 noms de plume séparés au cours de sa vie.

Grande Bretagne

En 1726, Voltaire a répondu à une insulte de la jeune noble français chevalier de Rohan, dont les serviteurs le battre quelques jours plus tard. Depuis Voltaire cherchait rémunération, et était même prêt à se battre en duel, la famille Rohan aristocratique obtenu un royale lettre de cachet, un décret pénal souvent arbitraire signé par le roi français ( Louis XV, à l'époque de Voltaire) qui a été souvent acheté par les membres des riches la noblesse de disposer des indésirables. Ce mandat a causé Voltaire à être emprisonné dans le Bastille sans procès et sans possibilité de se défendre. Craignant une peine d'emprisonnement indéterminée, Voltaire a suggéré qu'il soit exilé en Angleterre comme une peine alternative, que les autorités françaises ont accepté. Cet incident a marqué le début des tentatives de Voltaire pour réformer le système judiciaire français.

De 1726 à 1728 il a déposé à Maiden Lane, Covent Garden, aujourd'hui commémoré par une plaque à 10 Maiden Lane. L'exil de Voltaire en Grande-Bretagne a duré près de trois ans, et de ses expériences, il a grandement influencé sa pensée. Il a été intrigué par la Grande-Bretagne la monarchie constitutionnelle , contrairement à la française la monarchie absolue, et par un plus grand soutien des libertés d'expression et de religion du pays. Il a également été influencée par plusieurs auteurs néoclassiques de l'âge, et a développé un intérêt plus tôt la littérature anglaise, en particulier les œuvres de Shakespeare , encore relativement inconnus en Europe continentale. Malgré soulignant ses écarts par rapport à des normes néoclassiques, Voltaire vit Shakespeare comme un exemple que les écrivains français pourraient émuler, puisque la fiction française, en dépit d'être plus poli, ne avait pas l'action sur scène. Plus tard, cependant, que l'influence de Shakespeare a commencé à cultiver en France, Voltaire a essayé de donner un exemple contraire avec ses propres pièces, dénonçant ce qu'il considère comme les barbaries de Shakespeare.

Après presque trois ans d'exil, Voltaire revint à Paris et publie ses vues sur l'attitude britannique envers le gouvernement, la littérature et la religion dans un recueil d'essais sous forme de lettre lettres assurés au sujet de la Nation Anglais (Londres, 1733). En 1734, ils ont été publiés en français Lettres philosophiques dans Rouen. Une édition révisée parut en anglais en 1778 que Lettres philosophiques sur les Anglais (Lettres philosophiques sur l'anglais). La plupart des éditions anglaises modernes sont fondées sur l'une de 1734 et utilisent généralement le titre Lettres philosophiques, une traduction directe du titre de cette version.

Parce que Voltaire considérait la monarchie constitutionnelle britannique comme plus développée et plus respectueux des droits de l'homme (tolérance particulièrement religieux) que son homologue français, la publication de lettres française a provoqué la controverse; le livre était brûlé et Voltaire a été contraint de fuir à nouveau.

Château de Cirey

Dans le frontispice sa traduction de Newton, Émilie du Châtelet apparaît comme la muse de Voltaire, reflétant idées célestes de Newton jusqu'à Voltaire.

Prochaine destination de Voltaire était le château de Cirey, sur les frontières de Champagne et Lorraine. Le bâtiment a été rénové avec son argent, et ici il a commencé une relation avec la marquise du Châtelet, Gabrielle Emilie Le Tonnelier de Breteuil (célèbre dans son propre droit comme Émilie du Châtelet). Cirey a été possédé par le mari de la marquise, marquis Florent-Claude du Châtelet, qui se est rendu parfois sa femme et son amant au château. La relation, qui a duré quinze ans, avait un élément intellectuel important. Voltaire et la marquise ont recueilli plus de 21 000 livres, un nombre énorme pour l'époque. Ensemble, ils ont étudié ces livres et réalisé des expériences dans le " sciences naturelles »dans son laboratoire. Les expériences de Voltaire inclus une tentative de déterminer les éléments du feu.

Ayant appris de ses brosses précédentes avec les autorités, Voltaire a commencé sa habitude de garder hors de danger personnel, et de nier toute responsabilité maladroit. Il a continué à écrire des pièces, telles que Mérope (ou La Mérope française) et a commencé sa longue recherche sur les sciences et l'histoire. Encore une fois, la principale source d'inspiration pour Voltaire étaient les années de son exil britannique, au cours de laquelle il avait été fortement influencée par les œuvres de Sir Isaac Newton . Voltaire croyait fermement dans les théories de Newton, en particulier concernant l'optique (la découverte de Newton que la lumière blanche est composée de toutes les couleurs dans le spectre conduit à de nombreuses expériences à Cirey), et de la gravité (Voltaire est la source de la célèbre histoire de Newton et la pomme qui tombe de l'arbre, qu'il avait appris de la nièce de Newton à Londres et d'abord mentionné dans son «Essai sur la poésie épique », ou« Essai sur la poésie épique ").

Bien que Voltaire et la marquise étaient curieux de connaître les philosophies de Gottfried Leibniz , un rival contemporain et de Newton, ils sont restés essentiellement des «newtoniens", malgré l'adoption de la marquise de certains aspects des arguments de Leibniz contre Newton. Elle traduit latine Principia de Newton en plein, en ajustant quelques erreurs le long du chemin, et la sienne est restée la traduction française définitive bien dans le 20ème siècle. Le livre de Voltaire Eléments de la philosophie de Newton (éléments de la philosophie de Newton), qui était probablement co-écrit avec la marquise, Newton fait accessible à un beaucoup plus grand public. Il est souvent considéré comme le travail qui a finalement provoqué l'acceptation générale des théories optiques et gravitationnels de Newton.

Voltaire et la marquise ont également étudié l'histoire, en particulier les personnes qui ont contribué à la civilisation. Deuxième essai de Voltaire en anglais avait été «Essai sur les guerres civiles en France". Elle a été suivie par La Henriade, un poème épique sur le français Le roi Henri IV, glorifiant sa tentative de mettre fin aux massacres catholiques-protestants avec le Édit de Nantes, et par un roman historique sur le roi Charles XII de Suède. Ceux-ci, avec son Lettres sur les Anglais marquent le début de la critique ouverte de Voltaire d'intolérance et de religions établies. Voltaire et la marquise ont également exploré la philosophie, en particulier la métaphysique, la branche de la philosophie qui traite de l'être et avec ce qui se trouve au-delà du monde matériel, comme si oui ou non il ya un Dieu ou des âmes, etc. Voltaire et la marquise analysé la Bible, en essayant de découvrir sa validité pour leur temps. Point de vue critique de Voltaire sur la religion sont reflétés dans sa croyance en séparation de l'Église et de l'État et la liberté religieuse, les idées qu'il avait formés après son séjour en Angleterre.

Bien que profondément attaché à la marquise, par Voltaire 1744 a trouvé la vie au confinement du château. Lors d'une visite à Paris, cette année, il a trouvé un nouvel amour-sa nièce. Au début, son attirance pour Marie Louise Mignot était clairement sexuelle, comme en témoignent ses lettres à son (découvert seulement en 1937). Beaucoup plus tard, ils vivaient ensemble, peut-être platonique, et sont restés ensemble jusqu'à la mort de Voltaire. Pendant ce temps, la marquise a également pris un amant, le marquis de Saint-Lambert.

Sanssouci

Die Tafelrunde par Adolph von Menzel. Les clients de Frédéric le Grand, dans le hall en marbre à Sanssouci, inclure des membres de la Académie des sciences de Prusse et Voltaire (assis, troisième à gauche).

Après la mort de la marquise en couches en Septembre 1749, brièvement Voltaire revint à Paris en 1750 et se installe à Potsdam pour rejoindre Frédéric le Grand , un ami proche et un admirateur. Le roi avait à plusieurs reprises l'a invité à son palais, et maintenant lui a donné un salaire de 20 000 francs par an. Bien que la vie se est bien passé dans un premier temps en 1752, il a écrit Micromégas, peut-être le premier morceau de la science-fiction impliquant ambassadeurs d'une autre planète témoin des folies de l'humanité-sa relation avec Frédéric le Grand a commencé à se détériorer et il a rencontré d'autres difficultés. Un argument avec Maupertuis, le président de la Berlin Académie des sciences, a provoqué de Voltaire " Diatribe du docteur Akakia "(" Diatribe du Docteur Akakia »), qui fait la satire certaines des théories et son abus de pouvoir dans ses persécutions d'une connaissance mutuelle, Samuel Koenig Maupertuis. Cela a grandement irrité Frédéric, qui avaient toutes les copies du document brûlés Voltaire et arrêté dans une auberge où il logeait au long de son voyage de retour.

Genève et Ferney

Voltaire château, Ferney, France

Voltaire se dirigea vers Paris, mais Louis XV lui a interdit de la ville, donc il se tourna vers la place de Genève , près de laquelle il a acheté une grande propriété (Les Délices). Bien qu'il ait été reçu ouvertement au premier abord, la loi à Genève, qui interdit les représentations théâtrales, et la publication de La Pucelle d'Orléans contre sa volonté lui a fait passer à la fin de 1758 à la frontière française à Ferney, où il avait acheté un domaine encore plus grande, et a conduit à l'écriture de Voltaire Candide, ou l'optimisme (Candide ou l'optimisme) en 1759. Cette satire sur Leibniz philosophie de déterminisme optimiste reste le travail pour lequel Voltaire est peut-être mieux connu. Il resterait à Ferney pour la plupart des 20 années de sa vie, recevoir fréquemment invités de marque, tels que James Boswell, Adam Smith , Giacomo Casanova, et Edward Gibbon . En 1764, il a publié une de ses œuvres philosophiques les plus connus, le Dictionnaire philosophique, une série d'articles principalement sur l'histoire chrétienne et les dogmes, dont quelques-uns ont été écrit à l'origine à Berlin.

De 1762, il a commencé à se faire le champion des personnes injustement persécutées, le cas de Jean Calas étant le plus célébré. Cette Huguenot marchand avait été torturé à mort en 1763, soi-disant parce qu'il avait tué son fils de vouloir se convertir au catholicisme. Ses biens ont été confisqués et ses enfants ont été emmenés de sa veuve et ont été obligés de devenir membres d'un monastère. Voltaire, voyant cela comme un cas manifeste de persécution religieuse, a réussi à renverser la condamnation en 1765.

Mort et l'enterrement

Maison de Paris où Voltaire est mort
La tombe de Voltaire à Paris ' Panthéon

En Février 1778, Voltaire revint pour la première fois en 20 ans à Paris, entre autres raisons de voir l'ouverture de sa dernière tragédie, Irene. Le voyage de cinq jours était trop pour le 83 ans, et il croyait qu'il allait mourir le 28 Février, écrit «Je meurs en adorant Dieu, aimer mes amis, en ne haïssant pas mes ennemis, et détestant la superstition." Toutefois, il a récupéré, et en Mars a vu un spectacle d'Irène, où il a été traité par le public comme un héros retour.

Il est vite devenu de nouveau malade et mourut le 30 mai 1778. Les comptes de son lit de mort ont été nombreuses et variées, et il n'a pas été possible d'établir les détails de ce qui se est précisément. Ses ennemis liés qu'il se est repenti et a accepté les derniers sacrements donnés par un prêtre catholique, ou qu'il est mort sous grand tourment, tandis que ses partisans ont dit combien il était rebelle jusqu'à son dernier souffle. Selon une histoire, ses derniers mots furent: «Maintenant, ne est pas le temps pour faire de nouveaux ennemis." Ce était sa réponse à un prêtre sur le côté de son lit de mort, demandant Voltaire à renoncer à Satan.

En raison de sa critique bien connu de l'Église, dont il avait refusé de se rétracter avant sa mort, Voltaire a refusé une sépulture chrétienne, mais des amis a réussi à enterrer son corps secrètement à l'abbaye de Scellières dans Champagne avant cette interdiction avait été annoncée. Son cœur et le cerveau ont été embaumés séparément.

Le 11 Juillet 1791, la Assemblée nationale de la France, qui l'a considéré comme un précurseur de la Révolution française, avait ses restes ramené à Paris lui consacrer dans la Panthéon. On estime qu'un million de personnes ont assisté à la procession, qui se étendait dans tout Paris. Il y avait une cérémonie élaborée, avec un orchestre, et la musique inclus une pièce qui André Grétry avait composé spécialement pour l'événement, qui comprenait une partie de la "curva de tuba" (un instrument qui a pris naissance à l'époque romaine comme le cornu, mais a récemment été relancé sous un nouveau nom).

Une histoire largement répétée, que les restes de Voltaire ont été volés par des fanatiques religieux en 1814 ou 1821 lors de la restauration Panthéon et jetés dans un tas d'ordures, est fausse. Ces rumeurs entraîné dans le cercueil ouvert en 1897, qui a confirmé que ses restes étaient encore présents.

Écrits

Histoire

Voltaire avait une énorme influence sur le développement de historiographie par sa démonstration de nouvelles de nouvelles façons de regarder le passé. Ses plus célèbres histoires sont Le Siècle de Louis XIV (1751), et "Essai sur la douane et de l'Esprit des Nations" (1756). Il a rompu avec la tradition de raconter les événements diplomatiques et militaires, et a souligné les coutumes, l'histoire sociale et les réalisations dans les arts et les sciences. Le "Essai sur les douanes" tracé les progrès de la civilisation mondiale dans un contexte universel, rejetant ainsi le nationalisme et le cadre de référence chrétienne traditionnelle. Influencé par Le discours de Bossuet sur l'Histoire universelle (1682), il fut le premier chercheur de faire une tentative sérieuse d'écrire l'histoire du monde, éliminant cadres théologiques, et en insistant sur l'économie, la culture et l'histoire politique. Il a traité l'Europe dans son ensemble, plutôt que d'une collection de nations. Il fut le premier à souligner la dette de la culture médiévale à la civilisation arabe, mais sinon était faible sur le Moyen Age. Même se il a mis en garde à plusieurs reprises contre polarisation politique de la part de l'historien, il n'a pas manqué de nombreuses occasions d'exposer l'intolérance et de fraudes de l'église au cours des âges. Voltaire conseillé savants que tout contredisant le cours normal de la nature a été de ne pas être cru. Bien qu'il ait conclu le mal dans le dossier historique, il croyait fermement raison et éduquer les masses analphabètes conduirait à des progrès.

Voltaire explique son point de vue de l'historiographie dans son article sur «Historique» dans Diderot Encyclopédie:

"Une demande d'historiens modernes plus de détails, des faits constatés, meilleure dates précises, plus d'attention aux coutumes, les lois, les mœurs, le commerce, les finances, l'agriculture, la population."

Les histoires de Voltaire imposées les valeurs des Lumières sur le passé, mais il a aidé l'historiographie sans antiquarianism, eurocentrisme, l'intolérance religieuse et une concentration sur les grands hommes, la diplomatie et la guerre.

Professeur de Yale Peter Gay dit Voltaire a écrit "très bonne histoire», citant sa «préoccupation scrupuleux des vérités», «criblage attentif des preuves", "sélection intelligente de ce qui est important", "sens aigu du drame," et "compréhension du fait que toute une civilisation est une unité d'étude ".

Poésie

Dès son jeune âge, Voltaire affiche un talent pour l'écriture vers et son premier travail publié était de la poésie. Il a écrit deux poèmes épiques livre long, y compris le premier jamais écrit en français, le Henriade, et plus tard, La Pucelle d'Orléans, en plus de nombreux autres morceaux plus petits.

La Henriade a été écrit à l'imitation de Virgile , en utilisant le Couplet Alexandrine réformé et rendu monotone pour les lecteurs modernes, mais ce était un énorme succès dans le 18e et début du 19e siècle, avec soixante-cinq éditions et traductions en plusieurs langues. Le poème épique transformé roi français Henri IV en un héros national pour ses tentatives à instaurer la tolérance avec son édit de Nantes. La Pucelle [La Vierge], d'autre part, est un burlesque sur la légende de Jeanne d'Arc . Poèmes mineurs de Voltaire sont généralement considérés comme supérieure à l'une de ces deux œuvres.

Prose

Frontispice et la première page du premier chapitre d'une traduction anglaise au début par T. Smollett et al. de Voltaire Candide, imprimé par J. Newbery, 1762

Beaucoup de Voltaire ouvrages et romans en prose, généralement composées que des brochures, ont été écrites comme polémiques. Candide attaque la passivité inspiré par la philosophie de Leibniz l'optimisme; L'Homme aux quarante écus ( L'homme de quarante pièces d'argent), certaines façons sociales et politiques de l'époque; Zadig et d'autres, les formes reçues de l'orthodoxie morale et métaphysique; et certains ont été écrits se moquer de la Bible. Dans ces œuvres, le style ironique de Voltaire, sans exagération, est apparente, en particulier la retenue et la simplicité du traitement verbale. Candide en particulier, est le meilleur exemple de son style. Voltaire a aussi, en commun avec Jonathan Swift, la distinction d'ouvrir la voie de l'ironie philosophique de la science fiction, en particulier dans son Micromégas et la vignette Le rêve de Platon (1756).

Voltaire à Frédéric le Grand de l ' Sanssouci. Gravure de Pierre Charles Baquoy.

Dans critique générale et l'écriture divers, l'écriture de Voltaire était comparable à ses autres œuvres. Presque toutes ses œuvres plus substantielles, que ce soit en vers ou en prose, sont précédés par des préfaces d'une sorte ou d'une autre, qui sont des modèles de son ton caustique encore conversationnel. Dans une grande variété de brochures et écrits quelconques, il affiche ses compétences au journalisme. Dans la critique littéraire pur son travail principal est Corneille du Commentaire, bien qu'il ait écrit beaucoup plus de travaux similaires - parfois (comme dans sa vie et Avis de Molière) indépendamment et parfois dans le cadre de son Siècles.

Les œuvres de Voltaire, en particulier ses lettres privées, contiennent fréquemment le mot «l'infâme» et l'expression «écrasez l'infâme», ou «écraser l'infâme". La phrase se réfère à des abus de la population par la royauté et le clergé que Voltaire voyait autour de lui, et la superstition et de l'intolérance que le clergé élevés au sein du peuple. Il avait senti ces effets dans ses propres exilés, les incendies de ses livres et ceux de beaucoup d'autres, et dans les souffrances hideuses Calas et La Barre. Il a déclaré dans une de ses citations les plus célèbres que «Superstition définit le monde entier dans les flammes; la philosophie les éteint."

La citation Voltaire plus souvent cité est apocryphe. Il ne est pas correctement crédité avec l'écriture, «Je désapprouve ce que vous dites, mais je défendrai jusqu'à la mort votre droit de le dire.» Ce ne étaient pas ses mots, mais plutôt ceux de Evelyn Beatrice Hall, écrit sous le pseudonyme SG Tallentyre 1906 dans son livre biographique Les Amis de Voltaire. Salle vise à résumer dans ses propres mots l'attitude de Voltaire vers Claude Adrien Helvétius et son livre controversé De l'esprit, mais son expression à la première personne a été pris pour une citation réelle de Voltaire. Son interprétation ne capturer l'esprit de l'attitude de Voltaire vers Helvétius; il avait été dit le résumé de Hall a été inspiré par une citation trouvée dans une lettre 1770 Voltaire à un abbé le Roche, dans lequel il a été signalé pour avoir dit, "je déteste ce que vous écrivez, mais je donnerais ma vie pour le rendre possible pour vous continuez à écrire. "Néanmoins, les chercheurs croient qu'il doit y avoir à nouveau été une mauvaise interprétation, que la lettre ne semble pas contenir une de ces devis.

Première grande œuvre philosophique de Voltaire dans son combat contre «l'infâme» était le Traité sur la tolérance ("Traité sur la tolérance"), exposant l'affaire Calas, avec la tolérance exercée par les autres religions et à d'autres époques (par exemple, les Juifs, les Romains, les Grecs et les Chinois). Puis, dans son Dictionnaire philosophique, contenant des articles tels que "Abraham", "Genesis", "Conseil des églises", écrit-il à propos de ce qu'il percevait comme les origines de l'homme de dogmes et les croyances, ainsi que le comportement inhumain des institutions religieuses et politiques dans effusion de sang au cours de la querelles de sectes concurrentes.

Parmi d'autres cibles, Voltaire a critiqué la politique coloniale de la France en Amérique du Nord, qui a rejeté le vaste territoire de Nouvelle-France " quelques arpents de neige »(« quelques arpents de neige »).

Courrier

Voltaire également engagé dans une énorme quantité de correspondance privée au cours de sa vie, totalisant plus de 20 000 lettres. L'édition de Theodore Besterman recueillies de ces lettres, achevée seulement en 1964, remplit 102 volumes. Un historien a appelé les lettres «une fête non seulement de l'esprit et de l'éloquence, mais de l'amitié chaleureuse, le sentiment humain, et de la pensée incisive."

Philosophie

Religion

Voltaire à 70. Gravure de 1843 édition de son Dictionnaire philosophique.

Voltaire ne croyait pas que tout texte religieux unique ou la tradition de la révélation était nécessaire de croire en Dieu. L'accent mis par Voltaire était plutôt sur l'idée de lois universelles, démontrables, et dans l'ensemble, toujours en attente d'être découvert dans le monde physique ainsi que ceux du monde moral, qui sous-tend tous les systèmes religieux, ainsi que le respect de la nature reflétant le contemporain panthéisme.

Comme d'autres grands penseurs au cours de l' Europe des Lumières , Voltaire lui-même considéré comme déiste, exprimant l'idée: "Qu'est-ce que la foi est-il de croire que ce qui est évident Non, il est parfaitement évident pour mon esprit qu'il existe un être nécessaire, éternelle, suprême, et intelligent Ce ne est pas question de foi,?. mais de la raison ".

Comme pour les textes religieux, de l'avis de Voltaire de la Bible était mixte. Bien qu'influencée par Œuvres sociniennes comme le Bibliotheca Fratrum Polonorum, attitude sceptique de Voltaire à la Bible le séparait de théologiens comme unitariens Fausto Sozzini ou même écrivains biblique-politiques comme John Locke .

Cela n'a pas empêché sa pratique religieuse, si elle ne gagner pour lui une mauvaise réputation dans certains milieux religieux. Le profondément catholique Wolfgang Amadeus Mozart a écrit à son père l'année de la mort de Voltaire, en disant: «L'arc-scélérat Voltaire a finalement crevé ...".

Évolution des vues sur l'Islam et son prophète, Muhammad , peut être trouvé dans les écrits de Voltaire. Dans une lettre 1740 à Frédéric II de Prusse , Voltaire attribue à Muhammad une brutalité que «rien ne est assurément un homme peut excuser" et suggère que son suivant découle de la superstition et le manque de illumination. Dans une lettre recommandant 1745 son jeu Fanatisme ou Mahomet Benoît XIV, Voltaire décrit le fondateur de l'Islam comme «le fondateur d'une secte fausse et barbare» et «un faux prophète."


Dans le Lumières écossaises les Ecossais a commencé à développer une branche unique pratique de l'humanisme dans la mesure où Voltaire a dit: «Nous nous tournons vers l'Ecosse pour toutes nos idées de la civilisation ".

Dans une lettre à Frédéric II , King of Prussia, en date du 5 Janvier 1767, il a écrit sur le christianisme catholique de l'époque:

" La Nôtre [la religion] is sans contredit La plus ridicule, La plus absurde, et La plus sanguinaire Qui ait jamais infecté le monde.
(Ours [la religion] est sans aucun doute le plus ridicule, la plus absurde et la plus sanguinaire jamais infecter le monde.)
"

La tolérance religieuse

Dans un essai de 1763, Voltaire a soutenu la la tolérance des autres religions et ethnies: "Il ne faut pas beaucoup d'art, ou l'éloquence magnifiquement formés, pour prouver que les chrétiens doivent se tolérer Cependant, je vais plus loin:.. je dis que nous devons considérer tous les hommes comme nos frères Qu'est ? Le Turc mon frère le Chinois mon frère Le Juif Le Siam Oui, sans aucun doute;???? sommes-nous pas tous enfants du même père et de créatures du même Dieu "?

Race et esclavage

Voltaire a rejeté l'histoire chrétienne Adam et Eve et était un polygéniste qui spéculé que chaque race a des origines distinctes. Comme les autres philosophes, tels que Buffon, il a divisé l'humanité en variétés ou races et a tenté d'expliquer les différences entre ces races. Il se demandait si les Noirs entièrement partagées dans l'humanité ou de l'intelligence des Blancs commune en raison de leur participation à la traite négrière.

Son plus célèbre remarque sur l'esclavage se trouve dans "Candide", où le héros est horrifié d'apprendre «à quel prix nous mangeons du sucre en Europe». Ailleurs, il a écrit à propos de "caustique blancs et chrétiens [qui] procéder à l'achat nègres à moindre coût, afin de les vendre cher en Amérique".

Antisémitisme

Selon le rabbin Joseph Telushkin, la plus importante des Lumières hostilité contre le judaïsme a été trouvé dans Voltaire, bien que prétendent le contraire ont été faites que ses remarques étaient, en fait, anti-biblique, pas antisémite. Trente des 118 articles dans son Dictionnaire philosophique traitée avec les Juifs et les a décrits de manière cohérente négatifs, bien que cette analyse néglige le fait qu'il avait déjà défendu les Juifs comme plus tolérants que les chrétiens dans son Traité sur la tolérance à l'année précédente et a émis "Le Sermon du rabbin Akib" , un texte attaquer l'antisémitisme, trois ans auparavant.

Peter Gay, une autorité contemporaine sur les Lumières, souligne également les remarques de Voltaire dans le Traité la tolérance et soupçonne que "Voltaire a frappé les Juifs de grève au christianisme". Quelle que soit l'antisémitisme Voltaire a pu se sentir, gays suggère, issues de l'expérience personnelle négative. Cependant, des études beaucoup plus détaillées de Bertram Schwarzbach des relations de Voltaire peuple juif à travers sa vie ont conclu qu'il était anti-biblique, pas antisémite. Ses remarques sur les Juifs et leurs «superstitions» étaient essentiellement pas différent de ses remarques sur les chrétiens. Telushkin stipule que Voltaire n'a pas limité son attaque sur les aspects du judaïsme que le christianisme utilisé comme une fondation, à plusieurs reprises en précisant qu'il méprisait les Juifs. Arthur Hertzberg affirme que la deuxième suggestion Gay est aussi intenable, que Voltaire lui-même nié sa validité lorsqu'il a fait remarquer qu'il avait "oublié beaucoup plus grandes faillites grâce à des chrétiens".

Franc-maçonnerie

Voltaire fut initié Franc-maçonnerie mois avant sa mort. Le 4 Avril 1778 Voltaire accompagné son ami proche de Benjamin Franklin en Loge des Neuf Soeurs à Paris, en France et est devenu un Apprenti Franc-maçon.

Héritage

Voltaire, par Jean-Antoine Houdon, 1778. National Gallery of Art

Voltaire perçu les Français bourgeoisie à être trop petit et inefficace, l' aristocratie d'être parasitaire et corrompue, les roturiers comme ignorants et superstitieux, et l' Eglise comme une force statique et oppressive utile seulement à l'occasion comme un contrepoids à la rapacité des rois, bien trop souvent, encore plus rapace lui-même. Voltaire se méfiait de la démocratie, qu'il voyait comme la propagation de la bêtise des masses. Voltaire longtemps pensé qu'un de monarque éclairé pourrait apporter un changement, étant donné les structures sociales de l'époque et les taux extrêmement élevés de l'analphabétisme, et qu'il était dans l'intérêt rationnelle du roi pour améliorer l'éducation et le bien-être de ses sujets. Mais ses déceptions et désillusions avec Frédéric le Grand changé sa philosophie quelque peu, et bientôt a donné naissance à l'une de ses œuvres les plus durables, son roman, Candide, ou l'optimisme (Candide ou l'Optimisme, 1759), qui se termine par une nouvelle conclusion : «Il est à nous de cultiver notre jardin". Ses attaques les plus féroces polémiques et sur ​​l'intolérance et les persécutions religieuses en effet commencé à apparaître quelques années plus tard. Candide a également été brûlés et Voltaire en plaisantant affirmé l'auteur réel était un certain "demad" dans une lettre, où il a réaffirmé les principales positions polémiques de la texte.

Voltaire est également connu pour de nombreux aphorismes mémorables, tels que: "pas de n'existait Si Dieu, il Faudrait l'inventer» («Si Dieu ne existait pas, il faudrait l'inventer»), contenue dans une lettre de verset de 1768, adressée à l'auteur anonyme d'une œuvre controversée, " Les trois imposteurs ". Mais loin d'être la remarque cynique il est souvent pris pour, il a été conçu comme une réplique à la clique athée de d'Holbach, Grimm, et d'autres. On se souvient de Voltaire et honoré en France comme un polémiste courageux qui inlassablement lutté pour les droits civils -la droit à un procès juste et la liberté de religion et qui a dénoncé les hypocrisies et les injustices du ancien régime. L'ancien régime impliqué un équilibre inéquitable du pouvoir et taxes entre le Première Estate (clergé), le Deuxième Estate (les nobles), et de la Tiers (les roturiers et la classe moyenne, qui ont été accablés par la plupart des impôts).

Voltaire a eu ses détracteurs parmi ses collègues plus tard. L'écrivain victorien écossais Thomas Carlyle a fait valoir que, tandis que Voltaire était imbattable dans la forme littéraire, pas même la plus élaborée de ses œuvres étaient d'une grande valeur pour la matière et qu'il n'a jamais prononcé une idée originale de son propre. Nietzsche, cependant, appelé Carlyle un confusionniste qui avait même pas entendu les valeurs des Lumières qu'il pensait il faisait la promotion.

Il a souvent utilisé la Chine, le Siam et le Japon comme exemples de civilisations non-européennes brillants et durement critiqué l'esclavage . Il avait notamment admiration pour l'éthique et le gouvernement comme illustré par Confucius .

La ville de Ferney, où Voltaire a vécu les 20 dernières années de sa vie, est maintenant nomméFerney-Voltaire en l'honneur de son plus célèbre résident. Son châteauest un musée.

La bibliothèque de Voltaire est conservé intact dans la Bibliothèque nationale de Russie à Saint- Pétersbourg , en Russie.

A Zurich 1916, le théâtre et le groupe de performance qui allait devenir le début de mouvement d'avant-garde Dada nommé leur théâtre Le Cabaret Voltaire. A la fin du 20e siècle, un groupe de musique industrielle puis se nommé d'après le théâtre.

Les astronomes ont donné son nom à lacratère Voltaire surDeimos et l'astéroïde5676 Voltaire.

Voltaire a également connu pour avoir été un défenseur de café , comme il a été censé avoir bu au moins 30 fois par jour. Il a été suggéré que des quantités élevées de caféine agi comme un stimulant mental à sa créativité.

Son arrière-grand-nièce était la mère dePierre Teilhard de Chardin, un célèbre philosophe et prêtre jésuite.

Travaux

Œuvres philosophiques

  • Lettres concernant la nation anglaise(Londres, 1733) (version française le droitLettres philosophiques sur les Anglais, Rouen, 1734), tel que révisé Lettres sur les Anglais(circa 1778)
  • Le Mondain(1736)
  • Discours en septembre Vers sur l'Homme(1738)
  • Zadig(1747)
  • Micromégas(1752)
  • Candide(1759)
  • Traité sur la tolérance(1763)
  • Ce Qui plaît aux dames(1764)
  • Dictionnaire philosophique(1764)
  • L'Ingénu(1767)
  • La Princesse de Babylone(1768)

Plays

Voltaire a écrit entre cinquante et soixante pièces, y compris quelques unes inachevés. Parmi eux se trouvent ceux-ci:

  • Œdipe(1718)
  • Mariamne(1724)
  • Zaïre(1732)
  • Eriphile(1732)
  • Irène
  • Socrate
  • Mahomet
  • Mérope
  • Nanine
  • L'Orphelin de la Chine(1755)

Historique

  • Histoire de Charles XII, roi de Suède(1731)
  • Le Siècle de Louis XIV(1751)
  • Le Siècle de Louis XV(1746-1752)
  • Annales de l'Empire - Charlemagne, AD 742 - Henry VII 1313 , Vol. I (1754)
  • Annales de l'Empire - Louis de Bavière, 1315 à Ferdinand II 1631 Vol. II (1754)
  • Essai sur les mœurs des Nations(ou «Histoire Universelle») (1756)
  • Histoire de l'Empire russe sous Pierre le Grand(Vol I 1759;.. Vol II 1763)
  • Histoire du Parlement de Paris(1769)

Chronologie

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